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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Kevin, fils de Lizzie, jeune docteur enchaînant les conquêtes, fuit le pays est s'engage dans l'armée anglaise afin de fuir sa maîtresse enceinte, Juliette.
Amouraché par la jeune fille son frère, Patrick, la demande en mariage afin d'offrir un nom à l'enfant et le faire passer pour sien.
Atamarie, première femme à être admise à l'école d'ingénieur, ne rêve que d'une chose: Voler.C était sans compter sur la rencontre d'un drôle d'oiseau: Richard Pearse, qui mettra ses rêves à rudes épreuves.


Les larmes de la déesse Maorie de Sarah Lark.

3e tome tomes de la trilogie kaurie, ce roman peut ce lire sans avoir lue les autres tomes, car Ce tome met en scène une nouvelles génération des familles concernées de nouveaux personnages plus ou moins exotiques.
Ce tome met du baume au coeur, car même si. Classé dans le dramatique, la fin est comme on les aime, l'amour triomphe et le méchant paie.
L'ennuie m'est parfois tombé dessus et j ai lu le roman très lentement car une certaine redondance dans le schéma d'écriture de l'auteur est ressemblant au tome précédent et nous gâche la surprise de certain événement.
Malgré cela je n'en attendais ni plus, ni moins de se roman et cela a été à plaisir de lecture et de découverte. Car comme dans les deux autres tomes, ont découvre de nouvelle chose, comme là guerres des Boers en Afrique du Sud.
Toujours avec la même recette: amour, trahison , exotisme... Sarah Lark nous offre de l évasion a quiconque veut plonger dans
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Troisième et dernier tome de "La trilogie Maorie" de Sarah Lark
Ce tome est très riche d'un point de vue historique. L'auteur nous parle de façon très détaillée de la guerre des Boers. Et du coup, cela m'a permis d'apprendre que les Boers étaient une communauté religieuse néerlandaise qui considéraient les noirs comme inférieurs à eux et les utilisaient comme domestiques alors que l'esclavage avait été aboli depuis plusieurs années.
Et le tout, bien sûr, sur fond d'amours contrariés.
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Les larmes de la déesse maorie est le dernier tome de la trilogie maorie de Sarah Lark.
J'ai été heureuse de retrouver les familles et leurs descendants qui vivent à nouveau bien des aventures en ce début du XXè siècle dans les beaux paysages de la Nouvelle-Zélande. J'ai beaucoup aimé aussi qu'une bonne partie du roman se déroule en Afrique du Sud lors de la Guerre des Boers qui m'a permis de découvrir ce lieu et cet épisode historique très intéressant dont l'aspect est semblable à plusieurs égards à celui des deux guerres mondiales quelques décennies plus tard.
Ce que j'ai apprécié également, c'est qu'un des personnages principaux soit un certain Richard Peace, un pionnier Néo Zélandais de l'aéronautique ayant réellement existé. Un des premiers à avoir volé dans une machine dans les airs.
Cependant, j'ai moins aimé les intrigues amoureuses que dans les deux précédents tomes et ai trouvé le roman un peu long avec ses 647 pages. En revanche, j'apprécie toujours autant la place que Sarah Lark donne aux femmes dans ses oeuvres avec des personnages féminins forts. C'est quand même le pays dans lequel les femmes ont reçu de par leur détermination le droit de vote dès 1893 et le droit d'étudier à l'université par la suite dont peut bénéficier Atamarie, l'un des personnages principaux du roman. Il faut dire aussi que l'influence du peuple maorie y est pour beaucoup car la place et le rôle de la femme y étaient relativement différents à l'époque par rapport aux conventions à respecter chez les irlandais ou les anglais, les femmes maories étant plus libres. C'est d'ailleurs toujours un plaisir pour moi de retrouver ce peuple ancestral maorie avec son langage, ses croyances et son mode de vie.
Les larmes de la déesse maorie est un roman d'aventure et d'amour qui laisse la place belle à L Histoire et au dépaysement total qui permet de s'instruire tout en s'évadant venant terminer une formidable saga.
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Je ne mettrai que 3 étoiles et demi.
Comme j'ai lu les 3 tomes de ce récit en continue peut -être me suis-je lassée ce cette histoire.
Il y abeaucoup de mariages de désunions entre les familles.
Dans ce troisième tome il est moins question de la Nouvelle Zélande des coutumes Maoris des paysages etc.
Ce que j'ai surtout retenu c'est le début de l'aviation Comment un objet il n a pas encore le nom d'avion peut il voler ?
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Avec ce tome la saga prends une nouvelle dimension : celle des airs. Atamarie la fille de Mata Riki est maintenant une jeune étudiante à l'université et elle est obsédé par l'idée de construire une machine volante motorisée. Mais il est difficile pour une femme de s'imposer dans ce milieu. le thème récurrent chez Sarah Lark du sexisme au XIX e siècle est ici abordé sous l'angle de la crédibilité scientifique.
Dans un deuxième temps nous suivons son oncle Kevin, partis combattre les Bauers en Afrique du Sud. Il est alors confronté à une société bien moins évoluee au niveau des moeurs que celle de NZ, et au racisme bien plus prégnant envers les Noirs qu'il ne l'est envers les Maoris.
Les Rives de la terre lointaine est dans l'ensemble une série beaucoup plus politisée que la série du Nuage Blanc. J'espère que l'auteur saura encore nous régaler a l'avenir.
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