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Citations sur L'appel de la forêt - Croc Blanc (12)

Buck ne lisait pas les journaux, sinon il aurait compris que de dures épreuves le guettaient, ainsi que tous les chiens aux muscles forts, au pelage long et chaud, qui vivaient sur la côte pacifique, de San Diego au fjord de Puget.
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C'était se battre à la façon des loups : frapper puis s'esquiver. Cependant, ce ne fut pas tout. Trente ou quarante chiens esquimaux accoururent qui, silencieux et attentifs, firent cercle autour des combattants. Buck s'étonnait de cette curiosité, de ce silence. Pourquoi se léchaient-ils les babines ? Curly se rua sur son adversaire. Celui-ci frappa de nouveau, fit un bond de côté et repassa à l'attaque. Cette fois, il heurta Curly de l'épaule en employant un procédé si singulier qu'elle fut déséquilibrée et ne se releva plus. C'était ce qu'attendaient les esquimaux témoins de la scène. Ils s'abattirent sur elle avec force grognements et jappements. Elle criait de terreur et de souffrance, mais bientôt disparut sous cette masse de pelages hérissés.
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« It was the masterful and incommunicable wisdom of eternity laughing at the futility of life and the effort of life. It was the Wild – the savage, frozen-hearted Northland
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Cela se passait par un beau temps printanier. (...)Le silence spectral de l'hiver avait cédé la plateau grand murmure printanier de la vie qui s'éveille. (...)La sève montait dans les pins. Les saules et les trembles laissaient percer leurs jeunes pousses. Arbustes et plantes grimpantes mettaient leur costume de verdure tout frais.(...)
Et au milieu de toute cette vie en éveil qui éclatait, fendait, palpitait, sous le soleil ardent, à travers le doux soupir des brises, comme des voyageurs promis à la mort, chancelaient les deux hommes, la femme et les huskies.
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« Hated by his kind and by manhood, indomitable, perpetually warred upon and himself waging perpetual war, his development was rapid and one-sided. [...] The code he learned was to obey the strong and to oppress the weak. »
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« It was the beginning of the end for White Fang – the ending of the old life and the reign of hate. A new and incomprehensively fairer life was drawing. »
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They were fire-makers! They were gods!
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Buck ne lisait pas ne lisait pas les journaux et était loin de savoir ce qui se tramait vers la fin de 1897, non seulement contre lui, mais contre tous ses congénères.
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He loved with single heart and refused to cheapen himself or his love.
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They were expressions of life, and life is always happy when it is expressing itself. So the cub had no quarrel with his hostile environment. He was very much alive, very happy and very proud about himself.
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