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4,36

sur 1154 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Le goût du bonheur :
Gabrielle
Adélaïde
Florent
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J'ai découvert ce livre par une amie qui me l'a offert pour mon anniversaire. Quelle belle découverte. Bien écrit. J'ai bien aimé le lexique pour les locutions québécoise. Belle entrée en matière pour cette saga que j'ai dévoré.
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Parfois, une personne vous mets un livre entre les mains et vous conseille de le lire. Et là vous vous dites : « Mouais... je vais essayer » ... pas parce que ce livre vous tente, mais parce que vous aimez lire. Ce livre, dans le fond, ne vous fait pas tant envie que ça...
Vous le commencez, sans grande conviction... les pages défilent lentement, l'envie de poursuivre également...
Le vocabulaire franco/canadien/anglais vous rend septique... puis vient le premier petit rire. LE rire qui fait toute la différence ! Et là, vous vous mettez vraiment à lire.
L'ambiance peu chaleureuse des années 1930 où les femmes n'ont pas voix au chapitre, le temps où les moeurs sont non contestables, où les mariages sont (dans 99% des cas) arrangés... voilà ce qui se dégage de ce livre. Mais il n'y a pas que ça... c'est avant tout l'histoire d'une famille issue d'un mariage d'amour qui nous émeut de la plus sincère des façons.
Je ne peux pas vous expliquer l'histoire, tellement elle est longue et merveilleuse (elle se déroule sur plusieurs années). Je peux juste vous conseiller cette lecture que j'ai trouvé unique. Elle nous fait passer par toutes les émotions possibles. Je n'ai qu'une hâte, me lancer dans le tout aussi long deuxième tome de cette trilogie.
Merci à la personne qui a su avant moi que ce livre serait un beau coup de coeur !
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Gabrielle avec la pointe discrète de l'exotisme Québécois nous emporte dans ce tourbillon familial... Plus de 1000 pages sans une note d'ennui, Gabrielle est difficile à lâcher et une fois fini je me suis jetée sur Adélaïde puis Florent.
Une saga familiale envoûtante.
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La dernière fois que j'ai dévoré un livre. Une fresque familiale sur plusieurs générations, des héroïnes touchantes et attachantes. Un régal.
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J'ai adoré ce roman de la première à la dernière page, pourtant il y en a 868!
Tout y est: des personnages attachants comme Nic, Gabrielle, Adélaïde ou encore Florent, mais aussi des personnages que j'ai adoré détester comme Georgiana et Kitty.
On parcourt sur plusieurs années la vie de la famille Miller et ses proches. Leurs étés sur l'île d'Orléans, l'évolution de la condition de la femme, les mariage arrangés et les prémices de la seconde guerre mondiale.
Les dernières pages m'ont fait tirer une larme...
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Un roman fleuve, une saga .... certains n'aiment pas , moi j'adore ....quand c'est bien fait , et là c'est la cas .

Premier tome d'une trilogie , presque 900 pages , j'ai pu le lire en peu de temps (comme j'aime )parce qu'en vacances et je ne me suis pas ennuyée une seconde . Tout m'a plue, de la description de la ville de Québec, lieu principal du roman , aux personnages: attachants et crédibles , en passant par les évolutions de mentalité et la montée des idées qui ont favorisées le nazisme .

Evidemment le personnage de Gabrielle est un peu trop parfait tout comme la merveilleuse histoire d'amour qu'elle vit avec son cher et tendre époux .... (serais-je un peu jalouse ....) mais pourquoi bouder son plaisir , une belle histoire d'amour , à Noël en plus , ça ne se refuse pas !

J'ai particulièrement apprécié , tout ce qui concerne l'évolution , lente , de la vie des femmes . Pas à pas , touche par touche , il en a fallu des "suffragettes" pour que nous puissions enfin ( et pas partout !) être considérées comme adultes, majeures et responsables !

L'église a une place de premier ordre , trop de place pour moi . On y retrouve toujours cette religion punitive , où l'amour de son prochain est surtout l'occasion d'une soumission totale au pouvoir de l'église , moi qui n'ai fréquenté aucune église , je suis toujours surprise de la distorsion entre les valeurs des textes originels et ce qu'il en est fait .... J'avais rencontré dans Maria Chapdelaine ce même discours . J'imagine donc , que la religion a eu une place prépondérante au Québec , comme en Irlande où il me semble bien que, là aussi , la religion a été vu plus comme une menace permanente que comme quelque chose de généreux .... En a -t-il été autrement quelque part .....?
Lien : http://theetlivres.eklablog...
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Voilà un livre dont je n'aurais jamais eu vent sans la blogosphère !

J'aime beaucoup les sagas familiales et là je suis servie. Je n'ai lu que le premier tome du « Goût du bonheur » mais j'ai hâte de commencer le deuxième (c'est une trilogie).

Cette fresque commence en 1929, au Québec et se poursuit sur deux générations.

Gabrielle et Edward Miller forment un couple uni. Amoureux comme au premier jour (ce qui n'était pas monnaie courante à cette époque), ils ont six enfants, dont Adélaïde, l'ainée au caractère bien trempé. Autour de cette famille qui offre l'image de l'harmonie gravitent les deux soeurs de Gabrielle, Nic MacNally, l'ami de toujours, Florent le jeune protégé d'Adélaïde ou Paulette la sufragette ... autant de personnages attachants.

La découverte du Québec des années 30 qui sombre dans la crise est très intéressante et j'ai d'autant plus apprécié que le texte est émaillé de mots et d'expressions québécoises, tour à tour surprenantes ou amusantes.

La condition des femmes, dont la liberté est fortement entravée par les principes catholiques et le pouvoir des hommes est un peu le fil rouge de ce premier tome dont Gabrielle est l'héroïne. Mère courage, brillante, belle, et généreuse … son goût au bonheur est une leçon de vie pour ses proches et pour le lecteur qui ne peut que s'attacher à ce personnage central.

Certes, ce n'est pas de la littérature du niveau des Hauts de Hurlevent mais ça fonctionne bien : de l'aventure, du romantisme, un soupçon de grande histoire, des pages en grands nombre (mais pas de longueurs) … c'est léger et enlevé, vivant et généreux, ça a le goût du bonheur !!

Lien : http://www.instantanesfutile..
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J'ai lu ce gros livre en été 2013. Cela se passe à Québec dans une famille plus que bourgeoise.
Les personnages sont attachants et bien comme dans la vraie vie. Certains, comme Gabrielle déploient une grande énergie vitale et d'autres comme sa soeur sont plus fragiles, moins énergiques.
Les expressions canadiennes m'ont beaucoup amusée.
Bien qu'on soit dans les années 30, les femmes ont déjà dans ce milieu, un moyen contraceptif qu'est le diaphragme. On en était loin dans nos régions je crois.
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Quelle saga, quelle femme, quelle famille; J'ai dévoré ce bouquin magnifique trop court malgré le nombre de pages; vivement la suite...
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