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J'ai un peu moins apprécié le second tome mais ce qui ne m'empêche pas d'avoir hâte de commencer le dernier.
L'histoire est un peu plus contemporaine.Nous faisons une petite escale à Paris avec les peintres de l'époque .
Nous parlons homosexualité et oui les années passent mais le problème demeure.
Le livre se termine avec l'évocation de l'aviation.
Il ne faut surtout pas oublier le droit de vote des femmes.
Un très grand voyage dans l'histoire.
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«A l'ombre de l'arbre kauri» fait suite «Aux rives de la terre lointaines» qui m'avait bien plu .
Dans ce tome , on retrouve beaucoup de personnages du précédent et de nouveaux font leur apparition .
Est-ce parce que le livre fait 750 pages ? Est-ce parce qu'il y a moins de péripéties romanesques ?
Mais je lui ai trouvé beaucoup de longueurs : Sarah Lark s'embourbe de nombreuses fois à décrire la vie des communautés maories utilisant les termes de cette langue , pages ( trop ) détaillées sur l'élevage des chevaux , longs discours des ligues de tempérance et de suffragettes , considérations politiques que j'ai trouvées ennuyeuses ....
Ce livre m'a donc procuré beaucoup moins de plaisir de lecture que le précédent . J'ai même eu hâte de le terminer pour passer à autre chose ! Je lirai le prochain sûrement , en espérant retrouver le plaisir du 1er tome .
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J'avais adoré Les rives de la terre lointaine, qui racontait l'arrivée de Kathleen, Lizzie et Michael en Nouvelle-Zélande, j'ai un peu moins aimé suivre leurs enfants.

Dans ce deuxième volume, Colin, le fils voleur et mauvais de Kathleen revient en Nouvelle-Zélande, tandis que Matariki, la fille de Lizzie et Michael redécouvre ses racines maories. A ces personnages s'ajoutent Heather, la fille de Kathleen, qui prend sous son aile Violette, une enfant irlandaise immigrée avec son père alcoolique. On suit donc quatre personnages principaux avec leurs joies et leurs malheurs, qui se croisent et se recroisent, comme toujours dans les romans de Sarah Lark. Si j'ai un peu moins apprécié ce deuxième tome c'est parce que je lui ai trouvé moins d'aventures et de rebondissements que dans le premier, je m'attendais à beaucoup des événements qui se sont produits et je n'ai donc pas eu l'effet de surprise.

En revanche, il faut souligner l'importance du contexte historique ici, peut-être encore plus que dans Les rives de la terre lointaine car on assiste à la colonisation complète de la Nouvelle-Zélande, aux conflits avec les maoris et aux croyances indigènes. Cette partie du roman était proprement passionnante, on sent que l'autrice s'est documentée et on a peine à déceler le réel de la fiction. de plus, il faut aussi souligner la présence d'un personnage homosexuel et c'est vraiment bien de montrer que l'homosexualité a toujours existé et n'est pas propre à notre société moderne.

Les personnages sont comme d'habitude si bien décrits dans leur caractère et leur histoire qu'il est difficile de ne pas s'y attacher (hormis Colin qui est un pourri du début à la fin). Mon petit coup de coeur va à Violette qui essaie de s'en sortir malgré les difficultés de sa vie, et à Heather qui nous montre la vivacité de la vie artistique à l'époque, notamment en Europe. J'ai eu un peu plus de difficultés avec Matariki car son indécision me tapait sur le système, mais en même temps comment ne pas la comprendre ? Mi Pakeha, mi maorie, elle doit trouver sa place et découvrir qui elle est réellement.

Sarah Lark a encore une fois réussi à m'embarquer en Nouvelle-Zélande, à mettre en avant des femmes fortes et à me captiver sur près de 800 pages. Il me tarde de lire le dernier tome de cette trilogie, avec la belle édition collector qui sortira surement en décembre !
Lien : https://leslubiesdeole.wordp..
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J'adore Sarah Lark, vous vous souvenez? C'est cette incroyable auteure dans le style de Tamara McKinley, toutes deux sont capables de nous présenter des sagas familiales sur des années, le tout en faisant en sorte que ce soit toujours surprenant, toujours dépaysant, toujours.. plutôt génial en fait.


L'année passée, à peu près à la même période, je vous présentais le premier tome de cette saga. Comme la précédente, le pays du nuage blanc, on peut lire chaque livre indépendamment des autres, lire juste le deuxième, juste le troisième.. peu importe. Chaque histoire est indépendante même s'il s'agit toujours des enfants ou petits-enfants des personnages d'avant et que ceux-ci sont souvent encore présents. Malgré ça, tout est présenté de façon à ce qu'on comprenne tout même en lisant seulement le dernier par exemple.


Ici c'est donc les enfants de Lizzie, Michael et Kathleen que nous suivons plus une nouvelle famille qui est, étonnamment, plus au centre de l'histoire que les autres, au moins un peu. Nos trois héros du tome précédent ont vieilli, sont des adultes accomplis, chacun ayant une situation plutôt confortable. Lizzie a donc eu une fille avec un chef maori, Matariki, que Michael a élevé comme sa propre fille. Ils ont également d'autres enfants sans importance aucune dans le récit. Elle est le "côté maori" de l'histoire. de l'autre nous avons une petite nouvelle, Violet, une jeune fille de mineur qui se retrouve par un hasard étrange de circonstances en Nouvelle-Zélande avec sa petite soeur, son père, son frère et l'un de ses amis. Ces deux jeunes filles m'ont fait connaître une multitude de situations sociales, économiques et culturelles, chacune vivant des aventures plutôt mouvementées. Nous les regardons grandir, du début de l'adolescence jusqu'à ce qu'elles deviennent des jeunes femmes accomplies.


Bien sûr, il y a une tonne d'autres personnages. Des gentils, des méchants, des très méchants.. Comme souvent dans ce genre de sagas certains hommes sont effroyables et ici encore j'ai serré les dents de nombreuses fois en voyant les épreuves que les filles traversent.. Je n'ose pas en dire trop de peur de spoiler, si je vous dit un tant soit peu ce qu'il se passe vous perdrez toute surprise en tournant les pages alors que c'est ce qu'il y a de meilleur! Sachez seulement que tout s'enchaîne, que la Nouvelle-Zélande est au centre de l'histoire, que ce soit géographiquement qu'historiquement. On le sentait dans les autres tomes déjà mais ici les choses changent, les mentalités aussi, le peuple néo-zélandais est prêt à se battre pour se tourner vers la modernité, une période vraiment intéressante!


Je ne sais pas si vous vous souvenez mais mon avis sur le premier tome, Les rives de la terre lointaine était un poil partagé, même un peu négatif. Ici, il n'en est rien! Je ne dirai pas que j'ai vibré tout le long du roman ni que certaines choses n'étaient pas un peu prévisibles, il n'en reste pas moins que j'ai passé un excellent moment. J'ai beaucoup réfléchi hors lecture à ce qui allait arriver dans la suite et ça, c'est un très bon signe! Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde, on voyage constamment, on change d'endroits, de cultures.. j'ai encore vécu quelques jours incroyablement dépaysants grâce à Sarah Lark, un vrai bonheur!



Lien : http://mamantitou.blogspot.b..
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En lisant A l'ombre de l'arbre Kauri, j'ai été ravie de constater qu'il s'agissait de la suite de Les rives de la terre lointaine. En effet, en lisant la 4° de couverture, je n'avais pas prêté attention aux prénoms du couple évoqué qui auraient pu me le rappeler.
Ce fut donc une agréable surprise et un plaisir de découvrir cette suite qui pour moi est le meilleur que j'ai pu lire de Sarah Lark. Et tout comme la trilogie de le pays du nuage blanc de l'autrice, je suppose que je peux m'attendre sans doute à un troisième volume que formerait cette dernière série. Je l'espère du moins. J'ai par ailleurs beaucoup apprécié que certains personnages de la première trilogie soient évoqués fortuitement dans ce roman. C'était surprenant et délicieux à la fois.
Dans A l'ombre de l'arbre Kauri, nous suivons la vie des deux filles respectives de deux couples du précédant roman et de tous les personnages secondaires que nous connaissions déjà. Une autre héroïne, elle, est nouvelle. Il s'agit de Violette qui vient avec sa famille d'Angleterre tenter sa chance en Nouvelle-Zélande en 1875. Violette est un magnifique personnage que j'ai énormément aimé et dont j'ai beaucoup apprécié l'évolution. Elle restera, je crois, l'un de mes personnages préférées de la littérature du genre saga.
Evidemment, il y a encore des choses très difficiles dans ce roman à propos de ce que vivent certains personnages, particulièrement les femmes bien sûr, qui présentent une illustration du pourquoi la Nouvelle-Zélande fut le premier pays a accordé le droit de vote aux femmes. C'est cet épisode historique qui le rend d'autant plus et particulièrement intéressant.
Par ailleurs, j'aime beaucoup retrouver grâce à Sarah Lark le peuple maorie, son histoire, ses coutumes et son langage. On finit vraiment par agréablement s'y familiariser.
Ce roman peut se lire indépendamment du premier, mais je trouve que c'est mieux quand même d'avoir lu le premier avant. C'est plus plaisant pour la compréhension de la suite et pour l'attachement que l'on a pu ressentir déjà pour la génération des parents.
L'intrigue est prenante et passionnante à suivre car elle évoque plusieurs histoires en alternance qui se recoupent ensuite. Palpitant ! Un coup de coeur pour moi !
www.ladyromance.over-blog.com
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Un volet en droite lignée de son prédécesseur

Petit conseil : si vous n'avez pas lu le premier volet de la saga ("Les Rives de la terre lointaine"), ne commencez pas par celui-ci car vous n'allez pas y comprendre grand-chose. Les héros de ce nouvel opus sont,en effet, les fruits d'unions et de désunions multiples qui mériteraient presque un arbre généalogique à lui tout seul. En gros, il y a des mères, des pères des soeurs, des frères, des demi-frères, des demi-soeurs, des belles-mères, des beaux-pères, etc… Donc pas de zèle sur ce coup car, sinon, vous n'y survivrez pas !

Deuxième conseil : ne soyez pas effrayé par l'épaisseur de la bête (plus de 700 pages) car, comme pour le premier volume, cela se lit avec une facilité et une rapidité déconcertantes.

Cette suite s'intéresse avant tout à l'histoire de la deuxième génération des Coltrane et des Drury. On suit ainsi les destins de Sean, Colin, Heather ainsi que Matariki, destins qui, il faut l'avouer, n'ont rien à envier à ceux de leurs parents en matière de rebondissements et de complications en tous genres. Sarah Lark, comme dans "Les Rives de la terre lointaine", réussit à merveille à faire s'entrecroiser ces différentes destinées bien que cela ne relève pas, au premier abord, de l'évidence. Et c'est en cela que le roman surprend à plusieurs reprises en entraînant le lecteur vers des aventures auxquelles il ne s'attendait pas et ce, sans pour autant perdre le fil de l'histoire. C'est sans doute une des choses qui me plaît le plus dans les romans de Sarah Lark.

Côté thématiques, on reste dans la continuité. On retrouve la question des violences faites aux femmes, celle du conflit lié à la colonisation britannique et des rapports houleux entre armée et tribus maoris. On apprécie notamment l'illustration du mythe du bon sauvage donnée à travers la communauté de Parihaka et son chef, Te Whiti, sorte de Gandhi avant l'heure. L'humanité aurait d'ailleurs beaucoup à apprendre de ces passages remplis de bonté, de sagesse et de zénitude. le féminisme inhérent à cette saga se retrouve, également, renforcé. En effet, outre les personnes féminins d'une force incroyable face à l'adversité de certains mâles mal dégrossis, Sarah Lark aborde la question de la lutte pour le droit de vote des femmes ou celle de l'homosexualité féminine, ce que j'ai trouvé absolument passionnant. Et les personnages de Rosie, Roberta et Atamarie nous prédisent un troisième tome qui devrait encore faire avancer la cause féminine… du moins sur le papier.

Ma chouchoute à moi

Etrangement, ce n'est pas un personnage des lignées Coltrane et Drury puisqu'il s'agit de Violette, cette enfant devenue, à la mort de sa mère, le souffre-douleur de son père et de son frère. Elle incarne à elle seule l'abnégation ultime quand sa soeur Rosie, suite à un épisode traumatisant, en arrive à perdre presque la raison. On sent en elle ce désir de vivre non pour elle-même mais pour ceux qu'elle aime. L'on n'espère qu'une seule chose tout au long du roman : c'est qu'elle trouve enfin le bonheur.

Mes têtes à claques à moi

Evidemment, les hommes décrochent le pompon en les personnages de Colin Coltrane, l'être le plus abject qui soit (mais bon quand on a connu son père dans le premier tome, on aurait presque envie de lui trouver des circonstances atténuantes… non, en fait, même pas) et Eric Fence qui aura, heureusement, un destin à la hauteur de sa médiocrité. Mais je décernerais quand même un accessit à deux personnages féminins : Cholé et Matariki. Parce que bon, quand même, elles sont un peu « cruchottes ». Toutes les deux tombent amoureuses de Colin, toutes les deux sont mises en garde par leurs proches et toutes les deux décident quand même de foncer la tête la première dans une histoire d'amour à sens unique… Je veux bien croire que l'amour est aveugle, mais là faut pas déconner !

Au final, une suite qui remplit pleinement son rôle en nous proposant une saga pleine de rebondissements avec des personnages hauts en couleur et voués à des destins étonnants. Je vous recommande grandement la découverte de Sarah Lark si vous ne l'avez jamais lue.
Lien : https://mespetitsplaisirsamo..
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Un livre de passions, de femmes, d'espoirs, de conquêtes, de libertés, d'égalité homme-femme. Un livre sur un morceau d'histoire, celle des colons arrivés en Nouvelle-Zélande et construisant ce pays pour en faire ce qu'il est aujourd'hui. Un roman des grands espaces, des paysages magnifiques, un roman d'aventures au féminin. Vous l'avez compris, Sarah Lark m'a conquise.
Lien : https://branchesculture.com/..
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Après avoir suivi les péripéties de Kathleen, Michael et Lizzie à l'autre bout du monde, place désormais à la nouvelle génération, portée par Matariki, une demi-maorie fille de chef, ainsi que Sean, Colin et Heather Coltrane. Dans À l'ombre de l'arbre kauri, les opprimés, qu'il s'agisse des femmes ou des autochtones, sont bien déterminés à faire entendre leur voix.

Si j'avais été assez emballée par Les rives de la terre lointaine, cette suite m'a quelque peu déçue. Je ne m'attarderai par sur les indénombrables répétitions qui me mettent toujours les nerfs à vif (pitié, l'auteur, le traducteur ou le correcteur, le récit n'en serait que meilleur si on ne subissait pas des « effectivement », « à coup sûr » et compagnie une fois par page, parce qu'au bout de sept cents, ça fait vraiment énorme !), mais plutôt sur le scénario en lui-même.

Sarah Lark se concentre cette fois-ci davantage sur l'Histoire avec un grand H, comme cela avait déjà été sensiblement le cas dans le cri de la terre. Sans doute n'est-ce pas fait pour moi, car il s'agit de ses deux oeuvres que j'ai le moins appréciées.

Non pas qu'il n'y ait pas d'éléments intéressants, car cela permet d'en découvrir toujours plus sur le fonctionnement politique de la Nouvelle-Zélande, et surtout sur la culture maorie, mais j'ai trouvé que le roman souffrait souvent de longueurs.

Le début, au contraire, est bien trop rapide. En l'espace de quelques dizaines de pages, trois années se sont déjà écoulées, laissant à peine le temps de prendre nos marques avec ces nouveaux personnages, alors que la suite se traîne par moments. le rythme aurait gagné à être plus équilibré.

Le thème en lui-même me donne l'impression d'avoir été choisi pour coller avec les mouvements féministes actuels. Non que je reproche à l'auteur d'avoir voulu traiter de l'obtention de droit de vote des femmes, car après tout, la Nouvelle-Zélande s'est démarquée en étant le premier pays à l'accorder, mais plutôt de n'y avoir fait aucune allusion dans sa première trilogie (ou alors si discrète que cela ne m'a pas marqué), qui se déroulait approximativement à la même époque.

Qui plus est, certains personnages m'ont agacée par leur passivité. Si quelques-uns se battent pour leurs idéaux ou ce qui leur semble juste (Matariki, Heather et Sean pour ne citer qu'eux), Kathleen en particulier m'a fait grincer des dents plus d'une fois. Après tout ce qu'elle-même a traversé avec son premier époux, je la trouve étrangement peu encline à faire tout ce qui est en son pouvoir pour aider cette pauvre Violet. Avec elle, c'est surtout : « Si elle peut rester, tant mieux, si son père veut continuer à la martyriser, c'est son droit. » Avec un fils juriste et une fille qui a pris la jeune orpheline en sympathie, on aurait pu s'attendre à plus de réactivité, surtout dans un roman axé sur les combats sociaux.

Enfin, pour conclure sur les points négatifs, je dirais que les situations sont un peu répétitives, au bout d'un moment. J'ai bien conscience que c'était sûrement le quotidien de l'époque, mais au final, on retrouve toujours dans les livres de Sarah Lark le même schéma classique du mariage malheureux ou de la souffrance des personnages avant l'irrémédiable happy end. Quelles que soient les épreuves auxquelles ils sont confrontés, ça se termine toujours bien pour les protagonistes. Sans parler du thème également récurrent du fils rapporteur entièrement dévoué au « mauvais » père (Paul, Colin, Joseph…).

Passons aux points positifs, à présent. Tout d'abord, j'ai énormément apprécié les références très récurrentes à la trilogie du Nuage Blanc, notamment avec le jeune Caleb Biller, qu'il est plaisant de retrouver après l'avoir connu jeune homme dans le chant des esprits.

J'ai aussi aimé le paradoxe mis en valeur à travers ce roman, en particulier avec les Maoris. Ils sont plus ou moins considérés comme des sauvages par les Pakeha, alors qu'ils étaient bien plus ouverts d'esprit (au niveau de l'égalité homme-femme, par exemple) et tolérants que la plupart des Blancs. L'auteur ne tombe pas pour autant dans le manichéisme complet, puisque la violence sanglante de Kahu Heke contraste avec le pacifisme de Parihaka.

Du bon et du moins bon, donc, dans À l'ombre de l'arbre kauri, qui m'aura beaucoup moins séduite que le premier tome. Peut-être est-ce aussi dû à une certaine lassitude provoquée par la récurrence de plusieurs situations. M'enfin, si vous avez aimé les autres livres de Sarah Lark, il n'y a aucune raison pour que celui-ci vous déplaise.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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Trop de longueurs. Passages très intéressants mais beaucoup le font nettement moins
Déçue
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Ce deuxième tome de la nouvelle trilogie de Sarah Lark est dans la même veine que ses précédents romans. On suit les aventures des enfants des précédents héros du premier tome. Encore des histoires de famille et d'amour dans la Nouvelle Zélande du 19eme siècle. Ce tome est marqué par une dimension historique plus présente notamment avec le combat des femmes pour le droit de vote et des droits pour les Maories.
On se laisse toujours autant emporter par l écriture aventureuse de Sarah Lark et des péripéties des différents personnages avec toujours autant de rebondissements. Peu de doute que le dernier tome suivra Roberta et Atamari ainsi que Joseph le fils de Violette pour conclure cette nouvelle trilogie.
Je regrette qu'il n'y est pas plus d'interaction avec les héros de la première trilogie, Kiward station est seulement nommer une ou deux fois.
Au final, un roman dans la lignée des précédents sans grande surprise dans la structure du livre mais toujours aussi agréable à lire
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