La porte interdite

J'avais une très bonne image de Dean Koontz mais clairement ce roman (reçu dans le cadre de Masse Critique) vient la ternir. Une très gentille qui doit se heurter à une très grande organisation secrète (qui houlala peut injecter un contrôleur de cerveau),qui est poursuivie par un très nihiliste (tellement que c'est absurde) et un tueur à gage très en colère mais très intelligent mais qui peut compter sur l'aider de très brave gens... Peut-être que tout ça est mieux présenté dans les aventures précédentes de Jane Hawk où j'espère que les personnages ont un peu plus de profondeur. Mais ce sont surtout les facilités et les répétitions qui m'ont fait souffrir pendant la lecture.

Une grosse déception......J'avais eu , il y a bien des années, l'occasion de lire deux , trois ouvrages de cet auteur, dont j'avais gardée globalement un bon souvenir - même si je suis incapable de retrouver les titres des ouvrages lus -
Dean Koontz , né en 1946, est souvent présenté comme digne de Stephen King et injustement négligé en France. J'étais un peu de cet avis jusqu'à cette dernière lecture. Mais autant Stephen King continue à me ravir, autant j'ai trouvé affligeante cetrte lecture de "la porte interdite" . Si Jane, L'héroïne et ses amis du club des gentils sont assez bien campés et plutôt attachants, autant les méchants sont grand guignolesques et peu crédibles. L'histoire, elle même, assez tordue, perd de beaucoup son intérêt et après une première moitié de livre lue avec constance, j'ai plutôt bâclé la seconde partie en essayant toutefois de repérer ce qui arrivait aux personnages centraux.. Bref, je ne lirai pas la suite, ni les premières aventures de l'agente du FBI, Jane Hawk.. Cette histoire m'a semblé vraiment trop stupide, malgré - je le reconnais- un rythme très soutenu, digne des très bonnes sériesaméricaines. Dommage pour moi !