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3,95

sur 412 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Parodie cultissime d'Heroic Fantasy bidonnante. le Donjon Naheulbeuk est un bon fou rire à chaque planche pour tous les adeptes du jeu de rôle.

Marion Poinsot et John Lamg sont parvenus à reporter l'atmosphère délirante de la version audio de l'excellent Donjon de Naheulbeuk à travers ces graphismes chatoyants qui, je trouve, collent parfaitement à l'univers.

Les novices à qui l'univers des donjons n'est pas commun se régaleront néanmoins à la lecture des aventures rocambolesques et désopilantes de ces sept aventuriers hilarants.
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Excellent !
J'ai cette BD depuis un bon moment mais elle ne m'attirait pas plus que ça.
Et bien j'avais tort car c'est une parodie très drôle, bourrée de références issues des jeux de rôle.
Le dessin est quant à lui riche et très soigné.
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Une joyeuse bande composé d' un ogre, d'une elfe, d'un nain, d'un ranger qui se dit être le chef, d'un voleur et d'une magicienne...et vous voilà plongé au coeur de l'univers de Naheulbeuk ! Bande dessinée nous emmenant dans une univers de fantasy parodié. Les dessins sont drôles et les personnages, représentant chacun un archétype des figures que l'on retrouve dans les jeux de rôle, sont attachants, chacun à leur manière. Tout lecteur aura cependant sa préférence. Pour moi, c'est la magicienne...Enfin bref, j'ai adoré !
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Une bd avec un humour qui me fait penser à Kaamelott où tout le monde passe plus de temps s'envoyer des fions qu'à avancer dans la quête. Une sorte de partie de JDR où tout le monde joue comme il veut.
Côté dessin c'est propre et assez détaillé.

Je conseille fortement, ça se lit rapidement et c'est très drôle.
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Je connais le donjon de Naheulbeuk via la série audio que j'ai écouté ado puis que je récoute entièrement depuis quelques mois, et dont je connais certains passages par coeur.
J'aime cette série par son humour, son décalage, cette non prise au sérieux, cette moquerie des séries d'aventure que je lis avec plaisir par ailleurs ;)
La BD est fidèle au mot près à la série audio, j'y retrouve donc les gag qui me font mourir de rire tout en ayant une possibilité de retrouver certains passages plus facilement sur papier que sur le fichier audio.
J'aime toujours autant les dialogues, les péripéties complètement what the fuck que vivent notre groupe hétéroclite, les relations entre le nain et l'elfe, le pragmatisme de l'ogre, l'apprentissage en temps réel de la magicienne, le voleur qui a oublié son courage au début de l'aventure... c'est très drôle.
Le style graphique me plaît bien, je retrouve bien l'idée que je me faisait des lieux, des persos, de l'ambiance colorimétrique.
J'ai emprunté ce 1er tome à la médiathèque et ai pris le 2e dès que j'ai retourné le 1er pour continuer ma lecture!
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Quel bonheur de retrouver notre joyeux troupe d'aventuriers « roleplayer » des années après avoir passé mon temps à écouter les audios de Naheulbeuk ! John Lang nous offre l'adaptation parfaite accompagné des excellents dessins de Marion Poinsont.

L'histoire est simple, une troupe d'aventuriers aux profils très différents entrent dans un donjon pour récupérer une amulette. Malheureusement, ces débutants vont avoir un peu de mal à avancer et nous sommes parties pour 2 tomes de pures rigolades. Zangdar n'a qu'à bien se tenir !

Qu'est-ce qu'on rit ! J'ai adoré retrouvé cet humour qui fait mouche, spécialement chez les rolistes. Ce n'est pas tant une critique du bouquin que de l'oeuvre « Naheulbeuk ». Tout cela relève du génie. Les blagues sont vraiment très réussies, audio ou lecture !

Les dessins sont aussi très réussis. J'ai adoré retrouvé l'univers que j'avais imaginé et le tout retranscrit justement parfaitement mon imaginaire.

Une bonne BD à mettre dans les mains de tout rôliste !
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Cette BD retrace les aventures d'une bande d'aventuriers bon à rien au travers du fameux Donjon de Naheulbeuk. Adaptée de la série sonore de John Lang - alias Pen of Chaos - cette bande dessinée met en image et en couleurs les péripéties de cette troupe de bras cassés. Certains seront déçus car la version figée sur papier ne retranscrit pas la spontanéité des répliques, le ton humoristique et le rythme effréné de l'aventure. le dessin de Marion Poinsot donne vie à ces personnages hauts en couleurs, tout en restant dans un registre relativement comique et non-réaliste.
Des références cinématographiques, littéraires et de JDR parsèment les différents tomes de la série : un vrai régal pour les amateurs du genre qui apprécieront ces clins d'oeil.
Cette BD est un bon moment de lecture à replonger dans les aventures cultes du Ranger, du Nain, de l'Elfe et tout le reste de la compagnie ! A suivre en même temps que les épisodes Mp3, ou en lecture seule.
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Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh j'adore cette BD J'avais deja entendu en vocal mais le voir en BD c'est vraiment génial, drole, hilarant meme
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Je viens à peine de découvrir la série en BD en farfouillant dans les rayons de ma médiathèque. C'est en faisant de petites recherches sur internet après ma lecture du tome 1 que je me suis rendue compte que c'était tiré d'une série audio. Je suis passée complètement au travers quand c'était au top de sa popularité. J'ai depuis écouté la saison 1.

Les dialogues ont été retranscrits dans la BD quasiment mot pour mot. Il y a des blagues toutes les deux répliques, l'humour allant du caca prout de maternelle à bien plus subtil. Cette profusion et cette inconstance cassent tout suspens ou drame qu'on aurait pu attendre dans des aventures de fantasy.
En même temps, cette série n'a nul autre objectif que d'être un délire de fans d'après ce que j'ai compris.

Les BD ont l'avantage sur la version audio dans la mesure où il est bien plus facile de se repérer dans tous les personnages. Les seules voix ne m'ont pas aider à mémoriser les personnages.
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Le Donjon de Naheulbeuk, ou l'incroyable histoire d'un succès non démenti jusqu'à ce jour.

Tout commence au début de ce siècle, lorsqu'une bande de potes passionnés de jeux de rôles, de l'esthétique médiévale, de chant et de toute cette sorte de choses décide d'un commun accord que la Fantasy, c'est bien, mais quand c'est drôle, c'est mieux.

Naît alors une saga parodique audio, téléchargeable gratuitement et légalement sur le site du Pen of Chaos. A base de Ranger, de Magicienne, d'Ogre et de Barbare, sans oublier le Nain, l'Elfe et le Voleur, cette série truffée de références en tout genre renverse complètement les codes de la Fantasy et du jeu de rôle. A la manière de Terry Pratchett (Les Annales du Disque-Monde) pour sa façon de briser les codes, et de François Pérusse pour le concept de capsules audio humoristiques (Les 2 minutes du Peuple), nos joyeux drilles envahissent un donjon, à la recherche de la douzième statuette de Gladeulfeurha, sans du tout savoir quels terribles dangers les attendent…

Inévitablement, quelques années plus tard, forts de leur succès populaire (principalement dû au bouche-à-oreilles pour ceux qui ne fraient pas dans les conventions GN), naît la bande dessinée. Marion Poinsot, dessinatrice de son état, rejoint John « Pen of Chaos » Lang et sa troupe et l'aventure éditoriale commence. Attendue au tournant par la communauté déjà importante de fans, Marion Poinsot adopte un trait plutôt mignon et rondouillard, un peu à la manière des chibi dans les manga : la tête compose un tiers du corps, les yeux sont immenses et les jambes presque absentes (c'est encore plus flagrant pour le Nain, haha !). A noter également la couleur, très réussie, de Lorien. Les textes étant, quant à eux, à peine retouchés, on entend véritablement la voix des personnages, ce qui rend l'immersion jouissive.

Ce groupe hétéroclite de protagonistes est (théoriquement) l'association idéale de talents pour s'aventurer dans une quête telle que parcourir un donjon. Sauf si, bien sûr, tous ses membres sont de niveau 1 et ne peuvent pas se supporter. le Ranger « au regard d'acier » est un très mauvais leader et n'a aucun sens de l'orientation ; la Magicienne – qui passe son temps le nez dans ses grimoires – soit rate ses sorts, soit touche le Nain ; l'Ogre, lui, ben… on comprend pas ce qu'il dit, à part la Magicienne (« comme quoi les Magos servent à quelque chose ! ») ; le Barbare s'exprime le plus souvent par des grognements et autres monosyllabes (ah si, il connaît le mot « Baston ») ; l'Elfe est nyctalope (ce qui est bien, pour une Elfe) et ne supporte pas le Nain ; le Nain, lui, est comme tous les autres (il est petit, quoi) et est là juste pour emmerder [sic] l'Elfe ; et le Voleur est un pleutre, à qui les tâches ingrates reviennent, parce qu'il ne sait « rien faire d'autre ». Bref, en lieu et place de véritables héros partis accomplir une noble quête, on se retrouve avec des incompétents de première, qui sont là juste pour (tenter de) gagner de l'XP(terme fréquent dans les jeux de rôle (vidéo ou autre), signifiant « points d'expérience », à gagner au combat ou en résolvant des énigmes, permettant au personnage de monter en niveau et de devenir ainsi plus puissant). Mais c'est tellement drôle.
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