L'Accro du shopping à Hollywood

Les aventures de Becky m'ont toujours beaucoup amusée. Les Confessions d'une accro du shopping (tome 1), L'accro du shopping à Manhattan (tome 2), L'accro du shopping dit oui (tome 3) étaient trois tomes extrêmement drôles et créatifs dans la chick-lit de l'époque. Pour preuve, le premier tome avait été directement adapté au cinéma, avec plus ou moins de réussite d'ailleurs mais dans la lignée du Diable s'habille en Prada. Mais les tomes suivants, du tome 4 au tome 6 m'avaient fortement déplu. Peut-être à force de répéter les mêmes banalités, la vie de Becky ne m'intéressait-elle plus du tout ?

Pourtant en décidant d'acheter ce tome 7, je m'étais dit que je passerais un bon moment sans prise de tête. Il est vrai que dès les premières pages, on retrouve un style très drôle et très sympathique. Becky, la maladroite, la naïve reprend du service et elle est toujours aussi accro.

Ce qui est usant c'est dès lors qu'elle arrive à Hollywood, la voilà qui n'a plus qu'un seul but: rencontrer des stars et en devenir une... enfin star... de nos jours, si prendre un bain de photographes et déballer sa vie privée et sa garde robe à tout le monde, faire des caprices et se crêper le chignon avec d'autres stars, c'est être star, alors, pardonnez-moi mais ça n'a pas grand intérêt.

C'est donc peut-être à cause des rêves de Becky, trop éloignés des miens, que je n'ai pas su me reconnaître dans cette héroïne, qui d'habitude enchaîne les bourdes avec une grande cocasserie. Ici le comique de répétition ne parvient plus à nous enchanter réellement. Et la déception vient grandissante, surtout que le roman fait plus de 500 pages et c'est beaucoup, beaucoup trop long.

Finalement, elle ne fait que se ridiculiser et Hollywood se présente sous un jour plein de désillusions et de gens débiles et méchants.

Malgré tout, les personnages gravitant autour de Becky sont toujours aussi croustillants et caricaturaux, le seul à ne pas perdre la face c'est bien son mari, le beau Luke.

Lisez plutôt les 3 premiers tomes et passez votre chemin sauf si vous vous sentez vraiment très proche de Becky et des rêves de devenir une styliste de mode à la renommée internationale !
Lien : http://www.unefrancaisedansl..

déçue, je n'ai pas retrouvé l'ambiance des autres livres de la série que j'avais dévoré. Bilan : j'ai arrêté au bout de 150 pages et je ne pense pas le reprendre..

J'ai ressenti une certaine lassitude

Je me tente à ce genre littéraire qui me semble facile e en même temps peu attrayant.
Préjugés sans doute, les voici !
C'est pour cette raison que j'ai fait l'emprunt : aucun risque si ce n'est d'être déçue, mais sans conséquence grave ni importante.

(...) comme prévu, je suis bien trop premier degré ou trop maussade en ce moment pour pouvoir apprécier tant de superficialité. ^^
La première centaine de pages lues in one shot tellement cela se boit facilement, mais trop vite écoeurée pour oser y revenir le jour d'après, j'en ai peur.

Premier abandon assumé !

Je sais que je ne commence au 7e tome et quelque de l'histoire de Becky Bloom... ingdales (j'entends Rachel Green ! que j'adore tellement par ailleurs... hum, pardon).
Bref
Pas sûre d'aller au-delà si ce n'est retourner à la bibli.

Désolée Beck but not sorry.

Ce roman fut un test de lecture détente.
La 4ème de couverture nous promet de l'humour, mais je ne l'ai pas trouvé...

L'héroïne est juste complètement superficielle et futile.
Je n'ai pas trouvé d'intérêt à ses pérégrinations Hollywoodiennes pour tenter de devenir la styliste des stars. Cette nana n'a aucune consistance, juste de l'argent à foison à jeter par les fenêtres. Il y a bien des tentatives pour lui faire exprimer des émotions mais c'est minime.

Bref, 2ème essai avec cette auteure, avec un personnage différent de ma première lecture, et 2ème déception. Ses romans ne sont définitivement pas à mon goût.