L'auteur aurait tout intérêt à se refaire une santé car le fait d'écrire des romans avec pour thème migrants, opprimés, exilés et exploités est devenu une manie voire une maladie, puisqu'il semble guère lui réussir du tout si l'on en juge par un article de Libération sur son second roman, déplorant son grand état de tristesse suite à des épreuves personnelles et « professionnelles ». Il ne faudrait pas que la fiction dépasse la réalité déjà bien pénible, pour ces êtres lointains qui souffrent le martyre.
Ici fond et forme des plus banals malgré un tapage médiatique de la part des médias ultragauchistes et Libération (encore lui !) se pose d'ailleurs parmi les premiers à décerner des éloges,
Tout cela dévient plus que lassant et d'autant plus concernant
les Oiseaux chanteurs, (que je m'abstiendrai évidemment de lire), quand on songe, pour ne citer qu'elles, que
Leila Slimani et
Karine Giebel ont chacune traité ce même sujet dans un de leurs romans. Sans oublier Norek, et
Yasmina Khadra et j'en passe et des bien meilleurs.