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Citations sur Du bonheur : Un voyage philosophique (98)

Sans négliger nos efforts sur l’extérieur, le travail intérieur est indispensable à celui qui aspire à un bonheur plus stable et profond, à vivre mieux.
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Et Epicure de s'enthousiasmer : "Grâces soient rendues à la bienheureuse Nature qui a fait que les choses nécessaires soient faciles à atteindre et que les choses difficiles à atteindre ne soient pas nécessaires !"
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Epicure souligne la nécessité d'éliminer toutes craintes inutiles à commencer par les deux plus importantes : celle des dieux et celle de la mort.
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Aristote a été le précepteur d'Alexandre Le Grand pendant quelques années et le disciple de Platon durant vingt ans. (…) Il souligne que "le bonheur est le seul but que nous recherchons toujours pour lui même et jamais pour une autre fin".
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La félicité ne se goûte que dans l'instant présent.
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L'obsession du bonheur ou la quête d'un bonheur trop parfait peut produire le résultat inverse. Tout l'art du bonheur consiste donc à ne pas se fixer des objectifs trop élevés, inatteignables, écrasants. IL est bon de les graduer, de les atteindre par paliers, de persévérer sans crispation tout en sachant parfois lâcher prise et accepter les échecs et les aléas de la vie. C'est ce que Montaigne et les sages taoïstes chinois ont bien compris et expliqué: laisser s'exercer son attention sans effort; ne jamais affronter une situation en vue de la forcer; savoir agir et ne pas agir. Bref, espérer le bonheur et le poursuivre tout en étant souple, patient, sans attentes démesurées, sans crispation, en constante ouverture de coeur et d'esprit.
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Chacun doit apprendre à se connaître pour découvrir ce qui le rend heureux ou malheureux, ce qui lui est approprié ou non, ce qui augmente sa joie et diminue sa tristesse. Spinoza utilise la métaphore du poison pour faire comprendre que tout se joue à un stade essentiellement biologique : il y a des corps, des choses, des êtres qui empoisonnement notre organisme, comme il en est d'autres qui contribuent à sa croissance et à son épanouissement. Si nous acceptons d'ingurgiter du poison, c'est que notre esprit est pollué par toutes sortes d'idées inadéquates, erronées, qui font croire - sous l'influence de certains affects, de notre imagination ou d'une morale extérieure - que ce qui nous empoisonne, de fait, est bon pour nous. D'où la nécessité d'accéder à une connaissance vraie de ce que nous sommes pour savoir ce qui nous convient, mais aussi de renoncer à suivre une morale extérieure, dogmatique, transcendante, prétendument valable pour tous
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Si, au terme de ce voyage, j'avais à donner une définition personnelle du bonheur, je dirais que c'est tout simplement "aimer la vie". Non pas seulement la vie qu'on mène ici et maintenant, et qui peut nous réserver des satisfactions, mais la vie en tant que telle.
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La convergence de ces trois mouvements -développement personnel, sagesse philosophique, intérêt pour les spiritualités asiatiques - nourrit ainsi les nouvelles quêtes individuelles du bonheur et de la réalisation de soi dans un Occident en perte de sens et de repères collectifs.
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Trouver une bonne citation de ce livre, reviendrait à citer le livre tout entier.
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