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Citations sur Sérum : Saison 1, Épisode 1 (48)

L'instinct ça n'existe pas, Lola. L'instinct, c'est de la logique qui s'ignore.
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-L'instinct, ça n'existe pas,Lola. L'instinct, c'est de la logique qui s'ignore.
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Peu de chances, c'est toujours trop de chances
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Un gigantesque foutoir, beaucoup de chose inutiles, et pas mal de choses à jeter
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Si ça ne marche pas, pourquoi tu cliques quinze fois ? Elle est branchée, ton imprimante ? — Ben oui ! — Il y a du papier dedans ? — Tu me prends pour une débile ? — Non. Mais tu as fait l’École de police, c’est souvent un net handicap, répliqua Detroit en se penchant sur l’ordinateur de sa collègue. Le détective Gallagher soupira et fit lentement rouler son fauteuil sur le côté. Elle secoua la tête d’un air amusé en voyant le regard de son collègue glisser vers son décolleté. — Concentre-toi plutôt sur l’imprimante, murmura-t-elle tout en prenant son téléphone portable dans sa poche pour voir si la baby-sitter n’avait pas essayé de la joindre
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Entre l’ordinateur, le téléphone démesuré, les dossiers en cours et ses affaires personnelles – une photo de son fils prise lors de leurs vacances en Floride deux ans plus tôt (vacances qu’elle avait naïvement promis de renouveler), un iPod bourré de standards du rock et de ballades irlandaises, deux ou trois cannettes vides de Red Bull sans sucre et un brumisateur périmé –, il n’y avait plus un seul centimètre carré de disponible sur sa surface de travail. Au fond, son bureau ressemblait un peu à sa vie. Un gigantesque foutoir, beaucoup de choses inutiles, et pas mal de choses à jeter. Après plusieurs opérations infructueuses, Detroit fit une grimace désolée. — Rien à faire. Ton imprimante est aussi morte qu’un dimanche après-midi dans le Delaware
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Ils étaient toujours sur ses traces. Elle avait remonté toute l’avenue jusqu’à Clinton Hill, se faufilant entre voitures et passants, renversant poubelles et panneaux publicitaires, et ces enfoirés étaient toujours sur ses traces ! Sa gorge lui brûlait, ses jambes, ses pieds, son corps tout entier lui faisait mal, et elle avait l’impression d’avoir dépensé toute son énergie. Pourtant, elle ne pouvait pas abandonner. Pas maintenant. Pas après tout ce qu’elle avait fait pour en arriver là
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Elle rassembla le peu de forces qui lui restaient, traversa le grand boulevard et se jeta dans l’allée centrale. Ici, la neige tenait bon et, à la lumière de la lune, elle avait l’impression de gravir une immense colline bleutée. Après plusieurs foulées, elle s’écarta du chemin, longea l’aire de jeux et courut au milieu des arbres vers le sommet de la colline. Ses pieds glissaient sur le parterre de neige et de boue. Le terrain montait de plus en plus et, bientôt, à bout de souffle, elle fut obligée de s’arrêter. Pliée en deux, elle posa les mains sur ses genoux dans un geste d’épuisement désespéré. Des petits nuages de fumée blanche sortaient de sa bouche à chaque souffle. Soudain, elle entendit les bruits de pas derrière elle. Elle se redressa, jeta un coup d’œil vers le bas de la colline, juste à temps pour voir qu’on allait lui tirer dessus – une main tendue, un éclat de métal sous la lumière d’un réverbère
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Elle avait fait une erreur en venant ici, dans ce parc. Et cette fois, ils ne la laisseraient pas repartir vivante. De toute façon, elle n’en avait plus la force. Avec une accablante résignation, elle se retourna et plaqua son dos contre le socle en granit du monument. Tout en bas du parc, les gyrophares rouge et blanc des voitures de police éclairaient les vieux immeubles par intermittence. Mais c’était trop tard. Elle n’eut sans doute pas le temps d’entendre ce dernier coup de feu. La balle l’atteignit en pleine tête
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Elle fouilla dans le manteau de la victime. Rien. Pas de portefeuille, pas de papiers. Dans la poche de son jean, toutefois, elle trouva un bip de parking. Rien d’autre. Le détective glissa le bip dans un petit sac en plastique. Puis quelque chose attira son attention : les mains de la femme. Elles étaient couvertes de petites taches de peinture multicolores. Elle en fit une nouvelle photo. Quelques minutes plus tard, le parc grouillait d’uniformes et Lola regarda les ambulanciers emmener la blonde vers le Brooklyn Hospital, à deux pas de là, dans un concert de sirènes. Au même instant, l’agent Velazquez revint sur les lieux, essoufflé
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