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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
L'homme se prélasse et s'attarde dans la lassitude, il s'enlise dans les méandres d'une bonne vieille déprime, le regard bas, les yeux remplis de perles d'eaux salés, le froid s'abat au dehors, les pares brises se cristallisent d'une trainée blanchâtre, la nuit s'endort bercée par l'aube qui soleil le vent de sa douce fraicheur rayonnant à travers le ciel et ses nuages…

L'inspiration se meurt avec le temps, les conneries qui se répètent s'encrassent, et la mélancolie des sourires laissent place à une moue boudeuse, qui suis-je ? Cette question me taraude l'esprit triste, nappé d'un voile de déni, pourquoi ? Comment ? Mais ou et donc or ni car ? Les souvenirs d'un passé douloureux s'installent confortablement laissant peu de place à cette joie de vivre que nous cultivons pour le meilleur et pour le pire, mais quand le pire se poussiérise dans l'inconscient, le meilleur s'oublie, s'égraine et s'effiloche, le temps tricote son écharpe pour l'hiver, pourvu qu'il soit doux vu le temps qu'il prend rien que pour enfiler deux aiguilles...

Je m'ennui alors je dissèque l'homme, pour comprendre et me comprendre, il y a matière à gamberger, cogiter implique de se foutre à poil, mais tout nu tout nu, Faut faire le tour du proprio dans les grandes profondeurs, et mettre les choses à plat, le bide à l'air, j'ai glissé sur une peau de banane, la sensation est bonne, mais le sol est bas, froid et la chute au combien douloureuse…

Le nez dans la merde, je relève la tête, pour jeter un oeil, ça fait mal parfois d'ouvrir les yeux sur une réalité crue qui vous bouffe l'optimisme, égoïstement anesthésié par les sentiments qui vous submergent de toute leur haine, alors qu'il suffirait de dédramatiser cette même réalité, lui dessiner un putain de sourire sur sa vérité, et lui dire que t'aime bien les salopes, surtout celles qui te mordillent les oreilles, mais pas celles qui t'arrachent les futilités d'une vie…

chatouille moi l'entre jambe plutôt, mais ne brise pas mes rêves de princesse déchue au rang des pleureuses, laisse-moi reprendre mon souffle coupé par la brutalité d'une baffe en pleine gueule, fallait prévenir merde, que je prépare à l'impact ouvrant les brèches d'une tristesse odieuse qui a du mal à se cautériser, les miracles n'existent pas, on fait face tout seule à cette image dévalorisante qui se déverse confortablement dans le conscient, nous renvoyant au reflet tristounet d'une joie de vivre tombée aux oubliettes…

Et il y a cette petite voix intérieure qui vous cause dans votre solitude profonde, se demande s'il ne serait pas temps de passer au deuil, de conjuguer au passé un présent bancal, s'il ne serait pas temps d'arrêter de s'apitoyer sur son nombril, de prendre la sérénité par les é pour illuminer un peu l'obscurité d'un futur incertain, longtemps bercé d'illusions, mais les oeillères sont tombées, regarde comme la route est belle mais sinueuse, trébuche, titube, mais enivre toi du quotidien, relève la tête, souris moi, apprends à remarcher la tête droite…

Elle a raison cette petite voix, parfois elle raconte des conneries quand une femme aux formes généreuses se fantasme au coin de la rue, mais ouais, il est temps de se branler l'espoir d'un demain à la chaleur suffocante, bullant dans les profondeurs enivrantes.. ..

La vie c'est cool merde, pourquoi s'emmerder avec toutes les conneries qui la polluent, l'homme est ainsi fait, plein de faiblesses, il s'agenouille, et puis l'espoir renait d'un 95G, ou d'une moue délicieuse à embrasser ses lèvres savoureuses, enfin chacun fait bien comme il veut, faut juste trouver la bonne partition pour queue la musique soit harmonieuse et si une fausse note se glisse entre ses cuisses pleine d'envie, mets y la langue ou un doigt ou deux, pour accorder de nouveau sa façon de vivre…

Sinon pas trop emballé par le roman vu et revu donc sans plus mais je deviens aigri avec l'âge..

A plus les copains
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J'ai été long à éprouver un intérêt pour cette lecture.
Ça démarre sur des chapeaux de roue, puis plus rien pendant de nombreuses pages, sinon un roman niveau roman de gare (jalousies entre femmes, mari infidèle) ; beaucoup de poncifs dans l'expression, parfois un regain d'analyse psychologique ; l'analyse psychologique de l'auteur des meurtres ne tient pas une seconde : ses crises de violence arrivent sans explication.
Pas de recherche logique du meurtrier, ce qui fait tout l'intérêt du roman policier, son essence même.
L'auteur nous dévoile son nom aux deux tiers du roman, ce qui annule tout le suspens. Et puis la police qui arrive juste à temps pour sauver la pauvre Laura !!!
Tout cela est bien faible.

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Un policier standard un peu décevant, on trouve très rapidement le coupable.
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très bien
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