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C'est un livre passionant et très agréable à lire que j'ai dévoré en quelques jours malgré ses 650 pages. Un vrai plaisir. L'histoire suit les aventures de Rin, jeune orpheline perdue dans la campagne, vivant de la vente d'opium et promise à un mariage arrangé. Sa volonté, son courage (et ses rêves) lui permettent d'accéder à l'école la plus perstigieuse de l'Empire, puis d'intégrer l'armée - dans un corps assez particulier. Elle prend de fait part à la défense de son pays contre la Fédération qui envahie son pays et sème la mort et la destruction.

L'histoire fait directement référence à l'histoire récente de la Chine (la chute de l'empire, le massacre de Nankin (l'horreur à l'état pur), les 2 guerres de l'opium).

C'est cependant un roman assez classique, avec une trame proche par exemple du roman "Les Douze Rois de Sharakhaï" : même héroïne courageuse, même révolte contre une société écrasante, même intégration dans les troupes d'élites du pouvoir. Ces similitudes sont intéressantes - elles sont peut être les miroirs de notre époque (je ne veux pas trop m'avancer).

le traitement réservé à l'amour est également suprenant : ici pas question de romance, ni de maternité. L'ensemble est clairement conçu comme une contrainte et la solution est radicale. Sans regrets.

Le renoncement à la maternité, qui était vu dans le passé comme une source de douleur, est décrit ici comme une libération et la voie vers la réussite, un choix possible.

Donc derrière son côté distrayant, le roman met ainsi en relief des questions qui traversent notre époque.

Mais le point vraiment le plus intéressant, de mon point de vue, est la description du chamanisme en Chine (Les distinctions entre devins et chamanes, l'utilisation de l'opium lors des transes... ). Difficile de savoir si ceci relève simplement de l'histoire ou si l'auteur a tiré son inspiration de véritables études sur les croyances et religions du pays : la mythologie chinoise est complexe.
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Wow. Encore, une belle lecture.

Dans ce monde, les classes sociales sont très distinctes et Rin se débrouille pour passer de paysanne orpheline, à étudiante dans la meilleure université du Pays. D'ailleurs, j'ai vu dans d'autres critiques que le livre faisait un parallélisme avec l'histoire de la Chine et la guerre de l'opium, mais je m'y connais trop peu pour en savoir plus. Sachez simplement que pour les avides d'histoire, cela peut plaire!

La trame de l'histoire en elle même est un peu lourde, avec quelques longueurs. Mais, je me suis fait tellement aspirer par l'histoire que c'était pas dérangeant (j'ai un peu décroché sur la seconde moitié, j'avoue)! J'ai adoré le monde dans lequel on était plongé, plein de spiritualité, de combats, de forces, de stratégie, de chamanisme et d'équilibre, de remises en questions, ... Nous mêmes pouvons réfléchir sur certaines questions "philosophiques" mises en avant par l'auteur. (attention aux sujets sensibles abordés dans le livre, verifiez la liste avant de vous lancer)

J'ai trouvé l'histoire extrèmement complète. Je m'explique: les personnages ne sont pas noirs ou blancs, leur développement est cohérent et pas trop précipité comme dans beaucoup de livres fantasy et pour finir, le monde est très détaillé et construit. Cela peut amener à se perdre parfois, face à la quantité d'information, mais c'est un problème assez léger.

J'ai trouvé le développement de Rin extrêmement intéressant. Elle cherche à devenir meilleure et cela prend plusieurs années. D'ailleurs, si vous avez l'habitude des fantasy qui se déroulent en quelques jours/mois, c'est totalement différent ici puisque ce premier tome se passe sur au moins 3 ans, ce qui peut mener à confusion. Si l'on ne prête pas attention, on pense que Rin devient avide de pouvoir et de vengeance très vite alors qu'en y réfléchissant, la gradation de sa colère est cohérente.

Pour ce qui est du développement des personnages, ils sont tous très approfondis et complets.
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" La Guerre du Pavot" fut un véritable ascenseur émotionnel en terme de lecture. J'ai vraiment apprécié cette histoire, qui commence comme un roman d'apprentissage avant de prendre une tournure beaucoup plus sombre ensuite. Toutefois, si ma lecture s'est avérée périlleuse, ce n'est pas tant dû au travail des mots, qu'aux pièges que recèlent les réseaux sociaux... Je me suis fait salement, impitoyablement, spoilée la fin par une bookstagrameuse américaine que je suis depuis des années, et qui a trouvé amusant de publier des memes de la saga en story. Et quand je vous dit " la fin" , je ne parle pas de la fin du livre, non... mais de celle de la TRILOGIE. Arrivée au ¾ de ma lecture donc, il me fut assez difficile de l'achever en raison de cette énorme frustration, et j'ai dû laissé le livre de côté pendant une semaine avant d'avoir le courage de m'y remettre.

Je suis toutefois contente d'être arrivée jusqu'au bout, car l'intrigue en elle-même est vraiment plaisante, j'ai passé un très bon moment (ce qui rend le spoil encore plus frustrant, en un sens). le roman fait référence à l'histoire de la Chine, les provinces de Nikan et de Mugen représentant successivement la Chine et le Japon. Certains éléments sont des clins d'oeil à de véritables événements historiques : la guerre du pavot est un écho des guerres d'opium, Golynn Nis est un rappel du massacre de Nankin...

Dans cet univers féodal orientale, Rin est une orpheline de guerre, servant de bonne à tout faire à sa famille d'accueil. Afin d'éviter un mariage arrangé, elle étudie dur dans le but d'être admise dans la sévère Académie Militaire de Sinegard. Là bas, elle y étudiera les arts martiaux, le maniement des armes, l'art de la stratégie mais aussi... le shamanisme. Car Rin n'est pas n'importe quelle étudiante...

Si toute la première moitié du roman a vraiment des vibes « Harry Potter » pour le côté roman d'apprentissage dans une école presque coupée du reste du monde, la seconde partie, elle, change de ton directement. Elle est beaucoup plus sombre, violente, crû dans ce qu'elle met en jeu. Ces changements d'ambiance, et ces successions de violences font parfois que les transitions sont un peu lourdes ; passé ce cap, la lecture s'est révélée toutefois très fluide et prenante.

Les personnages sont assez intéressants, même si la protagoniste principale est une énigme à mes yeux : orpheline misérable au début, élève prodige face à l'adversité ensuite, pour finalement devenir une soldat impétueuse, colérique voire même complètement psychopathe sur la fin. Plus d'une fois, j'avais envie de la secouer par les épaules pour lui dire " Wouhou, c'est la GUERRE ma grande, arrête de pleurnicher parce que ton commandant n'a pas constamment les yeux tournés vers toi ". Dans un contexte gravissime et urgent, la voir se comporter comme une enfant égoïste et capricieuse me rendait complètement folle.

Et en même temps, j'ai apprécié cet aspect car l'autrice en a fait quelque chose d'assumé : Rin n'est pas une Mary-Su, il est clairement statué qu'elle est impulsive, dangereuse, cruelle et immature sur de nombreux points. Ces traits de caractère ne sont pas de " faux défauts ", j'avais vraiment l'impression pour le coup que l'autrice me disait clairement : " mon héroïne n'en est pas une : elle ne va pas bien tourner ". Ce qui fait que j'ai envie d'observer son évolution.

J'ai donc vraiment hâte de découvrir la suite, car je pense que si le premier volume est assez manichéen sur bien des aspects et semble vouloir apporter beaucoup d'éléments en un seul tome, c'est pour mieux se nuancer et se développer ensuite. Les deux autres ouvrages n'étant pas encore traduits en français, cela me donnera le temps de digérer (et oublier !) le spoil auquel j'ai eu le droit, afin de mieux apprécier la suite des événements.
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Avez-vous déjà ressenti ce sentiment, lorsque vous commencer un livre, et que vous vous dites « Merde, c'est un coup de coeur ». C'est exactement ce qu'il s'est passé. Sauf qu'en plus de cela, tout le long du livre, mon coup de coeur s'intensifiait parce que tout se déroulait comme j'aurais exactement aimé que cela se déroule. Cette lecture était vraiment incroyable et cette chronique sera difficile à rédiger car les mots le manquent.

On va évoluer dans un monde Asiatique mais inventé par R.F. Kuang. On y retrouve les arts martiaux, la culture, des références mais aussi beaucoup de symbolique derrière les prénoms par exemple.

Dès les premières pages, on va se sentir investi; Rin n'a peur de rien surtout pour réussir. Cet aspect nous allons le retrouver tout le long du roman, elle obéit aux ordres, car elle adore recevoir de l'attention par ses chefs. J'ai adoré cet aspect, bien souvent au contraire, le personnage principal n'obéit jamais. Mais même en obéissant, elle le fait à sa manière. Et Rin, est très spéciale. Elle n'a peur de rien, ni même de s'infliger des choses elle-même. C'est une dure à cuire, badass. Elle veux du pouvoir et à parfois des tendances psychopathes. C'est un personnage complexe qui ne mâchera jamais ses mots (vraiment jamais). Elle m'a vraiment bluffé, elle n'est pas parfaite, bien au contraire. Mais tout ce qu'elle fait donne suite à une morale de guerre très importante qui promets une suite du tonnerre. Avec elle il ne faut pas s'attendre à la gentille fille aimante, sympathique et qui est doué au combat. Elle est vache mais elle à de bons côtés, ou presque. J'ai adoré son évolution et ses nuances.

En parlant de fille aimante. Il n'y à pas de romance. Il y'a des intérêts parfois, mais aucune romance. Par contre, on va pouvoir admirer l'amitié fille/garçon sans aucune ambiguïté. Les personnages masculins sont très complexes, plus que Rin je trouve. Surtout Altan. Ce personnage était tout bonnement incroyable. Aucun personnage n'est bon, aucun personnage n'est gentil. Certains sont traumatisés, d'autres devenus fou, d'autres incompris… les émotions des personnages m'ont bluffés parce que c'est une part de l'homme qu'on ne voit pas assez dans la littérature, et qui nous est partiellement caché dans la vie « réelle » parce que c'est tabou.

Le ton du roman est addictif, R.F. Kuang nous compte l'histoire sur environ 6 ans de la vie de Rin, mais pas seulement sa vie. On va en apprendre énormément sur le monde dans lequel elle vit, la politique, les relations avec les pays frontaliers. le monde est vaste et très bien construit. Comme la mythologie qui est juste incroyable. Il y'a des références mais c'est très travaillé, dans les moindres détails. Il y'a des révélations, des temps plus calmes qui sont interessant, des fois des moments trop courts qui nous laissent avec plus de questions que de réponses.

La suite de ma chronique sur mon blog (+ Résumé traduit en Français): https://uneplumedetrop.wordpress.com/2019/01/23/the-poppy-war-r-f-kuang/
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S'il a fallu attendre 10 ans pour avoir les aventures de Soeur Marie-Thérèse des Batignolles (l'auteur en rigole dans les premières pages du livre), tant le coup de crayon ou l'humour de Maëster n'ont pas pris une ride.

Tout ce qui m'avait séduit il y a 20 ans est réuni dans cet album : l'aspect et la situation totalement irréels de la bonne soeur, l'humour, les jeux de mots, les à-peu-près, les petits détails dans les cases, les allusions (bon niveau de culture attendu pour en profiter pleinement), les guest stars caricaturés et tout autre délire.

J'ai tout simplement pris un grand plaisir à retrouver cette bonne soeur irrévérencieuse qui ne mâche pas ces mots mais assène quelques bonnes vérités.
Lien : https://quoilire.wordpress.c..
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J'ai abandonné ce livre, principalement à cause d'une héroïne incompréhensible et de problèmes avec l'écriture.

J'ai aimé l'imaginaire, le monde créé par l'autrice, j'ai aimé cette héroïne atypique. J'ai volontairement fermé les yeux sur les défauts de l'héroïne, trop impulsive, trop entêtée artificiellement, puis je n'ai plus pu. Rin est écrite comme pour une quête initiatique en roman jeunesse, puis tout change.
Ses motivations ne sont que la puissance pour la puissance, sans jamais être supportées par son passé. Ses insolences ne font pas rire, ni même sourire (une école militaire qui laisse passer des insultes ? Laissez-moi rire).

J'ai trouvé d'autres problèmes dans l'écriture. J'avais l'impression que l'autrice a été confrontée à la question d'un de ses bêta lecteur et l'a évacué en ajoutant une scène rapidos comme ça, hop là, on en parle plus. Un exemple avec les régles de l'héroïne qui vont être évoquées pendant quatre pages et demie. Un autre avec ses absences répétées qui ne lui font pas perdre son avance (oui mais elle est très intelligente, vous comprenez ?), ou son exclusion de cours de combats qui ne la pénalisera pas pour la matière, parce qu'elle va tout apprendre en théorie...

Le passage de la partie ado à la partie adulte ne m'a pas plus convaincue. le gore pour le gore m'a fait lever les yeux au ciel et j'ai passé un très mauvais moment avec une présentation de nouveaux personnages encore plus clichés que ceux de l'école (mais si, le bad boy, la pimbêche et l'interlo surdoué....).

En bref, je suis peut-être passée à côté du livre du siècle, mais j'ai trouvé l'écriture assez pauvre (la faute à la traduction ?) et mes attentes concernant l'histoire n'ont pas été satisfaites. J'en ressors frustrée.
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Pas de spoiler dans cette critique, je me suis arrêté avant la page 100... cela m'arrive rarement de lâcher un livre de fiction. Je vieillis et deviens exigeant ! J'avais de sacrées attentes au vu des autres critiques et d'un univers d'inspiration chinoise qui me vendait du rêve (La Grâce des Rois de Ken Liu est l'un de mes romans fantasy préférés). Mais quelle déception !

On va de cliché en cliché, la petite orpheline qui travaille tellement dur qu'en 30 pages top chrono elle rentre dans l'université la plus prestigieuse du pays (comme si elle était la seule du pays à être motivée...), la famille méchante qui rappelle les Dursley, ses camarades de classe clichés également... peut-être que le livre se révèle dans les chapitres suivants mais l'introduction n'avait vraiment pas grand chose à offrir, presque bâclée.

Ce qui m'a convaincu d'arrêter a été le cours d'histoire. Manière élégante d'expliquer l'histoire du pays au lecteur, le problème est que le professeur raconte des choses basiques d'histoire récente à des étudiants censés être l'élite de l'élite et ce n'est plus crédible du tout... mais ça n'est qu'un détail qui a été la goutte d'eau.

Ce qui m'a vraiment dérangé, c'est l'univers. C'est un copié collé de la chine, du Japon et des anglais. Je n'ai pas l'impression d'y voir beaucoup d'éléments originaux par rapport au monde réel. Alors je demande : pourquoi faire un monde fictif si c'est pour copier l'histoire réelle ?

Il fallait écrire une uchronie des guerres de l'opium ou développer un univers plus singulier. Là, je ne voyais pas ce que je pourrais tirer du livre, alors je l'ai abandonné. Je n'exclus pas d'y retourner un jour.
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Ce roman est passé à CA du coup de coeur, parce que franchement, l'univers est juste incroyable. Dans un univers inspiré de la Chine, de la guerre de l'opium et du conflit sino-japonais, nous retrouvons une école militaire préparant les élites. Une école militaire qui ne fait pas de quartier, seuls les meilleurs réussissent (d'où le côté un peu dark academia), chacun est habité par l'ambition, le pouvoir, la réussite, sortir de l'école et obtenir un poste haut placé. L'aspect militaire est très présent, avec de nombreux passages de stratégie, c'est précis et absolument passionnant.

Quant à Rin, elle est moquée dès le départ par ses origines modestes, son accent, son manque de connaissances aussi bien théoriques que militaires, mais elle sait une chose. Jamais elle ne retournera dans sa province, où ne l'attendent que misère et mariage forcé. Cela donne au personnage de Rin un aspect guerrier, c'est une héroïne forte qui ne se laisse pas faire, même si elle ne s'attendait pas à découvrir un pouvoir en elle qui va tout bouleverser.

Cette magie existe, sous le nom de shamanisme, mais n'est pas vraiment utilisée, elle fait peur, seul un étrange professeur semble y croire et va donner sa chance à Rin, qui semble posséder un pouvoir incommensurable. Tellement puissant que cela va la mener là où aucun autre n'a jamais mis les pieds, la mettant face à des choix cornéliens, la psychologie des personnages est intéressante, surtout sur la différence entre l'apprentissage en école, aussi militaire soit-elle, et la réalité de la guerre : barbare, inhumaine, violente. Certains passages sont crus et dégoûtants, l'autrice ne mâche pas ses mots pour décrire les sévices infligés en temps de guerre.

Qu'est-ce qui a fait raté le coup de coeur absolu ? Ce n'est même pas la faute de l'autrice qui signe vraiment une pépite de la fantasy que je conseille aux amoureux de fantasy complexe et intelligente. Non, le problème est que l'héroïne est habitée par la vengeance et je ne supporte pas les personnages dont c'est à peu près le seul but dans la vie. Je trouve qu'ils deviennent manichéens et un peu débiles, obsédés par la vengeance à tout prix. Tous les romans qui mettent en scène un personnage principal vengeur, ça me gave, c'est comme ça.
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“Une fois qu'un empire est convaincu de sa vision du monde, tout ce qui prouve le contraire doit être éliminé.”

La guerre du pavot, est clairement de ces romans qu'on ne peut pas classer. Au début du roman, je pensais lire une fantasy classique sur fond d'inspiration du conflit sino japonais, cependant la suite évolue dans une direction bien différente. D'abord, sur la relation de l'homme face au monde, son impact, l'univers développé autour du chamanisme propose une lecture tout en questions, en détour et en errances pour trouver les réponses.

La seconde partie du récit est terriblement marquante. La guerre éclate entre Nikara et Mugen et aucun superlatif me semble suffisant pour décrire les accès de violences qui se déroulent au fur et à mesure que le récit avance. Aucune paix n'est possible quand le cycle de la haine est libéré sur ce monde, quand on ne considère plus son ennemi comme un humain. Il ne reste plus qu'un trauma générationnel qui ne peut être guéri et qui alimente une haine à travers les âges. Au final, Rin est effectivement l'avatar de son dieu, celui d'une solution qui n'en est pas une, terriblement radicale.
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Une déception, qui partait bien !
Mais trop d'incohérences, et un manichéisme de plus en plus présent dans le roman qui finit par faire ressortir un peu trop ses emprunts à d'autres titres phares comme le Nom du vent ou même Harry Potter.
Si en plus la suite n'est pas prévue en France, pas de regrets !
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