Il y a deux manières de raconter la Révolution.
De l'histoire officielle, idéologique et parisienne, on peut être lassé, singulièrement en période de commémorations.
L'idéologie d'abord, n'est point trop sûre. Les « lectures » de la grande tourmente, par Napoléon, Lamartine, Aulard, Lénine, Daudet, Mathiez, et tant d'autres... laissent une désagréable impression de manipulation. L'attention excessive au déroulement du drame dans la capitale, fausse la ...
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