Le début du livre relate l'enfance de l'auteur dans un Congo alors colonisé par les Belges. S'en suit un résumé de son parcours politique, en tant que ministre de l'éducation d'abord, puis de ministre des affaires étrangères et enfin de premier ministre. Beaucoup de noms que j'oublie et de personnages qui m'indiffèrent. Je m'attarde davantage sur le contenant que le contenu, à savoir, un très beau coup de stylo et un vocabulaire qui inspire.
Sur la fin, l'auteur se livre davantage : c'est l'écrivain et non plus l'homme d'État qui se confesse désormais, offrant de la sorte au lecteur une conclusion plus poétique qu'autobiographique.
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