D'une écriture plus mature et assumée qu'à ses débuts en 2011, ce dernier corpus nous amène sur les sentiers des pièges et des bêtes sauvages, un univers peu familier du monde de la poésie. Si on voulait le mettre dans une petite case, on prêterait à
Nicolas Lauzon le titre de poète du territoire, lui qui a le don de parer de beauté des fragments de lieux et de gestes qui passeraient inaperçus sans la loupe de la poésie.