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3,85

sur 3598 notes
Cette critique peut heurter la sensibilité de certains lecteurs.

Il y a des matins câlins, des matins chagrins, des matins ensoleillés, des matins grisâtres mais toujours avec cette envie pressante de faire un gros pipi les yeux remplis d'un sommeil mal réveillé, il est 6h00, t'as pas bien dormi, tu traines des pieds, tu jettes un oeil par la fenêtre pour connaitre l'ambiance du jour, la pluie s'abat sur ton moral, t'irais bien te glisser sur la couette chaleureuse d'une journée déjà toute mouillée, fermer les yeux pour t'enfoncer dans l'oubli serein des songes plus bandants…

Je ne sais pas pourquoi je ne rêve plus de cul, j'ai remarqué ça depuis un moment déjà, ça m'inquiète ces conneries, avec toutes les petites chattes qui se trainent les pixels sur babelio aux doux écrits anonymes, planquées timidement derrière leur écran, il y aurait de quoi fantasmer… dans les rêves on peut tout se permettre, glisser ses doigts partout humidifiés par tants de contrés mal fréquentés, imaginer cet orgie littéraire loin des physiques disgracieux, ou l'on peut s'inventer mille lubricités, mouillant dans la luxure de corps emmêlés de désirs charnels, sans retenu, loin de la timidité, complices éphémères ou se mélange l'inconscience imaginaire, avec la douceur violente de baisers sucrés avant que l'illusion ne s'estompe sous le bruit des gouttes suicidaires qui s'écrasent violemment sur le jour qui se lève…

Et puis la réalité, t'as le baro-mètre qui se dresse, enfin avec honnêteté le baro-centimètre me parait objectivement plus approprié, et pour faire pipi ça va être coton tiens, comment que je vais bien pouvoir me démerder pour ne pas en foutre partout ? Au pire tu te demandes pas, tu y vas à l'aveuglette, par petits jets, tu ne regardes pas le massacre, et ça va être plus long que prévu… Pourquoi ya pas un mec qui a inventé un putain de chiotte équipé d'une cuvette qui se trouverait dans l'axe de ta bite un matin de pipi, évitant ainsi d'arroser un peu près tout sauf la cuvette réservée à cet effet…

Faut reconnaitre que le matin c'est chiant, surtout le lundi, mais bon c'est comme ça qu'on fait marcher le capitalisme… il y a cette expression que je trouve amusante :

« le monde appartient à celui qui se lève tôt »

Vu comment que c'est le bordel ces derniers millénaires un peu partout, je vais me la jouer petite bite sans ambition et me contenter de mon trois pièces, après quand t'as des gosses, t'as plus le choix sur ta fainéantise, il est réglé le boulet comme dans la semaine, 6h20 à peine digitalisé que déjà, tu pleures ton week-end :

- Papa…Papa…Papa…
- Papa il est mort chérie dans un accident de fatigue aigue, rendors-toi bordel de-merde !
- Papa…Papa…papa
- Oh mon amour t'as fait un gros dodo ?
- Ouais
- On dit « oui », pas ouais
- Vuiiiiiiiiiiiiiiiiiii
- Allez en route cocotte
- En route cocotte
- Putain tu vas répéter tout ce que je dis
- Putain (rire de gosse)
- Non arrêtes de dire putain, putain (rire de papa)
- Putain, putain, putain (rire de gosse)

Putain ça vous craquer un enfant, comme une petite douceur, peu importe l'heure, c'est une bouffée de bonheur et d'emmerdements, t'as plus le temps d'aller pisser, de penser à toutes ces femmes nues qui me hantent la libido en berne, Il ne me restait plus que les rêves pour tremper mes désirs les plus souriants et du coup même dans mes songes les plus profonds, il n'y a pas une petite chatte pour ronronner de plaisir sous mes doigts affutés de caresses futiles…

Voilà une partie des choses que je ne vous avais pas dites…

A plus les copains
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Qui n'a pas eu de remords suite au décès d'un proches concernant les choses qu'il ou elle aurait aimé lui dire ? Et malheureusement, quand la mort frappe, on n'a jamais de deuxième chance pour rattraper le temps perdu. Pourtant, Julia, elle s'en voit octroyer une. Son père, Anthony Walsh, avec qui il a toujours des différends, vient de décéder quelques jours avant son mariage. Cependant, avant de mourir, ce dernier a conçu à l'attention de sa fille un cadeau qui est loin de sortir de l'ordinaire : un robot extrêmement perfectionné et doté d'intelligence et de raisonnement. Ce dernier est non seulement le portrait exact de son père mais est a également reçu la mémoire de celui-ci. Pendant les quelques heures qui vont lui être imparties, Julia va donc vivre le plus incroyable des voyages : ses retrouvailles avec son père et va ainsi avoir l'occasion de lui dire et de s'entendre dire « toutes les choses qu'ils ne se sont pas dites » du temps où ce dernier était encore en vie.
Roman à l'écriture fluide et envoûtant puisqu'il nous permet de rêver. Et si…Si j'avais su…
À découvrir !
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J'avais déjà eu l'occasion de lire un ouvrage de Marc Levy : Et si c'était vrai… Je ne m'en souviens plus très bien, mais il me semble que, sans être génial, ça se laissait lire. Ma copine aime beaucoup cet auteur et j'avais donc plusieurs bouquins du gaillard à disposition. Je voulais vraiment relire ce romancier, non seulement pour pouvoir discuter avec mon amoureuse d'un livre qu'elle avait aimé, mais surtout pour enfin me faire ma propre idée de ses écrits. En effet, ça m'irrite passablement de lire à droite à gauche que Marc Levy ne sait pas écrire, que ce qu'il fait n'est pas de la littérature, et blablabla ; cela provenant de la plume de gens qui n'ont jamais ouvert un de ces livres, uniquement parce que le bonhomme a du succès. Je n'ai nullement la prétention de juger la qualité de l'écriture d'un auteur et je ne veux pas alimenter cette polémique, je me contenterai de donner mes impressions sur le livre, rien de plus.
Dire que j'ai passé un bon moment avec ce livre serait un mensonge. Mais je mentirais tout autant si je disais que je me suis ennuyé ou que j'ai détesté Toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites. Néanmoins, je n'ai pas grand-chose de vraiment positif à pointer du doigt. Si ce n'est peut-être que ça se lit facilement, qu'après un certain temps, il y a du rythme et que la romance est pas trop mal (mais Dieu sait que je ne suis pas expert en la matière). Par contre, du côté des points négatifs, la liste est sensiblement plus longue…
Comme je le disais, après un certain temps, le récit acquiert un certain rythme, agréable et qui pousse à la lecture. Malheureusement, pendant une bonne centaine de pages, ça ne bouge guère, on n'a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Pendant un tiers du roman donc. le manque d'action ne m'a jamais dérangé tant que les personnages sont intéressants. Pas de bol pour moi, ils ne le sont pas… Anthony et Julia m'ont – pardonnez l'expression – bourré le mou ! Et re-pas de bol ce sont les personnages principaux, ceux qu'on suit tout au long de l'histoire. Dès le départ, on comprend leur relation (et on sait comment ça va finir) et pendant tout le roman on a droit aux mêmes interactions, aux mêmes piques, aux mêmes reproches. On prend une scène, on change le lieu, mais on garde les mêmes dialogues ou presque. le pire étant que cette relation éclipse la romance qui, elle, est sympa !
Mais tout ça n'est pas si grave, tant qu'il y a de l'humour, ça passe toujours. Eh ben non… S'il y a bel et bien des touches d'humour dans certaines répliques, dans certaines piques (enfin, je crois), elles ne m'ont pas fait sourire une seule fois, pas une seule ! Pourtant, il m'en faut peu…
Enfin, pas besoin de s'appeler Sherlock pour savoir comment ça va se terminer. C'est très, très, très prévisible. La trame est cousue de fil blanc et les ressorts narratifs sont sans surprise aucune. le pire étant sans doute le « truc » du papa qu'on voit venir depuis la page 3 (bien que j'aie eu un léger doute vers la fin).
Et puis, tout est tellement cliché : le méchant papa, pas si méchant que ça et au final plein de bonnes intentions. le namoureux parfait, mais avec qui ça n'a pas marché pour des raisons indépendantes de leur volonté. le copain actuel un peu naze sur les bords. Et bien sûr le meilleur ami (ô surprise, il est gay et son copain est mort du sida parce qu'il l'avait trompé (Vous avez dit « cliché » ?)) qui trouve toujours les mots justes, et de bien belle manière, ça va de soi !
Pas besoin de vous faire un dessin, je ne relirai jamais ce livre. Cependant, comme je l'ai écrit, tout n'est pas à jeter. En dépit de ses défauts, ce roman se laisse lire et bien lire. En effet, ce n'est pas tous les jours que je termine un livre qui est loin de me passionner en une petite semaine…
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J'avoue que Marc Levy n'était pas dans mes priorités de découverte d'auteurs nouveaux.
Ma compagne m'a mis ce gros bouquin dans les mains en me disant: "Lis-le..."
Le thème du récit devait m'intéresser, de part certaine cybernétique appliquée. Idée que j'avais tournée dans ma tête et dont je m'étais un peu ouvert.
Après une lecture attentionnée, le livre de Marc Levy me laisse une impression mitigée.
Comment dirais-je?
Marc Levy se lit facilement, mais il n'est pas le seul. Son histoire m'a paru naviguer dans un consensus souple, lui permettant de réunir l'assentiment d'un maximum de lecteurs autour de personnages et de lieux tout de même arche - typés et convenus. Idéal pour une lecture-plaisir dans laquelle le lecteur peut s'évader sans s'engager et en sortir sans migraine ni cauchemar, ni rêve prégnant.
Pourquoi-pas...
Mais bon: Julia a autant d'épaisseur qu'un sandwich-club, et Stanley (son meilleur ami) reste dans le cliché gentil . Adam, apparaît encore plus ectoplasme en servant de faire-valoir à sacrifier. le marchand de pompes de luxes du rez-de chaussée reste dans cette norme déjà vue et revue.
Pour tout dire, c'est quand même branchouille et bcbg.
Heureusement, il y a le personnage du père et ceux des personnages.
allemands: C'est assez peu, mais suffisant pour relever au minimum l'intérêt du récit, à mes yeux de lecteur bienveillant mais un chouille exigeant. de même que certaine lettre d'une mère à sa fille m'a réellement touché, dans le livre.
Pour la partie "touristique du livre", seule la vision berlinoise et ses fantômes de la RDA, m'a semblé intéressante. New-York et Montréal... bof.
Toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites, pour prendre une image ferroviaire, m'a fait l'impression d'un voyage dans un train presque vide, sur un parcours archi-connu n'offrant que peu de nouveauté: on à hâte d'arriver au bout et d'entamer autre-chose.
Au final, la note médiane que j'attribue au livre, reflète exactement mon sentiment mitigé...
Et Levy démontre qu'il avait les moyens d'offrir un livre plus exigeant et abouti. Pour un septième opus, c'est tout de même un peu léger.



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J'aime énormément le mouton avec des chicons braisés et de la purée .
Je ne suis pas douce comme un mouton .
Je suis plutôt du style mouton enragé et souvent le mouton noir .
Mais j'aime avoir des tripes et refuser que des personnages se disent auteurs .
Je viens de déguster un bonbon épicé à souhait , un vrai délice , au goût de miel et de rhum : " Sucre Noir " de Miguel Bonnefoy .
Encore sous le charme , j'entame ce livre de Lévy .
Heureusement que ce livre ne m'appartient pas , car il valsait direct à la poubelle .
Je suis obligée de rejoindre l'opinion de Nowowak qui , écoeuré jusqu'à la nausée a rejeté cet homme qui se dit écrivain .
L'écriture est un art qui se savoure avec délicatesse , avec passion .
Elle n'est pas une suite de phrases incolores , inodores et insipides .
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Ce livre traînait dans ma bibliothèque depuis 3 ans et je n'étais pas plus pressée que cela de l'en sortir. Mais à l'occasion d'une lecture commune, j'ai finalement lu ce livre. Un regret ? Avoir attendu aussi longtemps pour le lire ! Ce fut une agréable surprise.

Je dois dire que je n'en attendais pas beaucoup de ce livre, car je l'avais déjà commencé l'an dernier et abandonné au bout d'une centaine de pages. Encore une fois, il m'a fallu une petite centaine de pages à me mettre dans l'histoire, mais je dois dire qu'après cela, j'étais bien déterminée à connaître la suite ! Il faut donc persévérer, car c'est parfois long dans certains livres pour mettre les choses en place et c'est le cas dans celui-ci.

L'auteur nous plonge alors dans une histoire bien différente de celle à laquelle je m'attendais. Il nous fait voyager de Montréal à Berlin, en passant par New York. J'ai apprécié ses descriptions précises qui m'ont permis de bien m'imaginer l'envers du décor. J'apprécie autant son écriture, il a une belle plume et j'en ressors toujours de belles citations.

Côté personnages, j'ai adoré certains et eu de la difficulté avec d'autres. J'ai beaucoup apprécié le père de Julia. Son amour inconditionnel pour sa fille et son humour ont su me toucher. J'ai eu un peu de mal à m'attacher à Julia, je ne saurais dire pourquoi, son caractère me tapait un peu sur les nerfs... Par contre, son meilleur ami, Stanley, m'a charmée ! Il m'a fait rire et était super attachant. le fiancé de Julia, Adam, m'a horripilée ; il semblait superficiel et m'énervait franchement.

Ce livre renferme une histoire inattendue et touchante, qui malgré quelques longueurs a su me charmer (j'ai presque dû sortir les mouchoirs, c'est peu dire !) et me surprendre. Plus qu'une histoire d'amour, c'est une histoire où l'on voit que malgré tout ce qui peut se passer dans une vie, l'amour d'un père pour sa fille est plus fort que tout. Je le recommande donc, car il a su me faire passer un super moment.
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Toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites... Voici un programme alléchant.

Un père, une fille et un abîme entre eux. Alnthony s'est éloigné de sa fille Julia en voyageant aux 4 coins du monde. Se sentant délaissée Julia s'éloigne elle aussi, quitte les Etats Unis pour étudier en France. Entre ces deux là, le courant ne passe plus.
Adulte, Julia n'a pas vu son père depuis des années. Elle ne sait même pas si il sera présent à son mariage dans 4 jours avec Adam. Et voilà que Wallace le secrétaire d'Anthony téléphone pour annoncer à Julia que son père ne viendrait pas. Mais cette fois il a une excuse en béton: il est mort et doit être enterré le jour des noces de Julia.
Julia enterre donc son père au lieu de se marier. de retour à son appart, un énorme colis a été déposé chez elle (une caisse de 2 mètres !) contenant son père : une sorte de robot super bien fait avec tous les souvenirs de son père, son âme et son cerveau en quelque sorte.
La machine ne peut fonctionner que 6 jours.
6 jours pour tout se dire, 6 jours pour se rapprocher.
On découvre alors qu'anthony a empêché le mariage de sa fille avec tomas un jeune allemand et qu'il lui a caché une lettre. Les voilà partis dans un premier temps sur la route de la discussion, puis de la recherche de tomas que julia croyait mort.

Si le concept me paraissait intéressant, après tout qui n'a jamais rêvé d'avoir 6 jours de plus avec un proche qui vient de mourir, la manière dont l'intrigue a été menée ne m'a pas emballée. Pour plusieurs raisons:
1) Je n'ai pas été émue. A aucun moment.
J'ai perdu mon père il y a déjà 8 ans et s'il m'avait été donné la possibilité de rester avec lui 6 jours, je n'aurais pas passé mes 6 jours comme ça. A se faire la gueule, à m'enfermer dans ma chambre, à courir à gauche à droite.
2) Je n'ai pas accroché aux personnages, trop clichés à mon goût et trop distants. Julia m'a agacée, anthony aussi et même le meilleur ami homo (effet de mode vu 100 fois) aussi.
3) des invraisemblances. Un exemple: Tomas envoie une lettre à Julia chez son père (petit rappel celui ci lui a quand même fracassé le nez en reprenant julia de force) et ne se doute pas une minute qu'elle ne va pas recevoir sa lettre.
4) Les longueurs. Les 100 premières pages sont assez indigestes.

L'histoire se lit. C'est assez bien écrit, c'est fluide mais c'est quand même ennuyeux. Heureusement que la romance et la recherche de tomas relèvent un peu le truc parce que j'aurais peut être décroché.
Ce qui m'a le plus manqué : des émotions des émotions des émotions.


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Un roman qui m'a touchée.

Un papa qui veut se faire pardonner, un papa qui veut juste parler, un papa qui veut raccommoder les liens rompus avec sa fille unique depuis dix-huit ans, c'est pas simple et pourtant, il a trouvé une solution… Presque de la SF et pourtant, c'est tellement une bonne idée ; mon papa est parti il y a deux mois et j'ai encore tellement de choses à partager avec lui que ça m'a émue tout du long.

Plusieurs histoires finalement, un amour de jeunesse, une amitié indestructible, un avenir de stabilité harmonieuse planifié et surtout, l'amour d'un père qui veut se faire entendre et écouter. Une plume parfois agressive et surtout pleine de tendresse et d'émotions, un pitch truffé d'humour et d'amour, un rythme lié à un timing très serré, un voyage dans le temps et une conclusion surprenante et pourtant attendue.

Un autre roman trouvé dans une boîte à livres, un auteur connu et je n'ai pas été déçue, il va intégrer ma bibliothèque :-)
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Allez ! Je ne vais pas dire qu'il n'y a rien dans ce roman, mais c'est quand même d'une facilité et d'une platitude consternantes. Imaginer qu'une IA puisse remplacer un père, aussi singulier fût - il, il faut une belle imagination. J'ai lu deux ou trois romans de cet auteur : lectures faciles et récréatives .Si je n'en ai pas gardé un souvenir marquant, ils ne m'ont pas "fatiguée" ; celui-ci est sûrement le livre de trop !
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2° roman de Marc Lévy pour moi et c'est toujours aussi facile et agréable à lire mais.... malgré la technologie du père androïde, quelques éléments miraculeux et quelques incohérences, ce roman un peu mièvre ne parvient pas à éviter un déroulement sans réelle surprise et l'accumulation de clichés.
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