Les chroniques de Narnia, tome 3 : Le cheval et son écuyer

Ce troisième tome est sans conteste l'un de mes préférés, sans doute à cause de l'ambiance orientale qui y règne. En effet, l''histoire ne se déroule pas à Narnia mais à Calormen puis Archenland, deux royaumes "voisins".

J'apprécie beaucoup le quatuor de héros, composés de deux humains et de deux chevaux parlants, même s'il sont parfois tout juste esquissés : il y aurait eu matière à approfondir. Ce que j'apprécie chez Lewis, c'est que ses personnages ne sont pas exempts de défauts, même si cela peut parfois tourner à la caricature.

L'un de mes passages préférés est la rencontre de Shasta et d'Aslan, à la fois touchante et poétique, ainsi que le récit de la chute malencontreuse de Rabadash (au sens propre et figuré) qui m'a beaucoup fait rire.

L'histoire est sympathique et les personnages attachants.
Surement mon préféré des trois premiers tomes.

Et voilà le troisième opus de Narnia. Encore une fois, tous les éléments du conte sont réuni : un jeune esclave qui s'évade, une princesse qui fuit son destin, et un méchant un peu stupide et prétentieux, avec son plan machiavélique à déjouer. Mouhaha! Et bien sûr, on retrouve Aslan, le bienveillant, qui veille sur le bien être de Narnia et sa population.

L'accent n'est pas mis sur l'accent, mais plutôt sur les personnages, les questions qu'ils se posent sur eux-même, sur leur changement de situation et leur relation par rapport aux autres.

Au final, il manque peut-être un peu d'action, et j'ai préféré le volume précédent, même si celui-ci reste sympathique malgré tout.

Je vais essayer de faire une critique constructive, car c'est tout de même un livre pour enfant.

Nous sommes dans l'âge d'Or de Narnia, où les rois Edmund et Peter, et les reines Suzanne et Lucy règnent, mais ne sont seulement que des personnages secondaires dans ce tome.

Nous débutons le récit avec Shasta, petit garçon blond recueilli lorsqu'il était enfant par un pêcheur malotru qui ne l'a pas élevé comme son fils, mais plutôt un esclave. C'est alors qu'un riche seigneur de Tarkaan fait halte chez le pêcheur, Shasta rencontre Bree, un vrai cheval Narnien, qui parle et qui a d'autre volonté que de servir.
Tous les deux, ils s'échappent et rencontre une jeune fille en fuite, et une autre cheval Narnien. Leurs aventures sont semées d'embûches, c'est assez drôle, un peu violent pour un enfant, mais j'ai globalement apprécié me plonger dans ce tome.

Les points dérangeants avec un oeil adulte sont évidement, le racisme. Oui, les méchants sont clairement des personnes du moyen orient où il est tout à fait convenable de marier une jeune fille de 13 ans, et dont son amie ne comprend pas son refus, car même si il est violent et méchant « il a un énorme palais et tu ne le verra jamais ».
Les gentils sont évidemment blanc et blond…

D'une part, je pense que je n'y aurai pas fait attention enfant, et d'autre part, je pense que cela fait partie du racisme ordinaire qui nous est inculqué dès le jeune âge, c'est dommage…

Depuis ma subite envie de me replonger dans les chroniques de Narnia, je n'ai pas trouvé plus ennuyeux que ce troisième volume.

Il est très long et il ne s'y passe pas grand chose. Je ne me suis pas du tout attachée aux personnages principaux et Narnia n'est pas vraiment le centre dans cette histoire. Autant que vous le sachiez maintenant pour ne pas être déçus après…

De plus, je suis frustrée que l'auteur ou l'illustrateur n'aient pas pensé à ajouter une carte géographique des pays entourant Narnia. J'ai eu beaucoup de mal à me repérer dans tout ce bourbier !

Il s'agit clairement de mon tome préféré depuis le 1er (‘Le Lion, la Sorcière blanche et l'Armoire magique').
L'histoire reste simple et classique mais ce tome se démarque complètement des autres puisqu'on oublie les personnages et lieux habituels pour explorer les autres pays aux frontières de Narnia. J'ai pris du plaisir à découvrir plus en détail le monde de Narnia et pas simplement les péripéties des personnages pas toujours intéressants. Selon moi, ce tome montre qu'il y avait mieux à faire que de raconter simplement l'histoire d'enfants de chez nous débarqués à Narnia : le monde est suffisamment riche pour être détaillé plus en profondeur, et pas forcément à travers le regard d'enfants ‘normaux'.
De plus, le rôle d'Aslan est bien mieux maitrisé que dans les tomes précédents. Il force le destin (comme dans ‘Le Lion, la Sorcière blanche et l'Armoire magique') mais ne semble pas aussi omnipotents que dans certains tomes (‘Le Passeur d'Aurore' notamment).
Bref, un tome qui me réconcilie un peu avec l'univers de Narnia. J'aurais aimé que tous les tomes soit du même style.

Ce troisième tome est l'un de mes préférés de la saga. L'intrigue se déroule durant le règne des Pevensie. On entrevoit les personnages de Susan, Edmund, Lucy et même M. Tumnus d'un point de vue extérieur et je trouve ça tellement bien ! Je suis juste déçue que Peter ne soit que mentionné et qu'il n'apparaisse pas. La plume de C.S Lewis est toujours fidèle à elle-même, fluide, simple, addictive. L'histoire est captivante, rythmée, on se demande toujours ce qui va se passer. J'adore les personnages de Shasta et d'Aravis que l'on voit sérieusement évoluer ainsi que Bree et Hwin qui sont vraiment drôles. On va découvrir les mystères des origines de Shasta même si on s'en doute assez rapidement. On s'attache aussi beaucoup aux personnages grâce aux changements de points de vue entre les deux enfants. Aslan fait son retour d'une manière différente que dans les autres tomes. Au niveau de l'univers, on quitte Narnia pour se retrouver à Calormen et Archenland et j'aime beaucoup mais ça m'aurait aussi plu de voir le royaume de Narnia. Je trouve que dans ce tome on n'a vraiment pas le temps de s'ennuyer et on s'attache aux personnages à qui il arrive plein d'aventures malheureusement c'est toujours tellement court ! :(

J'ai vécu ce roman comme un épisode de Noël d'une série. Vous savez celui qui n'apporte absolument rien dans l'histoire?!

Ici, l'accent est mis sur l'amitié, les personnages principaux que l'on connait n'arrive que sur la fin, on se retrouve donc avec une flopée de nouveaux personnages aux noms compliqués et qui n'apportent rien à l'histoire de héros.

L'action peine à se mettre en place (de façon assez interminable) et quand enfin on y arrive il y a un enchaînement d'un peu trop de péripéties (c'est dommage pour une fois qu'il se passe un truc).

Le tome est peut-être du coup plus complexe, car Narnia est mis entre parenthèses et il difficile de se plonger dans un monde nouveau dont rien ne nous est expliqué, et dont je n'ai toujours pas compris la place au sein de Narnia...

Pas un roman des plus utiles dans cette saga.

Narnia a été créé.
Narnia a été sauvé.
Narnia est mis entre parenthèse. Au moins le temps d'un roman. de nouveaux lieux, de nouveaux personnages et une aventure dont l'ultime aboutissant reste Narnia.

Pour le moment, c'est le tome le plus ardu pour moi. Plusieurs fois abandonné, j'ai eu un mal de chien à mettre les pieds dedans.

Il n'est jamais bon de lire un livre pour le lire et c'est ce que je me suis forcé à atteindre comme but ici. Ça m'ennuie toujours de sauter un tome, un épisode, etc. Cette peur de passer à côté de quelque chose. Honnêtement, j'aurai pu lire cet opus en transversal et passer au suivant…

Ce tome trois n'est définitivement pas mon préféré des sept tomes, l'évolution et la fin sont assez prévisibles dès le début. Par contre, les personnages sont attachants, on a tout de même affaire à un joli conte. J'ai cru remarquer des petits clins d'oeil au Seigneur des Anneaux... Je me trompe peut-être... (je crois que les deux auteurs étaient amis...)
Ce tome-ci raconte une histoire qui se déroula pendant le règne des Pevensie.
Shasta, pour échapper à sa condition d'orphelin maltraité, va, par opportunité, s'enfuir avec le cheval d'un visiteur inattendu. Ce cheval, nommé Bree, parle, il vient de Narnia, il est gentil mais un peu imbu de sa personne. L'enfant et le cheval vont ainsi voyager et échapper à leurs destins d'esclaves, mais le chemin sera pavé d'embûches. Ils feront la connaissance d'Aravis, une princesse, et de Hwin, sa jument, beaucoup plus perspicace et lucide que Bree. Quant à Aslan, il est beaucoup plus protecteur dans ce tome qu'il ne le fut dans les précédents avec Peter, Suzanne, Edmund et Lucy.
Il y a quelques longueurs, et dans les actions, le suspense retombe aussi vite qu'il est monté, comme un soufflé mal cuit, c'est dommage car l'univers est toujours bien maîtrisé, même si j'ai nettement moins apprécié le coté moyen-oriental de Calormen, cela reste Narnia et sa magie...