Magasin général, tome 7 : Charleston

Comme prévu, après Montréal, les choses ne pouvaient plus être les mêmes à Notre-Dame-Des-Lacs. Marie est revenue au village avec un petit bout de Montréal et un vent de nouveauté souffle dans notre village québecois préféré.

Ce 7ème tome prend presque des allures de comédie musicale. le charleston entraîne tous les habitants, ou presque, dans un tourbillon de bonne humeur et de liberté. Marie est décidée à rester la femme libre qu'elle est devenue. Et de peur de la perdre à nouveau, les villageois ne trouvent plus rien à y redire. Ce petit vent de liberté pourrait même être contagieux ; les robes se font plus flatteuses avec les silhouettes, les fêtes sont bien arrosées, des idylles se nouent...

Ce tome est un des plus joyeux de la série. Plein d'humour, ce 7ème tome s'achève sur un dénouement, certes prévisible au vu de ce qui a précédé, mais qui fonctionne très bien et surtout qui donne envie de se jeter sur la suite.

Challenge B.D 2017

Le rythme ralentit dans ce septième tome où l'ambiance est à la fête.

Un air de liberté flotte sur le village depuis que Marie est rentrée de Montréal : nouvelle mode, nouvelle musique,... Les jeunes femmes qui veulent avoir de jolies robes, comme Marie et Jacinthe, passent beaucoup de temps au magasin. Et les hommes, qui ont bien envie de se distraire à l'approche du départ pour la coupe du bois, profitent de tous les prétextes pour faire la fête, y compris les réunions pour élire le nouveau maire.

Et Marie, encouragée amicalement par Serge, profite également de la nouvelle liberté qu'elle revendique en apportant du réconfort aux frères Latulippe, qui ont tous deux rasé leur barbe pour lui plaire, ce qui n'est pas sans déclencher des commérages dans le village. Dans le même temps une autre romance se noue plus discrètement...

Mais le temps des réjouissances se termine bientôt : les hommes quittent le village pour l'hiver et Marie présente des symptômes laissant penser qu'elle se trouve dans une "situation intéressante". Tout cela laisse envisager des remous au village pour le prochain tome, ce qui ne sera pas pour me déplaire...

Ici, le lecteur se retrouve en plein coeur de ce que l'histoire appellera plus tard "Les Années folles". En effet, en revenant de Montréal avec de belles idées et des rêves plein la tête, Marie fait bien baver les dames du village devant ses belles robes et ses chaussures à talon mais aussi avec...son rouge à lèvres ! de plus le charleston est arrivé et les dames du village ne pensent plus qu'à se faire belles et à...danser, à profiter de la vie en gros !

Quant à Réjean, le curé du village, il commence à s'inquiéter de l'élection d'un nouveau maire après avoir sermonné par les trois vieilles belles-soeurs acariâtres du village (vous ne trouvez pas que c'est un comble, un curé qui se fait rappeler ses devoirs pas trois femmes on ne peut plus rabat-joie !).
Le problème étant que, les hommes sont d'accord pour organiser des élections mais qu'aucun d'entre eux n'est prêt à assumer la responsabilité de maire.

Quant aux frères Latulippe Ernest et Mathurnin qui est dorénavant complètement remis de sa malencontreuse rencontre avec un ours, ils vont bientôt retourner dans leur forêt ...bien qu'ils commençaient à se plaire au village et qu'ils prenaient du bon temps...

Qui de Marie, qui a réappris à prendre du plaisir avec les hommes et à le leur en donner depuis son séjour à Montréal ou des frères Latullipe va le plus regretter cette séparation ?

Un tome que j'ai trouvé très attendrissant, surtout avec l"'histoire de Gaëtan, le fils adoptif de Serge et qui est aussi un peu "l'idiot" du village et de son ourson qu'il a récemment recueilli et qu'il a appelé "Roger-Roger".
Une histoire toute en couleurs mais avec toujours le même petit problème de compréhension du langage de temps à autre (Je dis bien Petit Problème car lorsqu'on lit le texte à haute voix, on a l'impression d'y être, je veux dire au Québec ! et j'adore ça !). A découvrir !

Je continue l'histoire de Marie, Serge et tous les autres personnages la Paroisse de Notre Dame des Lacs au Canada dans les années 20 avec toujours autant de plaisir. Mathurin Latulippe se remet tout doucement et son frère Ernest se transforme : il rase sa longue barbe ..... que cela cache-t-il ? Marie continue sa découverte du plaisir avec Ernest passe de doux moments auprès d'elle mais Ernest lui aussi rase sa barbe.....
Et puis c'est un peu tout et n'importe quoi au niveau de la paroisse et il est temps qu'un maire fasse régner l'ordre mais pour cela il faudrait au moins un candidat mais là est le problème, personne de veut se présenter. Et tout cela sur un fond de musique de Charleston, nouvelle danse rapportée de Montréal qui met de l'ambiance dans chaque réunion.
Mais à nouveau Marie se sent bizarre, Ernest et Mathurin ont repris le chemin des bois pour la saison d'hiver mais elle ressent de "drôles" de choses....

Lien : http://mumudanslebocage.cana..

Entre deux lectures plus conséquentes et comme j'ai pris l'habitude récemment de lire des bandes dessinées en début de week-end le vendredi soir j'ai donc continué avec le tome 7 de Magasin Général.

Dans celui-ci il souffle un vent de liberté depuis le retour de Marie de Montréal, celle-ci a fait voir à ses amies ses nouvelles robes de Montréal et ayant ramené du tissu de là-bas, les femmes du village vont pouvoir en profiter également, de plus Marie va également montrer à ceux-ci comment danser le Charleston.

On va suivre également les deux frères blessés recueillis dans le tome 6 Mathurnin et Ernest, nous suivons également Roger-Roger.

Il y a toujours "la voix" du défunt de Marie dans cet opus qui ponctue certaines parties de la bande dessinée.

Je retrouverai avec plaisir ce village dans les tomes suivants.

La vie à Notre-Dame-Des-Lacs se trouve un peu bousculée suite au retour de Marie et Jacinthe, avec elles, elles ont amené un peu de la ville, tenues vestimentaires, musiques, état d'esprit...
Marie continue de vivre sa vie de femme moderne, qui ne se freine plus, le regard des autres, dorénavant elle n'en a plus rien à faire. Seulement ces petits chamboulements créent un peu le chaos au village.
Pour essayer de remettre un peu d'ordres dans tout ce bazar, les habitants souhaitent élire un nouveau maire.
Mais le temps passe et l'hiver approchant, les hommes vont devoir repartir... Marie elle ne se sent pas comme d'habitude...La vie lui réserverait-elle pas une nouvelle surprise??

Un doux vent de folie, ou plutôt, de charleston flotte au-dessus de Notre-dame-Des-lacs.
Marie et Jacinthe, ont ramené dans leurs bagages un souffle modernité et la folie du charleston entraine le village dans des soirées dansantes ou tout le monde se lâche.
Marie , quand à elle, continue à vivre pleinement sa vie de jeune femme émancipée, et ce n'est pas les frères Latulippe qui vont y trouver à redire !
On mesure dans cet épisode, une fois de plus, l'influence que Marie peut avoir sur la communauté...
Cet album se termine peu après le départ des hommes pour la foret, où ils vont partir travailler une partie de l'hiver et surtout après des tentatives vaines pour trouver un maire à élire...
La dernière page annonce une petite surprise qui laisse présager une suite plus qu'à la hauteur...

Plus j'avance dans la lecture de cette série et plus je suis triste : je la découvre grâce à ma médiathèque alors que j'aimerais tant avoir ces neuf exemplaires dans ma bibliothèque personnelle !

Les auteurs ont encore une fois créé un album superbe, tant par le graphisme que par le scénario (vraie force de la série à mon sens).

Cette fois-ci, nous retrouvons une Marie toujours aussi douce mais bien plus entreprenante. Je n'irai pas jusqu'à parler de débauche, ce serait amplement exagéré, mais disons qu'elle rattrape le temps perdu ! Ce faisant, arrive ce qui devait fatalement arriver en fin d'album...

L'élection d'un nouveau maire prend beaucoup de temps aux hommes, qui devraient pourtant se préparer au départ dans les bois, à l'approche de l'hiver. Pendant ce temps-là, les jeunes dames s'occupent de leurs nouvelles robes afin de faire sensation lorsqu'elles dansent le Charleston.
Cette situation est prétexte à beaucoup d'humour, et surtout de joie : faudrait pas s'en priver tout de même !

Challenge BD 2017

Un tome tout en musique et bonne humeur.
Les frères Latulippe vivent toujours chez Marie pendant la convalescence de Mathurin. Nous en apprenons un peu plus sur eux.
Marie continue de s'affirmer en tant que femme mâture et sûre de ce qu'elle veut et ne veut pas.
Serge reste le confident de Marie.
Un tome plein de bonne humeur, de joie, de tentatives d'élection du nouveau maire qui devient un pretexte à faire la fête sur fond de Charleston dans le magasin de Marie. Une mention spéciale pour Roger Roger et sa rencontre avec une des filles Gladu.
Et un bon final qui donne envie de lire le tome suivant........
Les dessins toujours agréables, des paysages superbes et toujours un brin de tendresse vis à vis des personnages.

Oh la la ... Il s'en passe des choses dans c't histoire !
Le rasage des barbes avec l'histoire des "bibittes",
La musique du tourne disque, magique avec le Charleston,
Charleston ça veut dire de belles robes, en avant Philomène, il va y avoir du travail.
Personne ne sera oublié, de beaux tissus qui viennent de la ville, de belles robes fabriquées par des super couturières, portées par de super nana heureuses de vivre.
Alors je ne vous dis pas ces soirées, parce qu'en plus il faut penser à l'élection d'un maire, avec les hommes qui partent plusieurs mois, avec les femmes qui n'ont toujours pas le droit de vote,
Alors on danse et on amène la prune et la poire pour essayer de réfléchir tous ensemble.....
Bien difficile tout ça, mais on trouvera la solution.
Et puis, enfin pour notre plus grand soulagement les femmes vont faire taire "Les dames Gladu", elles vont réussir à leur faire fermer leurs clapets ! Ça c'est une très Bonne Nouvelle !
Emportée par mon euphorie, sur les textes, j'oublie souvent de souligner l'importance du trait, de la caricature, qui donne son rythme à l'histoire.
Un dernier mot, sur les ombres magiques qui dévoilent toute la profondeur de chaque planche, sur la mise en couleur qui rend si vraisemblable toute cette chronique, un vrai petit bonheur !