Andreas, le retour

"Andreas, le retour" est la suite de "No Pasaràn, le jeu". On y retrouve les mêmes personnages et on se replonge dans le même univers semi-réel, semi-virtuel du premier épisode.
L'intrigue est néanmoins beaucoup plus complexe, parfois trop. La lecture est également un peu difficile, d'autant plus que les paragraphes ne sont pas clairement définies et que le lecteur a un peu tendance à s'y perdre.
Assurément moins bien que le premier volet...

Après avoir découvert No Pasaran, le jeu, j'ai eu envie de me lancer dans la suite. Et c'est avec ce titre que j'ai inauguré ma liseuse reçue à Noël. Si j'avais énormément aimé le premier tome, je suis beaucoup plus sceptique avec ce deuxième opus. J'ai beaucoup moins accroché car j'ai trouvé qu'il manquait de fluidité et de liaison entre chaque événement. le lecteur suit à la fois l'histoire de Gilles (le frère d'Eric), photographe en Irak, celle de Thierry qui fait un stage en médecine et qui est en lien avec Khaled et sa famille, et enfin celle d'Eric, plus proche de la famille d'Andréas et toujours ancrée dans le jeu vidéo. J'ai eu du mal à voir le lien entre chaque partie. A chaque chapitre on change de personnage et je n'ai pas tout compris dans le rapport entre, notamment les aventures de Gilles et celles d'Eric et de Thierry, si ce n'est de dénoncer la guerre.

Une lecture qui m'a déçue et dont la fin m'a complètement déstabilisée car il n'y en a pas vraiment. C'est là que j'ai découvert qu'il existait un tome 3, mais je ne suis pas sure de pouvoir le lire car il a l'air peu disponible.
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