C'est peut-être ça la force des enfants. Ils ne songent qu'à l'instant, en attendant que le futur se présente à eux.
Vous n'avez pas non plus demandé à naître, ni à être un garçon ou une fille, ou à grandir dans ce pays plutôt qu'un autre. Forts de ce constat, vous en arrivez à votre premier choix de vie : soit vous vous considérez comme des victimes de ce qui vous est imposé, soit vous vous demandez ce que vous allez en faire. Quelle place voulez-vous tenir ? Que demandez-vous à ce monde ? Quelle sera votre contribution ? Et ces questions, vous devez vous les poser maintenant.
J'ai toujours aimé découvrir d'autres lieux. C'est comme déballer un cadeau.
On ne devrait plus dire un gros connard, mais un non-pensant en surpoids.
Vous savez, j'ai toujours cru qu'il existait un âge pour conjuguer les verbes : marcher, grandir, aimer, perdre, souffrir, mentir, baisser les yeux, apprendre, se battre, avouer, espérer, partir ou laisser partir. Maintenant, je sais que c'est faux. Il n'y a pas d'âge pour conjuguer les verbes, il faut juste les circonstances.
On couche parce qu'on a envie. On aime parce qu'on n'a pas le choix.
J'ignore si c'est pour tout le monde pareil mais parfois je me fais l'impression d'être une substance chimique hyper réactive. La moindre molécule d'émotion que l'on m'envoie peut me détruire, me ranimer, me changer, me consumer ou me faire briller pour toujours.
– Toi et ton pingouin, vous avez été parfaits.
Nous ne sommes rien jusqu'à ce que quelqu'un nous aime. C'est une des petites vérités que certains films ou certaines oeuvres nous offrent et que l'on devrait chaque jour garder sous les yeux pour comprendre ce monde et surmonter ce qu'il nous impose.
Lorsqu'un enfant tombe et pleure, ce n'est pas grave. C'est quand il ne pleure pas que ça devient sérieux.