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3,59

sur 113 notes
C'est peut-être bizarre à dire, mais certains romans sont plus romanesques que d'autres, et celui-ci est bien le roman le plus romanesque que j'aie jamais lu !

Adeline et Philippe Whiteoak préparent leur départ des Indes, où ils se sont rencontrés et mariés. Philippe a hérité de la maison d'un oncle, au Canada, et le jeune couple a décidé d'y émigrer. Ils prennent donc un premier bateau, avec leurs bagages, leurs meubles, leur petite Augusta et sa nurse indienne, direction d'abord l'Angleterre, où ils séjourneront quelques temps chez la soeur de Philippe, puis l'Irlande, où ce sont les parents d'Adeline qui les accueilleront avant leur grand départ pour les Amériques. Et puis, le grand saut, la grande traversée, et l'installation, d'abord à Québec, puis dans l'Ontario, et la construction de leur maison. Ce premier tome s'achève sur la visite des parents d'Adeline au Canada, et sur le baptême du petit troisième.

Les personnages principaux, Adeline et Philippe, sont loin d'être parfaits, et ils sont aussi agaçants qu'attachants. Ceci dit, j'aurais bien mis une paire de claques à Philippe, pour lui apprendre à flirter avec cette drôlesse de Daisy Vaughan !

Les personnages secondaires sont aussi très bien trouvés, avec leurs travers et leurs petits et grands secrets, leurs manigances et leurs tours pendables.

Le rythme est parfait, on ne s'ennuie pas un instant, et rien n'est trop abracadabrant.

Je pense que je continuerai avec grand plaisir cette fresque de seize tomes.

Encore une belle découverte grâce au challenge Solidaires 2021 !

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Une saga , lue à l'adolescence avec plaisir, que le Challenge solidaire 2021 me donne l'occasion de relire.

Pour être honnête j'ai mis un peu de temps pour rentrer dans l'histoire et m'intéresser aux personnages principaux, quand même très stéréotypés : La belle rousse irlandaise fière et au caractère bien trempé, son mari beau comme un dieu au flegme tout britannique, menant la vie oisive de garnison britannique en Inde...pas très passionnant .. Puis c'est le retour en Europe (Londres, l'Irlande ) et enfin le départ pour le Nouveau Monde, en l'occurrence le Canada ou le jeune couple va s'installer .Longues pages alors sur les traversées difficiles en bateau. Je n'ai vraiment commencé à apprécier qu'après l'installation au Canada : grâce à la plume très descriptive et très vivante de l'auteur, on a vraiment l'impression de découvrir le pays et les communautés francophones (à Québec) et anglophones (en Ontario)qui se sont installées sur ces terres presque vierges. Adeline et Philippe ne m'emballent toujours pas mais l'écriture est plaisante, c'est un peu comme un feuilleton télé en costumes et les paysages canadiens sont joliment peints.

Anecdote : j'ai été frappée par la place , ou plutôt la quasi absence de place , des enfants à cette époque . Adeline met au monde des enfants, sans grand enthousiasme d'ailleurs, puis « refile les bébés » (au sens propre ! ) à leur ayah indienne pour l'aînée et à une nounou anglaise pour les suivants, et ne s'occupe quasiment jamais d'eux excepté quelques présentations pour les faire admirer à la famille.... Idem d'ailleurs pour le papa, Philippe, qui n'aurait pas été contre laisser la petite Augusta en Angleterre et qui, sur le bateau, n'hésite pas à s'en débarrasser auprès d'une femme du pont inférieur qu'il ne connaît absolument pas ... Autres temps, autres moeurs !

Je pense que j'essaierai la suite pour voir apparaître d'autres personnages et tenter de retrouver le plaisir que j'avais eu à la première lecture !
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J'hésitais à me lancer dans cette lecture car une série de 16 tomes me paraissait un peu ambitieux en ce moment et je n'avais pas forcément envie de commencer une saga même si j'aime beaucoup ça. Mais je me suis laissée tenter par les bons avis et les conseils d'autres lecteurs. Et finalement, je suis complètement conquise par cette saga familiale. Il faut dire qu'elle a tout pour me plaire. Tout d'abord, elle se déroule au XIXème siècle et présente une plongée agréable dans l'histoire de ce siècle avec les migrations des Européens vers le Canada. Les personnages sont nombreux et très bien dépeints par l'auteure. Je suis charmée par les personnages principaux notamment l'héroïne de ce premier tome, Adeline, une jeune femme, téméraire, audacieuse et très moderne dans son comportement. Mais les personnages secondaires présentent également beaucoup d'intérêt et on a tous envie de voir comment ils vont évoluer. L'écriture est fluide et les chapitres s'enchaînent à l'image d'une série pleine de rebondissements.
Ce premier tome m'a rappelé la passionnante saga d'Anne de Lucy Maud Montgomery dont j'avais adoré la lecture pendant mon adolescence : même pays, même genre d'héroïne, même format de plusieurs tomes qui se suivent. Alors je suis ravie de retrouver le plaisir que me procure ce type de lecture et je suis déjà impatiente de découvrir la suite de cette histoire.
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Je sais maintenant, un peu tard, que j'aurais du commencer à lire la série des Jalna en commençant par celui que Mazo de la Roche a écrit en premier : le septième volume qui s'intitule tout simplement Jalna. Je n'attendais pas grand-chose de cette lecture, je ne peux donc pas dire que j'ai été déçu et d'ailleurs je n'ai eu aucune difficulté à aller jusqu'au bout. Les personnages secondaires sont mieux campés et plus crédibles que les deux personnages principaux. Philippe n'a guère de consistance. Quand à Adeline, quoique intelligente, elle a tout d'une jeune oisive écervelée. A aucun moment on ne sent un couple vraiment amoureux, leur amour a l'air de reposer surtout sur la beauté et leurs enfants ne sont guère autre chose que des bibelots dont on apprécie aussi la beauté. C'est d'autant plus étonnant qu'Adeline et Philippe font des remarques bien senties sur l'éducation des enfants des autres. Adeline a de beaux idéaux de liberté, en particulier par rapport aux conventions, mais elle fonctionne à l'instinct, blessant parfois les autres sans raison, manquant parfois de logique et totalement d'instinct maternel. Pour un peu elle aurait une conscience écologique : elle ne supporte pas que l'on tue des petits oiseaux pour le plaisir, mais accepte la chasse pour manger (et parce que c'est un sport!). L'histoire en elle-même n'a guère d'intérêt, il n'y a pas vraiment d'action, par contre il me faut reconnaître que Mazo de la Roche s'y entend pour rythmer son récit par quelques péripéties parfois intéressantes et bien racontées, ce qui, à défaut de vraiment me tenir en haleine, m'a encouragée à poursuivre. J'ai trouvé aussi qu'elle avait un réel talent pour faire des descriptions vivantes et objectivement réalistes. Mais on peut être réaliste et à côté de la plaque, la scène de bûcheronnage est très belle, pleine de détails crédibles, mais la tonalité est celle qu'on pourrait imaginer avec cette oisive d'Adeline pour narrateur : on ne sent pas la sueur, le travail. Plus d'une fois j'ai eu l'impression d'être dans Blanche-Neige et les sept nains (le dessin animé) : Blanche-Neige et les petits oiseaux, les nains partant gaiement au boulot, … il ne me manquait que la musique. Globalement j'ai eu l'impression de lire un roman d'un autre temps, reposant sur des valeurs déjà conservatrices vers 1850 (époque où se situe le début de l'histoire), ce qui est quelque peu déjà en contradiction avec les idées de l'héroïne, mais pas avec son mode de vie. Difficile de réaliser que ce livre a été écrit en 1944 ! Comme quoi un auteur peut avoir un vrai talent et être complètement déconnecté de son temps et des réalités.
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Voici donc le début chronologique de cette fameuse saga. Ecrit seulement en 1944, dix-sept ans après le succès du premier volume.
Tome très agréable à lire, varié et prenant.

L'histoire débute en Grande-Bretagne au milieu du 19e siècle. le jeune couple Philippe Whiteoak et Adeline Court, revient des Indes, où ils se sont rencontrés (à Jalna) puis épousés.
Ils profitent de quelques jours dans leurs familles (en Angleterre pour lui, en Irlande pour elle) et dans les plaisirs de Londres, avant de partir s'exiler au Canada, où un oncle leur lègue une maison.
Après un départ et un voyage mouvementé, le jeune et beau couple, que tout le monde envie, et leur fillette Augusta (dite Gussie) s'installent à Québec.
Après la naissance de leur premier garçon, Nicolas, des connaissances les persuadent de venir s'installer en Ontario où le climat est moins rude, les espaces larges et prospères, et la population bien plus anglaise qu'à Québec.
Ils espèrent ainsi reconstituer là une colonie anglaise, à la fois traditionaliste et novatrice.

Ainsi, l'installation en ce lieu de cette propriété familiale sera dû au hasard.
Le nom lui-même, bien qu'étant celui du régiment de Philippe en Inde, a été suggéré par un soupirant d'Adeline. Personnage plutôt sympathique dont on n'aura hélas plus aucune nouvelle passé les deux premiers tomes !

Le couple fondateur de la "dynastie" est un beau couple, intéressant, charismatique, plein de qualités et d'espoirs.
Même si j'avoue n'avoir pas une grande sympathie pour eux.
Notamment sur le bateau, où ils font étonnamment peu de cas de leur fillette.
Par exemple après la mort de son ayah, qui s'occupait d'elle depuis l'Inde, le père, ne sachant qu'en faire alors que la mère est malade l'envoie ​dans la cale pour qu'une émigrante, parquée là avec ses nombreux enfants, s'en occupe (sans demander l'avis de la dite émigrante !) Puis il reproche à sa femme le désordre de la cabine, alors qu'elle est alitée. Sans avoir l'idée de faire quoi que ce soit.
Je sais que ça se passait souvent comme ça mais tout de même.
Elle ensuite, jouant sans cesse avec les sentiments de Wilmott, sous prétexte de franchise.

Bref, j'aurais préféré ressentir plus d'attirance pour les personnages essentiels de l'histoire, mais ça ne m'a pas empêchée de lire ce tome avec grand plaisir.

Malgré beaucoup de fautes d'impression, qui m'ont surprise pour un France-Loisirs, même ancien. J'en ai trouvé bien plus que dans le roman numérique que j'ai terminé juste avant.

Certains détails de l'histoire m'ont un peu étonnée.
Comme par exemple : ils semblent qu'ils partent pour le Nouveau Monde un peu pour s'affranchir des conventions, mais en fait, les traditions sont fermement maintenues.
La femme enceinte​ doit toujours porter un corset serré. Ils savent pourtant déjà que c'est dangereux. Mais du moment qu'elle risque de voir du monde, pas question que ça se voit (et surtout s'il y a des jeunes gens, et même des jeunes filles !)
Et c'était à peine avant la naissance de mes grands parents !!
Je pensais les émigrants plus aventureux, moins attachés aux traditions !

Ce tome se termine peu après la naissance d'Ernest en 1854, premier enfant né à Jalna.
Lien : http://livresjeunessejangeli..
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Premier tome sur les 16 que compte la sage de Jalna et un véritable coup de coeur pour cet univers.
Tout d'abord j'ai aimé l'époque (nous sommes au milieu du 19ème siècle) et l'atmosphère d'attente créée par l'immigration de la famille d'Adeline et Philippe vers le Canada.
Leur découverte de ce nouveau monde est passionnante et on vibre avec eux lors de la construction de leur maison.
J'ai aussi beaucoup aimé les personnages, surtout Adeline, à la fois passionnée et écervelée, une deuxième Scarlett, avec un caractère entier.
Je pense que je ne vais pas m'en arrêter là :)
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Si vous avez envie de vous plonger dans cette saga, attention, il ne faut pas commencer par » La naissance de Jalna », même si c'est le premier tome proposé, parce que vous n'allez pas poursuivre. Cet ouvrage m'a beaucoup déçue et m'a paru mièvre. Durant mon adolescence, j'ai lu les 16 tomes des « Whiteoak de Jalna » de Mazo de la Roche dans la collection du Livre de Poche et dans l'ordre de leur date de parution. J'en garde un excellent souvenir. Cette saga vient d'être rééditée et ça m'a donné envie de m'y replonger durant l'été. Mais la nouvelle édition est présentée dans l'ordre de la chronologie familiale et « La naissance de Jalna » est en fait le neuvième, c'est-à-dire quand la veine commençait un peu à s'épuiser. Il me semble que pour apprécier « Les Jalna » il faut les lire dans l'ordre où l'auteure les a écrit. Je vais faire une seconde tentative en relisant « Jalna », le tout premier, édité en 1927, et si la sauce ne prend vraiment pas, c'est que mon adolescence est trop loin…
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Challenge Solidaire2021 Gwen21# lecture 14.
Jalna est une petite ville d'Inde où l'irlandaise Adeline et l'officier anglais Philippe ont vécu leurs premières années de mariage.
Ils décident de tout laisser tomber et d'aller vivre au Canada. Ils laissent derrière eux tous ceux qu'ils connaissent et aiment pour se lancer dans l'inconnu. Après un voyage plein de péripéties, ils s'installent dans l'Ontario. Ils achètent une magnifique propriété et lui donnent le nom de Jalna : c'était là bas qu'ils se sont rencontrés, qu'ils se sont mariés, un symbole de leur amour, un heureux présage pour les générations à venir.
Ce roman est le 1er d'une longue série. Une lecture pour ceux qui aimeraient replonger dans les sagas familiales d'une autre époque.
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J'aime les "vieilles" histoires, les récits démodés, les ambiances nostalgiques désuètes.
On m'a conseillé Jalna durant un stage d'observation dans un cabinet d'avocats (comme quoi tout arrive et c'est vrai que les études de droit mènent à tout !) et le conseil était judicieux : j'ai passé de très agréables moment en compagnie de la famille Whiteoak.
Ce roman est le premier de la série et nous raconte principalement l'histoire des "fondateurs" de Jalna : Philip Whiteoak et sa jeune épouse Adeline. Ils quittent les Indes et s'installent au Canada, où il font construire une superbe propriété : Jalna.
J'ai apprécié le caractère fougueux d'Adeline, les descriptions douces et détaillées de Mazo de la Roche et la profusion de personnages qui accompagnent les Whiteoak dans leurs aventures. En plus d'être désuets, ce roman-ci, avec la construction de la propriété et la découverte d'un nouveau monde, a un petit parfum d'aventure qui n'est pas pour me déplaire.
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Cet article risque d'être un peu long. Tant pis, pour une fois que je lis le premier tome d'une saga, tout en ayant la certitude que je ne lirai pas la suite. Lire un livre qui ‘est pas votre genre de lecture, oui. Poursuivre et découvrir la dizaine de volumes suivant, non.

Adeline et Philippe, c'est d'abord pour moi l'histoire d'un couple aisé, d'un couple qui peut se permettre de n'en faire qu'à sa tête. Ils se sont rencontrés puis mariés en Inde, leur fille Augusta y est née, et c'est après qu'ils décident de partir pour le Canada, où Philippe a hérité d'un de ses oncles. Ils se rendent néanmoins avant en Angleterre, puis en Irlande, pour voir leurs familles respectives. Au Québec, nous assisterons alors à la naissance de Jalna.

Simple et efficace. Sauf que…. il est des faits qui peuvent étonner, ce n'est pas une romance, c'est bien une saga familiale. Premier exemple : il est question, dans ce roman, de la dépression post-partum. Certes, elle n'est pas nommée ainsi, et elle ne l'est pas toujours actuellement (certains la confondent encore avec le baby blues), mais ce dont souffre Adeline est clairement décrit, tout comme est clairement décrit les maux de sa seconde grossesse. Autre point que l'on voit rarement dans les romans : alors qu'Adeline annonce cette seconde grossesse, Philippe lui reproche d'être tombé enceinte « trop tôt » – et elle de lui rappeler que c'est lui qui l'a mise dans cet état. Oui, Adeline ne se laisse pas faire, et c'est tant mieux. de même, Philippe se trouve fort démuni pendant la traversée quand Adeline ne peut pas s'occuper de Gussie, leur fille, parce qu'elle est trop malade du fait de sa grossesse et du mal de mer. Il confie donc la petite à une écossaisse mère de famille nombreuse : l'ayah dévouée n'a pas survécu à la traversée.

Je devrais dire « aux traversées » parce qu'ils ont dû rebrousser chemin, et que cela aura des conséquences pour la famille d'Adeline. Philippe dit tout le bien qu'il pense de certains membres, et Adeline de ne pas apprécier les reproches qui sont faits à elle et à sa mère. Oui, Adeline comme sa mère se « serre » pendant la grossesse – et même si cela est dit abruptement par Philippe, je me dis aussi que ce n'est pas très bon. Elle se serrera aussi pendant sa troisième grossesse, qui survient alors que Jalna est en construction – nom choisi en souvenir du régiment de Philippe, nom qui a vu naître leur amour.

Adeline tranche avec les autres femmes, parce qu'elle n'en fait qu'à sa tête et que personne ne parvient à raisonner. le qu'en dira-t-on ? Très peu pour elle. Se rendre seule chez un homme ? Oui, c'est un ami, ils ont effectué la traversée vers le Québec ensemble, et il lui a livré un gros secret pas très reluisant (à mes yeux) même si, autre temps, autre moeurs, il aurait pu de nos jours résoudre ses soucis personnels autrement. Adeline tranche avec les autres femmes, plus conventionnelles, plus attentives à leur famille aussi – Adeline ne sait pas trop comment tenir une maison. Adeline est irlandaise aussi, qu'on se le dise ! Ne venez surtout pas lui dire du mal de son pays.

Adeline ne se laisse pas faire non plus. Les ordres du docteur, qui lui interdit de se lever avant trois jours après son accouchement ? Elle n'en tient pas compte. Ses menaces ? Elle s'en moque également. L'allaitement ? Avoir une charmante chèvre à disposition, c'est bien utile. le slogan n'existait pas à l'époque, et pourtant : son corps, son choix, pourrait dire Adeline. Par contre, les enfants… sont souvent livrés à eux-même, la nurse semble débordée, prompte à se reposer sur la jeune Gussie (quatre ans), qui a bien compris que ses frères étaient les chouchous de la famille.

Jalna – un domaine dont nous assistons à la construction pas à pas, au fil des saisons, des joies liées à chacune d'entre elles, comme le fait de patiner, par exemple, ou de se baigner, l'été, au grand dam de certains canadiens.

La fin de ce tome 1 annonce déjà la suite – l'on sait qui sera le prochain maître de Jalna, liant ainsi trois familles entre elles.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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