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4,14

sur 416 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Bien sûr, personne ne souhaite avoir un enfant autiste mais lorsque cela arrive ne peut on tout de meme voir un coin de ciel bleu ?

Samuel le Bihan, très connu par son parcours de comédien connait intimement le sujet puisque papa d'une enfant souffrant de cet handicap.

Dans son livre nous suivons le difficile parcours de Laura, bien décidée à ce que son fils Cesar, autiste, puisse s'intégrer dans la société

Elle fonde une association où elle recueille les témoignages , les craintes et les espoirs d'autres parents.

Le grand frère de Cesar accepte les bizarreries du petit et les traite avec humour.

Laura doit faire face à la condescendance et à l'incompréhension des autres devant cet enfant, véritable éponge émotionnelle.

L'objectif de la mère est de faire admettre son enfant à l'école publique et les embuches ne manquent pas, mais aucune ne la rebute, et pas à pas elle arrive à des succès qui peuvent sembler des miracles meme si elle a recours à une opération médiatique des plus cocasses.

Cette femme arrive à un équilibre qui lui permettra aussi de retrouver l'amour.

Ce livre est une bonne leçon pour tous ceux que les obstacles rebutent facilement et nous montre que l'impossible peut parfois devenir possible : Samuel le Bihan est un primo romancier touchant!

Paru le 08 janvier 2020 chez J'ai lu
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Dans son premier roman, Samuel le Bihan tient à exposer les difficultés qu'encontrent les parents d'enfants autistes dans une société qui n'épargne personne ayant lui-même une petite fille atteinte de ce syndrome.
Mariée deux fois et ayant deux garçons à sa charge Ben quinze ans et César six ans et demi de deux pères différents, Laura relate les premiers symptômes apparus chez César qui l'ont menés au diagnostic vital : « Autiste » tous ces rêves s'ébranlent et ses idées se bousculent. A partir de là, elle décide de créer une association pédagogique visant à aider et soutenir parents et enfants afin de les diriger vers une prise en charge à l'aide professionnels de santé, éducatifs….Toutefois, un long et dur chemin l'attend et l'exposera à des humiliations, des rejets.
Le personnage de Laura est admirable pour la cause qu'elle combat durant des années et des années arrivant au Burn-out sans se laisser démonter afin d'instaurer un certain équilibre digne pour la vie de son enfant, oubliant sa vie de femme avec ses besoins et ses attentes. Cependant, une rencontre changera sa vie si elle accepte de tendre la main..
Ce roman est écrit avec une plume délicate et poignante avec des personnages admirables pour leur volonté farouche d'obtenir une certaine dignité humaine.

Lien : http://chroniqueuse6.canalbl..
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Laura est la maman de César, 6 ans et demi, un petit garçon autiste. Elle a monté une association pour aider les familles d'enfants autistes dans leurs difficultés. L'emploi du temps de Laura est chronométré entre son travail à temps partiel pour s'occuper de César, les séances d'orthophonie, de psychomotricité, son engagement associatif… Mais Laura est combattive, elle va se battre pour que son fils soit scolarisé à 7 ans, même à temps partiel. Dans ses luttes quotidiennes, y a-t-il encore une place pour les sentiments amoureux ? Une rencontre risque de bousculer les choses. Et Laura ne doit pas oublier non plus Ben, le grand frère de César, qui a besoin d'attention lui aussi.

J'ai été très surprise à la parution de ce livre de découvrir Samuel le Bihan comme auteur et père d'une petite fille autiste. Cette partie de sa vie n'avait jamais transparu dans sa carrière d'acteur. J'ai été très touchée de cette découverte et du fait que Samuel le Bihan confie cela au grand jour.
J'ai trouvé ce récit réussi et criant de vérité, notamment quand il s'agit du combat pour la scolarisation ou pour la lutte pour obtenir une AVS.
Samuel le Bihan réussit à décrire une partie de ce qu'est l'autisme à travers quelques scènes qui éclaireront les personnes qui ne connaissent pas ce handicap. Les proches d'un enfant autiste reconnaîtront elles, des aspects familiers.
Ce livre est plein d'optimisme malgré toutes les difficultés
qui se dressent sur le parcours du personnage principal alors que ce récit aurait pu être écrit sur le ton de la plainte.
L'amour inconditionnel de la mère pour son fils m'a beaucoup touchée aussi, il est vraiment remarquable.
Pour finir, le titre de ce récit est aussi frappant par le paradoxe contenu dans le titre et qui symbolise bien l'autisme comme un grand bouleversement inattendu.
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Samuel le Bihan est un acteur français à la filmographie impressionnante, également reconnu pour ses nombreux engagements en faveur d'associations, comme Action contre la faim, dont il est l'un des administrateurs. Plus récemment, en 2018, il fonde l'association Autisme Info Service, qui vise à informer et accompagner les personnes autistes, leurs proches et plus globalement l'ensemble de la société, sur les questionnements liées à ce handicap.

À l'origine de la création de cette association, Angia, l'une des filles de Samuel le Bihan, atteinte d'autisme. Après sa séparation avec la mère d'Angia, Samuel va s'occuper seul quotidiennement de sa fille, va apprendre à la connaître et à comprendre ses différences.

C'est de sa relation avec sa fille qu'est né Un bonheur que je ne souhaite à personne, un roman inspiré de sa vie, qui met en scène Laura, la mère de Ben, un jeune adolescent et de César, un petit garçon autiste. Séparée des pères de ses deux enfants, Laura se bat seule pour élever ses fils et intégrer socialement César à la vie. Elle va créer une association, nommée P'tit à P'tit, qui aide, conseille, informe et accompagner les parents d'enfants autistes. Mais le combat est compliqué, puisque l'État n'octroie que peu d'aides financières et peu de moyens humains pour permettre aux enfants autistes d'évoluer et de progresser dans ce monde qu'est le nôtre. Ainsi, Laura va mettre toute son énergie à faire entrer César dans une classe primaire normale.

C'est beau, émouvant, solaire, attendrissant… rien que le titre choisit par l'auteur nous met directement dans le bain des émotions. Un titre évocateur et fort, merveilleusement bien trouvé. Tout comme ce titre qui m'a tant plût, les mots du récit sont choisis avec soin, application, tendresse, pour exprimer avec sincérité des vérités criantes.

La force de caractère de Laura est impressionnante : cette mère, qui n'a presque rien, hormis l'amour pour ses fils, est prête à tout sacrifier, son argent, sa carrière, sa vie personnelle et amoureuse, pour permettre à César de s'épanouir et de grandir le plus normalement possible. On se met à la place de cette femme, qui doit faire face au stress quotidien, aux regards désolés, plaintifs, colériques d'inconnus… on sent toute la détresse de cette femme, mais aussi toute sa force.

Ce livre est aussi un cri d'alarme pour dénoncer toutes les difficultés dont doivent faire face les parents d'enfants autistes : le manque de personnel qualifié, le peu de reconnaissances de l'état et des institutions, l'absence de considération… Savoir qu'une mère doit se battre pour pouvoir seulement scolariser son enfant… une pratique commune, obligatoire en France, mais qui est refusée à César… quelle honte !

Un roman juste, poignant et criant de vérités, sur les difficultés dont font face les parents d'enfants autistes. Très instructif et bouleversant, j'ai adoré !
Lien : https://analire.wordpress.co..
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C'est un beau roman en l'honneur des mères d'enfants autistes. Il est question de leur métamorphose depuis le diagnostic du handicap de leur enfant jusqu'à leurs combats et épreuves du quotidien. Des femmes qui vont se surpasser, prendre de la voix et parfois même enfreindre la loi.

Citation page 142 : « Avoir un enfant handicapé, c'est comme entrer dans les ordres. » … « Combien de montagnes ai-je pu déplacer depuis l'annonce de son diagnostic ? »

C'est touchant mais pas larmoyant, un peu à l'eau de rose... parfois… mais ça passe… Évidemment, les institutions françaises sont visées pour le manque de moyen et de structures adaptés.

Ce roman écrit par Samuel le Bihan, acteur-réalisateur, est forcément juste car il est père d'une enfant autiste. Il souhaitait mettre à l'honneur toutes ces femmes qu'ils rencontrent sur son parcours, notamment dans les associations dédiées, et qui font passionnément don de leur vie, jusqu'à se mettre en danger parfois, pour le bien être de leur enfant et faire avancer la cause de l'autisme.

Il y a quelques années, j'ai lu « le voleur de brosse à dents », témoignage très fort d'Eglantine Eméyé, journaliste-animatrice télé et réalisatrice, mère également d'un enfant autiste. Son cri d'alarme de mère, et de femme active, m'avait particulièrement interpellé.
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Samuel et Stéfania

Mon aspect fleur bleue prend le dessus pour quelques instants, à la faveur de ce drôle d'été 2022 pour les français.

Samuel le Bihan, ce comédien breton de Plougastel-Daoulas (*), la cinquantaine passée, bien de sa personne qui mène un combat courageux eu égard à l'autisme de sa fille, a quelques atouts indéniables : ses faux-airs d'Yves Montand, une allure de grand brun ténébreux au coeur tendre, une personnalité attachante dans ce monde de brutes, avec les épaules suffisamment larges pour incarner des rôles intrépides au cinéma, mais aussi de séducteur.

Avec les femmes, il ne semble pas avoir trouvé sa vraie pointure et butine de fleur en fleur en pensant que l'élue de son coeur du moment lui sourit mais il déchante à chaque fois. Je ne suis pas dans sa vie pour savoir s'il doit aux turbulences de la profession de vivre des aventures sans véritable lendemain. Bon après tout, je m'en fiche un peu, j'ai assez de la mienne à m'occuper, et je pense dans le fond que puisqu'il croise dans son métier un maximum de filles canon, il arrivera bien un jour où il connaîtra un bonheur durable, ou alors c'est peut-être son lot de saltimbanque de hacher ainsi sa vie sentimentale. Peut-être aussi peut-il s'interroger sur ses vraies chances de succès s'il lui prend d'avoir un peu d'empathie pour ses soupirantes qui ne pensent peut-être qu'à mener une vie équilibrée, loin "du bruit du monde". Et qu'en sais-je dans le fond de ses sentiments ? Et ma foi, de tout cela, quel intérêt particulier aurais-je à défendre quand les médias idoines font ça très bien ?

Et puis, ce qui va suivre,c'est en fait ce qui m'a touché, et comme Samuel écrit, je forme le voeu qu'il écrira son histoire..

On le voit bras dessus bras dessous du jour au lendemain avec une créature de rêve. Il est dans le jardin d'Eden, lui qui a peu ou prou trimé pour en arriver là. Quel est celui qui n'a pas pensé un jour, subjugué par la beauté d'un mannequin vu dans un magazine, franchir le pas, bousculer tous les obstacles infranchissables, remuer ciel et terre pour rencontrer la radieuse jeune femme ingénue qui parade de tous ses charmes dans un magazine de mode. Qui sait si au bout du compte, elle ne lui dirait pas non. Peut-être avec de la chance, elle n'attend aussi que ça, qu'un prince charmant vienne la cueillir, plutôt que de voir se profiler devant soi un avenir menaçant, dicté pas autrement que par les considérations que son corps suscite, dans un milieu professionnel qui n'est pas toujours enviable.

Samuel le Bihan va remonter le fil contre vents et marées et finir par tomber sur un contact possible avec l'objet de son désir si ardent : un numéro, une adresse mail, la clef pour un impossible rêve qui l'assaille de toute part. J'imagine que Samuel a eu le chic pour lui dire les mots qu'il faut. La chose se réalise, la voie lactée se voit dans le ciel comme jamais. Il va vivre avec elle un conte de fée. Ils vont s'aimer passionnément . Tout le monde la remarque, elle est éblouissante de beauté, elle a un corps de rêve, elle arbore un sourire radieux qui affiche haut et clair son bonheur avec le comédien. L'image se répand , le comédien me semble tout à fait et naturellement fier de se montrer désormais avec son amour dans les grandes cérémonies du spectacle, un amour semble-t-il convoité, attendu depuis le plus loin de son souvenir d'homme. Finie cette idée de cacher son bonheur pour vivre heureux : il l'assume totalement. Ben oui, quand on est amoureux on a envie de le clamer sur tous les toits. le transport de cet homme est beau à voir, il semble avoir changé de peau ou recouvrer la peau du jeune homme qu'il fut exauçant là son premier rêve.

Et la nouvelle tombe en quatre lignes de la part du comédien, il annonce sa rupture avec Stéfania par un message de mots choisis dont il a le secret, car il sait écrire le garçon, et non seulement ça, mais c'est un galant homme. Bon c'est la vie, je ne souhaite qu'un chose pour lui, puisqu'il manie aussi bien la plume que de faire l'acteur, c'est de l'écrire plutôt que de confier son secret à une presse qui s'en fera les choux gras à bon compte.

Message instagram :
"Voilà c'est fini, nous n'écrirons plus notre histoire ensemble, elle se racontera chacun de notre côté. Nous avons tant aimé nous aimer, mais cela n'a pas suffi. Je garde tous nos moments de bonheur, de rires, de blagues et nos rêves insensés comme un cadeau magnifique, une de ces surprises que la vie nous réserve en secret. Merci pour tout ce que tu m'as donné, je ne l'oublierai jamais. Je te souhaite d'être heureuse comme tu le mérites. Amor para siempre Samuel."

L'idylle de Samuel le Bihan avec la belle Stéfania avait démarré fin 2021, elle s'est achevée hier par ce message laconique via les réseaux sociaux. Il me semble que Stéfania avait déclaré ostentatoirement son amour à Samuel déja sur instagram, ce n'est donc pas étonnant que celui-ci utilise le même support mais cette fois pour une fin. le nom du comédien qui s'affichait au moins un film par an au cinéma avec une précision d'horloger, se doublant même de films de télévision, n'apparait plus pour ces années dans les tablettes du box-office ; serait-ce à cause de ce tourbillon romantique qui a littéralement emporté les deux tourtereaux ? Evidemment qu'on a envie de connaître la raison de leur rupture qui nous laisse bien curieux. Encore une fois, elle sera mieux dite par lui. Carpe diem..


(*) Plougastel Daoulas, connu pour sa fraise gariguette, Je passerai vite sur la hors sol contemporaine, son calvaire du tout début du 17 e siècle qui vaut le détour : il fut touché en partie heureusement par un obus américain pendant la guerre et put être restauré grâce d'ailleurs à un américain qui prit à sa charge l'entière réparation .. Ce calvaire magnifique a une histoire : il est le plus ancien de Bretagne et fut élevé en regard des victimes de l'épidémie de peste qui fit rage dans la presqu'île en 1598 décimant plus d'1/3 de la population. Des grands peintres n'ont pas manqué en y plantant leur chevalet d'immortaliser ce lieu pittoresque ..

30 mars 2023
J'apprends par voie de presse que ce beau couple que formaient Stéfania et Samuel dont j'ai illustré l' histoire à la fois merveilleuse, touchante et insolite s'est reformé. La vie est parfois belle ! Je suis heureux pour eux !
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Laura a deux fils : Ben, un adolescent tout ce qu'il y a de plus classique (ou presque) et César, petit bonhomme de 5 ans, diagnostiqué autiste. Deux garçons qu'elle élève seule. Son quotidien est tout entier orienté vers César, tout en essayant de concilier travail, direction d'une association et vie familiale. Un combat de chaque instant pour lui permettre de vivre dans une société qui ne fait pas beaucoup de place à la différence.

Pour ce premier roman Samuel le Bihan s'est inspiré de sa vie. Père de trois enfants dont une petite fille autiste, il a souhaité rendre compte de la situation de l'accueil des enfants autistes en France et rendre hommage à ces mamans qui se battent, souvent seules, pour le bien-être et le bonheur de leur enfant.

Le personnage de Laura est très attachant. le roman la présente alors qu'elle se bat pour obtenir la scolarisation de César. Comme beaucoup de familles confrontées au handicap, dès que les difficultés de César sont apparues il a fallu trouver des aides, des solutions. Comme beaucoup, face au manque de structures, Laura a créé une association. Épuisée par cinq années de lutte, elle tient, mais jusqu'à quand.

Samuel le Bihan a construit un personnage lumineux, restant optimiste et combatif malgré les difficultés qui s'accumule. Il l'a entouré de personnages secondaires sympathiques : Ben, son fils ainé, un ado qui fait des bêtises de son âge mais qui est profondément attaché à sa mère et à son demi-frère ; les autres parents de l'association dont Ellen l'amie combattante et puis Matthieu qui arrive dans sa vie au bon moment.

Tout en présentant la réalité du quotidien des familles ayant un enfant en situation de handicap, ce roman est un beau portrait de femme et un hommage à tous ceux qui font avancer la cause du handicap. Une lecture agréable, revigorante, optimiste.
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Un « roman » comme un témoignage, qui sonne juste et qui est bourré d'émotions. le combat d'une mère pour son fils autiste.

Un livre bouleversant et qui ne se résume pas à l'autisme. Il y a une femme, sa force, les coups durs, les écueils, les bonheurs, les petites joies et les déceptions, l'administration, la condescendance… Et le grand frère aussi qu'il ne faut pas oublier, pas plus qu'elle même.
Lien : https://www.noid.ch/un-bonhe..
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Le titre si bien trouvé m'a accrochée: "Un bonheur que je ne souhaite à personne"...

Ce livre prend la forme d'un roman-témoignage sous la plume de Samuel le Bihan. le narrateur est une femme, Laura, la mère de deux enfants, Ben et César. Or César n'est pas comme les autres.

Plutôt que de voir son enfant enfermé en psychiatrie pour la vie, Laura entre dans l'action, crée une association. Elle veut par dessus-tout que son enfant ait sa place dans la société actuelle... Mais rien n'est envisagé pour des enfants atteints d'autisme.

Le narrateur n'a pas d'autre choix que de se battre. C'est comme un enfant qui serait encore tout-petit pendant des années et à qui il faut sans cesse réapprendre les bases de la vie.

Ce livre m'a beaucoup touchée. Sans doute par ce que je sais que s'engager c'est aussi agir (je suis soignante et éducatrice). le constat de Samuel le Bihan n'est que trop réel: rien n'existe pour des enfants autistes en France (hormis des associations comme celle qu'il a créée dans la réalité). Les financements sont inexistants également...
Mais chaque enfant, même différent, a droit à sa place dans la société.
mais les enseignants ne sont pas bien formés, les AVS difficiles à trouver... Mais surtout, il faut sans cesse recommencer ce combat juste pour cela: que cet enfant différent ait lui aussi le droit d'aller à l'école.

C'est un livre sensible et engagé.
Il m'a permis de mieux comprendre le quotidien des parents et des enfants autistes.

Je remercie la maison d'édition J'ai Lu de me l'avoir envoyé dans le cadre de la Masse Critique.

Challenge Masse Critique.
Challenge lecteur.
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Samuel le Bihan parle de l'autisme dans ce roman. Plus précisément, il parle de la vie d'un parent autiste : des difficultés qu'il traverse au quotidien à partir du doute qui s'installe.

C'est une immersion dans les combats de Laura, la maman de César. On en apprend un peu plus sur les cadres dans lesquels évoluent ces familles et leurs enfants autistes.

Ce roman se lit facilement. Les chapitres sont concis. L'histoire en elle-même est très classique, et la fin est très convenue, mais elle possède un positivisme et une force qui me l'ont rendue sympathique.
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