Dans ses haïkus de la baraque à frites, « face aux collines sombres de la Margeride », Fitaki nous donne à accéder au-delà du visible, de l’odorant, du sonore, même si ses cinq (six ?) sens en alerte sont source d’inspiration. Il nous révèle de façon presque subliminale le transcendant derrière le trivial ; j’allais presque dire, le divin au-delà de l’humain : derrière la toile d’araignée, il y a le vertige du cosmos ; derrière l’odeur du curry coco, la solitude du ...
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