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Née en Corée, adoptée par un couple américain, Camilla se retrouve seule à la mort de sa mère adoptive. Le père se remariant, lui envoie ses affaires, six cartons, d'où émerge une photo d'une jeune fille avec un bébé dans les bras, "La photo qui, sans que je puisse expliquer pourquoi, semble montrer que le monde est meilleur que ce que l'on croit". Une photo qui va l'emmener loin sur les traces de sa mère biologique en Corée.
La littérature coréenne, du peu que j'ai lu, est une littérature qui semble explicite, mais qui ne l'est pas, comme d'ailleurs, son cinéma. Je viens de voir “Burning “de Lee Chang-dong ( adapté librement d'une nouvelle de Murakami, "Barn Burning" * mais dans un contexte diffèrent) où l'on pense comprendre et deviner tout, espérant que le cinéaste nous donnera satisfaction à la fin, eh bien non. Personnellement bien que déroutant, ça me plaît, ça fait réfléchir, et finalement laisse l'interprétation au spectateur, au lecteur. Du moment que ce n'est pas n'importe quoi, c'est toujours intéressant. Mais dans ce cas bien sûr, voir ou lire va outre le divertissement, de plus ici il est question d'un sujet très sensible.
Tant qu'on a des repères fixes dans la vie, le problème d'identité n'existe presque pas si on est sain d'esprit. Mais si les repères chamboulent, initie alors une altération , magnifiquement relatée dans ce livre . Peu à peu Camilla devient "un être caméléon ", renforcé par un changement du style narratif et de narrateurs. L'intérêt du livre réside dans cette mutation, psychologiquement intéressante, qui va emmener Camilla de découverte en découverte comme nous d'ailleurs, lectrices et lecteurs.
Un livre sur l'adoption, les conséquences fatales des fausses rumeurs, la société coréenne, avec en prime de beaux poèmes que je conseille à tous les curieuses et curieux de la Vie.


"Le papillon blanc n'a pas peur de la mer,
car personne ne lui a dit combien elle est profonde."

*Pour qui serait intéressé par cette nouvelle, elle est disponible en anglais sur internet.
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« Mon existence même est peut-être une erreur dès le départ. »

Je m'avance sur le sable, le soleil couchant illumine les vagues venues s'échouer à mes pieds. le regard porté sur l'horizon, les souvenirs tentent de remonter à la surface. Elle vient de perdre sa mère, quelques cartons et une vie antérieure se dépoussière. de ces cartons échoués dans son appartement, beaucoup d'interrogations relatives à sa mère adoptive surgissent du passé. Et comment ne pas douter de sa propre existence lorsque l'on ne sait pas les raisons d'un abandon dans un orphelinat là où ce même soleil est en train de se lever, à l'autre bout de l'océan Pacifique, là-même où d'autres vagues, peut-être les mêmes s'échouent sur le rivage de la Corée.

Elle s'appelle Camilla, comme les fleurs de Camélias. Une photo sur laquelle posent deux personnes, elle et sa mère, devant un massif de camélias. A vingt et un ans, elle a besoin de connaître la vérité sur son histoire, sa mère sa naissance. Et ce n'est qu'en foulant la Corée qu'elle pourra trouver un semblant de réponse. Parce que toutes les histoires sont différentes…

La première partie du roman centrée autour de Camilla, cette fleur de camélias échouée sur la côte des States, est un mélange de poésie et d'onirisme. La plume est belle, envoutante. Elle m'a capté par son histoire, par ses mots. L'histoire se poursuit ensuite, Camilla se retrouve en retrait, les rumeurs, les actes irréversibles, la réalité beaucoup moins belle que l'onirisme du début, je me suis trouvé moi également en retrait, comme un peu perdu sur cette nouvelle terre, ces nouveaux noms (si tout le monde s'appellerait Kim, ça serait plus simple, tout de même), mais peu importe puisque le rôle de la mer est de faire des vagues.

Et puis, j'adore le titre de certains chapitres aussi poétiques que mystérieux :
- Un poisson couleur aurore, dans la mer, sous un clair de lune bleue
- Tantôt des pommes, tantôt de petites lanternes
- le mot paix… le mot douleur
- La bibliothèque au fond de la mer
- Combien de temps la nuit et le jour doivent-ils rester enlacés pour ne faire plus qu'un ?
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Encore une superbe découverte sud-coréenne! L'auteur s'est fait d'abord connaître à travers ses poèmes, et cela se ressent fortement dans ce livre, au style imagé, délicat, presque onirique.

Mélancolique et envoûtant parcours que celui de Camilla, enfant coréenne adoptée par un couple américain. Elle a toujours rêvé sa véritable mère et a souffert de ne rien savoir d'elle. A vingt et un ans, après la mort de sa mère adoptive, elle trouve par hasard dans des cartons contenant ses affaires personnelles une photo d'elle bébé avec celle qu'elle imagine être sa mère.

S'ensuit alors une quête identitaire, elle part en Corée, dans une ville portuaire, où sa mère, elle l'apprend, était élève du lycée. Elle a accouché d'elle à seize ans et beaucoup de zones d'ombres demeurent la concernant, surtout que personne ne veut parler d'elle.

le roman oscille alors dans la deuxième et troisième parties entre passé et présent, entre Camilla qui retrouve son identité natale , la narration passant du" je" au" tu" et l'évocation de sa mère, adolescente meurtrie et solitaire.

C'est cet aspect qui m'a un peu embrouillée, le texte devient confus mais je pense que c'est volontaire, les deux destins mère -fille fusionnent ainsi.

J'ai beaucoup aimé cette histoire, bouleversante et qui touche en profondeur, imprégnée de poésie , d'une tristesse aquatique qui nous submerge. La note de l'auteur à la fin m'a interpelée.

A travers ce livre, une pensée émue pour toi, Anne...
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Le titre de ce roman me semblait très poétique et très doux, c'est pour cette raison qu'il était dans ma PAL. J'adore lire des histoires d'enfants adoptés en quête de leur identité, donc ce fût un plaisir, pour moi, de tomber sur ce roman lors de mon tirage au sort. Pourtant, ce n'est pas un coup de coeur. Loin de là ! Quel dommage … /
La première partie du roman m'a beaucoup plu. Bien que j'ai lu deux romans à la fois, à chaque fois que j'y revenais c'était un vrai plaisir. L'histoire de Camilla m'avait transportée. Ce n'était pas spécialement dynamique, mais on découvrait des éléments … il y avait un peu de suspens ! L'auteur a su attiser mon intérêt. Mais les seconde et troisièmes parties m'ont vraiment déçues. Ça m'a déstabilisée de suivre d'autres protagonistes plutôt que Camilla. Ce roman était son histoire, donc j'aurais voulu l'avoir jusqu'au bout. le changement a été trop radical, presque brutal. Ça m'a complètement coupé de l'intrigue. Il aurait peut-être mieux fallut entrecouper les chapitres de différents points de vue pour que ce soit moins brutal et pour que Camilla ne nous manque pas … jusqu'à la fin ! J'ai fini par le lire de travers tant tout ce que je voulais c'était de retrouver Camilla. Elle avait encore tant de choses à dire, tant de choses à découvrir et tant de ressentis à nous faire partager. C'est vraiment décevant d'avoir écarté son personnage, à ce point.
Du coup, je dirais que c'est un roman en dent-de-scie. La première partie est parfaite alors que les suivantes ne lui arrivent pas du tout à la cheville. Ça devait être poétique et doux, mais je ne garde pas le souvenir d'un roman plein de douceur. En réalité, j'ai peur de n'en garder aucun souvenir …
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Un récit en trois parties, à la première personne mais avec des narrateurs différents qui alternent.
Le style d'écriture de départ m'a séduite, tout en douceur et finesse. le texte propose une analyse très sensible, par petites approches, de la psychologie de Camilla qui part à la recherche de la vérité sur sa naissance en Corée alors qu'elle a été adoptée par un couple d'américains.
Dans la deuxième partie, un autre personnage s'adresse à elle et j'avoue que pour moi le texte a commencé à être confus. de nombreuses ellipses temporelles succèdent à des flashbacks, et j'ai eu quelques difficultés à suivre le fil directeur de l'histoire. Cependant peu à peu le mystère se dévoile et la lecture garde son intérêt.
Dans la troisième partie, je ne savais plus trop qui était narrateur, plusieurs personnages entrant en scène. J'ai également confondu les noms parfois trop semblables. Souvent j'avais du mal à comprendre la réaction des personnages, leurs dialogues me paraissaient très curieux.

Si j'ai aimé certains passages très poétiques, à la limite de l'onirisme, je garde l'impression d'un ensemble très « décousu » avec une fin assez mystérieuse emplie d'implicite. Impression décevante d'être « passée à côté » de quelque chose…
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En quête de son identité, une jeune fille d'origine coréenne, adoptée aux États-Unis, part sur les traces de sa mère biologique.
En trois chapitres portés par trois narrateurs, le fantôme de la mère sort peu à peu du brouillard.
Dans cette atmosphère déroutante et poétique, les poèmes de la mère se mêlent avec ceux de Prevert et d'Emily Dickinson.
Des fils se croisent, se nouent, s'entortillent, parfois emmêlent le lecteur qui, s'il se perd, se raccroche aux mots bercés par la mer.
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Mon avis pourrait être simple : je n'ai pas vraiment aimé ce livre et je serai bien en peine de le recommander à quelqu'un, à moins de vouloir découvrir la littérature coréenne, de souhaiter en savoir plus sur cette culture.
Double culture, devrai-je dire, parce que Camilla, l'héroïne, a été adoptée à l'âge de six mois par un couple d'américains. Elle a ainsi illuminé la vie de sa mère adoptive, Alice – prénom qui a son importance dans le roman, comme tous les prénoms, d'ailleurs. Celle-ci est décédée d'une longue maladie, après lui avoir avoué qu'elle a détruit la lettre de quelqu'un qui s'est présenté comme le frère aîné de Camilla. Oui, la jeune femme lui en a voulu, et dans l'état dans lequel sa crise d'adolescence d'adolescente adoptée la mettait – oui, à l'époque, elle aurait été capable de faire une bêtise. Elle s'est éloignée de son père, qui a refait sa vie et lui a remis les affaires qui lui appartenait – six cartons de vingt-cinq kilos. Elle en a écrit un premier livre autobiographique, et de là, est né le projet d'un second livre, la menant sur les traces de son passé et de son pays natal.
Vous noterez déjà la présence d'un premier sujet, l'écriture, l'intertextualité, la mise en abîme. Les sources aussi de l'écriture, née des objets et de l'autobiographie, non de l'imagination. le récit lui-même est très littéraire puisque l'on trouve trois narrateurs, Camilla, une voix mystérieuse qui s'adresse à elle dans la seconde partie, et un narrateur à la troisième personne qui se focalise sur plusieurs personnages dans la troisième partie.Je parle de « voix mystérieuse », parce que je ne veux pas dévoiler son identité, et parce qu'elle m'a déstabilisée, comblant certains « blancs » dans le passé de la mère de Camilla, et comblant aussi l'ellipse entre les deux parties. Oui, lire ce que l'auteur n'a pas écrit fait aussi partie de la démarche proposée par Yeon-su Kim, comme il le dit dans la postface.

Oui, le sujet du roman semble être tout ce qui n'est pas dit, tout ce que l'on ne veut pas dire à Camilla « pour son bien », parce que la vérité lui ferait plus de mal encore que l'ignorance. C'est un discours que l'on tient souvent aux enfants adoptés, justifiant ainsi en France l'accouchement sous x. Camilla se heurte ainsi à un mur, à des murs, les personnes qu'elle rencontre ne dissimulant pas leur hostilité.
Saura-t-elle la vérité ? Nous découvrirons en tout cas la profonde solitude de la mère de Hui-Jae, prénom originel de Camilla, prénom qui peut être donné à un garçon ou à une fille, indifféremment. Nous découvrons quels mécanismes l'ont amené à faire adopter son enfant. Oui, cela fait froid dans le dos. Et là, je me suis dit que l'action avait beau s'être passé en Corée, elle aurait très bien pu se passer en France. Stigmatiser les filles mères, imaginer l'identité du père en écoutant les rumeurs (plus elle est scandaleuse, mieux c'est), penser à tout ce qui est le mieux pour la bienséance plutôt que de se préoccuper de la jeune femme et de son enfant – oui, cela pourrait arriver aussi chez nous, oui, cela est arrivé aussi chez nous, inutile de se voiler la face.
Un livre que je referme douloureusement, parce que cela n'a pas été une lecture facile.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Je me suis perdue dans ce roman et à la fin de la lecture je reste sur ma faim . Camilla , jeune Américaine d'origine Coréenne adoptée peu après sa naissance par un couple d'Américains a vingt ans et pars en Corée à la recherche de sa mère . Ce livre en trois parties nous raconte cette quête de son histoire . J'ai lu avec beaucoup de plaisir et d'intérêt la première partie , que nous raconte Camilla . Cette écriture plus linéaire m'a séduite et j'ai aimé découvrir la culture Coréenne et la psychologie des personnages .Par contre , plusieurs voix et plusieurs époques s'entrecroisent dans les deux parties suivantes . je pense que je n'étais pas suffisamment attentive et réceptive pour m'y retrouver entre le passé et le présent et les acteurs de cette histoire . Je le relirai peut être plus tard , pour vérifier si c'est la narration qui ne me convient pas où si c'était juste une question de moment pour ma lecture .
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Ce roman m'a bouleversé, retourné et enfin révolté ! Si le rôle de ce livre était de vous faire passer dans une vague, de vous faire sentir le roulis de la vie et de vous lâcher après cela dans le monde.

Camilla a été adopté par des Américains mais est coréenne. Sa mère adoptive avant de mourir lui annonce que son frère lui a écrit. Camilla n'en apprendra guère plus. Brouillée avec son père adoptif, elle sera surprise de ce qu'elle va trouver dans les cartons qu'il lui envoie. Pour chaque objet, elle se décide à écrire tout ce qu'elle ressent et se souvient à son propos, jusqu'au moment où une photo apparaît. Ecrire ne suffit plus, il faut qu'elle se rendre en Corée.

De là nous allons la suivre dans la recherche de son histoire, de ses racines. Malheureusement pour elle, Camille se confronte à la société Coréenne qui veut paraître polie et bien sous tout rapport. Une lycéenne enceinte qui aurait abandonné son enfant ne fait donc pas parti de ce joli tableau et personne ne veut dire la vérité à cette Américaine en quête de ses racines. Pourtant et nous le savons puisque roman il y a, quelqu'un va commencer à briser ce silence et les tabous.
L'histoire de Camille est chargée de tristesse, de douleur mais surtout d'amour. Ce roman écrit de manière très poétique, chargé de gravité et de délicatesse est une ode à la vérité et à l'amour de l'autre. Parce que mourir est la suite logique de la vie, nous ne devrions pas empêcher ceux qui le désire de se souvenir. Voilà la seule chose qui perdure après la vie de quelqu'un. Si le monde entier s'évertue à faire oublier un mort, alors c'est comme si il n'avait jamais été et Camille va se battre pour réhabiliter la mémoire de sa mère en allant contre la tradition.

En bref, une enquête sur le passé de Camille qui va lui permettre de faire revivre sa mère et de lui offrir le souvenir dont elle mérite et que tous ont tenté de faire oublier.
Lien : http://chickon.fr/2017/05/02..
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Je lis peu de littérature asiatique, connaissant surtout Haruki Murakami et les quelques romans que j'ai lu de lui et qui reposent sagement dans ma bibliothèque. Pourtant, j'aime beaucoup les romans de ce coin du monde. J'aime leur ambiance poétique, souvent très marquée par les vieilles croyances ou légendes et dont l'histoire est ancrée dans un mode de pensée qui diffère vraiment du notre et pousse les gens à s'interroger sur eux-même. Les récits qu'ils livrent sont souvent pleins de sens et sous le joli de titre de Si le rôle de la mer est de faire des vagues se cache en effet une belle histoire de vie.

Dans ce court roman de moins de trois cents pages, l'auteur sud-coréen Kim Yeon-Su nous parle de Camilla. Jeune femme d'une vingtaine d'années d'origine coréenne, elle a perdu sa mère adoptive peu de temps auparavant. le remariage imminent de son père adoptif lui livre un bien triste constat : elle est désormais seule. Munie d'une photo trouvée dans un vieux carton, elle décide de se lancer sur la traces de sa mère biologique : direction Jinnam, petit ville côtière en Corée. Sa ville natale.

Une véritable quête identitaire voit le jour au fil des pages. Car pour se construire, Camilla a besoin de savoir qui elle est vraiment. Elle doit découvrir le passé de sa mère, Ji-eun, et les zones d'ombre qui entourent sa naissance, une vingtaine d'années plus tôt.
Les rencontres s'enchaînent, les versions de l'histoire qui entoure Ji-eun aussi. le mystère plane jusqu'au bout, ponctué ça et là de révélations qui renforcent le côté obscur du passé des deux jeunes femmes.

Le roman m'a touchée par sa profondeur et ses multiples réflexions. le passé peut être un poids très lourd, et chez Camilla, les transformations sont fulgurantes. On voit la jeune femme évoluer au fur et à mesure que les révélations sur sa mère affluent. L'écriture pleine de poésie de l'auteur se suit avec délectation (j'ai d'ailleurs eu du mal à ne sélectionner que quelques extraits tant le roman regorge de petites perles), Kim Yeon-Su a un style très éthéré, il jongle avec les métaphores, les poèmes et le sens profond des choses avec une facilité déconcertante.

L'histoire souffre cependant d'une construction assez chaotique. le style ne plaira pas a tout le monde, c'est certain. On a parfois un peu de mal à se situer dans le temps, à s'accrocher au fil qui maintient l'histoire en place. Les changements de lieux, les ellipses, le découpage selon différents points de vue (seul la première partie est du point de vue de Camilla) rendent parfois les parties de l'histoire assez inégales, la dernière notamment qui, si elle est riche en révélations et permet de mettre les pièces du puzzle en place, semble un peu éloignée du fil conducteur qui suit la quête de Camilla.

L'histoire et son sujet sont forts. le roman se lit avec attention, on est pris dans la recherche de Camilla sur ses origines grâce à un coup de plume remarquable qui allie avec doigté passé et présent, légende et réalité.
De quoi avoir envie de lire des auteurs asiatiques un peu plus souvent !
Lien : http://desmotsenvrac.blogspo..
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