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Déjà, la Suède se targuait d'être le pays le plus bienveillant à l'égard du reste du monde (2016), puis le pays où l'on vieillissait le mieux etc etc. La Suède se promène toujours dans les 10 premiers des meilleurs pays au monde...Égalité, prospérité, santé, bien-être, liberté d'expression, accueil des migrants et j'en passe sont des valeurs qui ont toujours fait la différence en Suède.
Vraiment ? Sara Lövestam, avec son personnage de Kouplan, nous fait voir une autre facette de cette Suède si bienveillante. Une police des migrants, la traque des sans papiers, des sans abri qui vivent sous le métro, des petits bourgeois complaisants et individualistes, une bureaucratie sans indulgence , rigide, sèche, bref un portrait beaucoup moins glamour que ce que l'on s'imagine.
Dans Libre comme l'air, Kouplan, ce personnage pour le moins atypique (jamais rencontré ailleurs ce genre de personnage) , se clochardisera de plus en plus en attendant le papier qui lui permettra de profiter des rayons du soleil librement et se tournera vers ses souvenirs iraniens . À la demande d'une femme mariée qui trouve que son époux a des comportements étranges, Kouplan mènera une filature qui le portera bien loin de banales infidélités conjugales.
Un portrait qui n'est pas qu'en rose de la Suède (non ce n'est pas la pays des licornes) , de la situation des migrants et des statuts de réfugiés.
À lire les dernières lignes de cet opus, j'aime croire que ce sera plus qu'une trilogie et que nous poursuivrons, avec Kouplan, son rétablissement dans la liberté.
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Je l'ai déjà dit , la période estivale est toujours source de belles découvertes et je me suis lancé dans les aventures de Kouplan , sans papiers iranien réfugié en Suède , mais toujours en attente de régularisation dans un pays réputé accueillant .Seulement , le problème est complexe : comment survivre dans un pays quand la menace permanente d'être découvert plane ?...Croiser la route de la police et c'est le retour au pays . Alors il ne reste qu'une solution , vivre dans la clandestinité , sur des cartons , et recevoir l'aide ....d'autres belles personnes à la dérive... Situation plus ou moins aisée ...dans les faits .Qu elques complications insoupçonnées dans le monde réel ...Et Kouplan , il est "trans" , non pas que cela me perturbe le moins du monde mais ....pas évident, hein , même si l'intérêt de cette situation ne " saute pas aux yeux " . Et puis , trans ou pas , on s'en fout un peu , voire beaucoup , non ? C'est son problème .... Forcément , c'est " un plus " ou " un moins " , c'est selon .... Alors , quand une femme veut savoir avec qui son mari passe des moments supposés " bons " . Pas trop difficile et rémunérateur...L'aubaine des couronnes qui permettront de se nourrir à défaut de vivre . Oui , mais , trop belle la ficelle , trop facile , la vie .....Et si la maîtresse supposée......n'était pas celle qu'on croit...et si c'était plus compliqué que ça ? Faut dire que l'adultère aujourd'hui , ça "déplace tout de même plus les foules "....
Un roman sombre , au rythme lent qui peine à entrer dans le vif du sujet , qui s'emballe un peu vers la fin sans vraiment perturber l'ordre établi...Une peinture d'une société suédoise qui serait peu accueillante ..?.. Mouais ...Aucune intervention policière , tout de même , le héros n'est jamais en difficultés ...Une enquête sympa , sans plus , pas de quoi , à mon avis " troubler l'ordre établi " .C'est le troisième volume des " aventures " de Kouplan , avant l'arrivée du petit quatrième qui , je le dis sans arrière pensée et avec beaucoup de respect , se passera sans moi .Covid ? Canicule ? Je suis resté " de marbre " et n'ai pas vraiment vibré . C'est sans doute bien écrit- ou traduit - mais cela n'a pas suffi .La couverture est superbe de sens , l'intrigue beaucoup moins . Désolé , je passe mon tour avec toute la considération due à l'auteure et tous les lectrices et lecteurs qui ont aimé et qui ont peut - être raison , mon avis n'étant...que le mien et n'ayant aucune autre prétention que l'accent de la sincérité . Pour moi , " Kouplan " , c'est comme Capri , c'est fini....
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le deuxième tome des aventures de Kouplan, détective privé bien atypique , m'avait paru moins captivant, mais j'avais envie d'en savoir encore plus sur ce réfugié iranien si attachant, en attente d'une acceptation de demande d'asile sur le sol suédois. En attente aussi d'un changement de sexe...

Toujours en proie à des conditions de vie très précaires qui le conduisent à dormir dans un creux humide en dessous du métro, en compagnie de deux drogués, Kouplan va pouvoir bientôt, le 16 juin, refaire sa demande auprès des services d'immigration. Voilà qu'une femme d'un milieu aisé, Ulrika, lui propose d'enquêter sur son mari, qu'elle soupçonne de la tromper.

Kouplan découvrira bien autre chose en suivant le présumé infidèle...

J'ai beaucoup apprécié cet opus, plus prenant que le précédent. D'autre part, l'auteure sait parfaitement nous faire vivre en direct toutes les difficultés quotidiennes d'un sans-papiers. Je sais que des lecteurs trouvent certains détails peu vraisemblables. Peut-être, mais cela ne m'a pas gênée. Et le personnage de Kouplan s'étoffe encore. J'aime sa sensibilité, son empathie, ses angoisses bien compréhensibles, sa vive intelligence. J'attends avec impatience de lire le tome ultime, les dernières pages laissant présager des changements importants...
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Sara Lövestam, qui s'essayait pour la première fois au polar avec cette tétralogie Kouplan, a toujours aimé s'interesser aux laissés pour compte et aux marginaux de la société suédoise, dont Kouplan en est un bel archétype.

Dans Libre comme l'air, le troisième volume des aventures de Kouplan, après Chacun sa vérité et Ça ne coûte rien de demander, on continue d'apprendre pas mal d'élements sur le passé de Kouplan et les motifs de son départ d'Iran.

L'histoire commence quand Kouplan est amené à faire une nouvelle demande d'asile politique après une période de 4 ans de clandestinité .

En parralèle, Kouplan va réussir à trouver une nouvelle enquête : Ursula, riche épouse d'un avocat, atteinte de sclérose en plaques, lui demande de suivre son mari Hakam, qu'elle soupçonne d'infidélité..

La situation de Kouplan, de plus en plus précaire le contraint à accepter un peu d'argent pour survivre pendant quinze jours. Finalement, Kouplan va se rendre compte qu'Hakam dissimule bien des choses à sa femme, mais pas pour les raisons qu'elle croyait. Comme dans les précédents volets l'intrigue est moins importante que la façon qu'a Kouplan d'enquêter: adepte du système D, Kouplan doit faire preuve d'ingénoisité à la fois pour trouver le fin mot de l'histoire et pour ne pas se faire expulser.

Ce qui importe surtout c'est à quel point la plume de Lovestam accompagne toujours avec ce qu'il faut d'empathie et une once de dérision bienvenue la destinée de ce héros de roman policier vraiment pas comme les autres.

Et comme le quatrième volet, "Là ou se trouve le coeur" est sorti en mars dernier avant le confinement en grand format chez Robert Laffont, on n'a toujours pas fini d'entendre parler de ce réjouissant ( anti) héros !!

A noter aussi que "Libre comme l'air" devait sortir en poche en mars chez Pocket, mais finalement au vu de la crise sanitaire, le troisième volet de Kouplan ne sortira que le 2 juillet prochain, une lecture idéale pour l'été à venir !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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C'est le troisième volume des aventures de Kouplan, un détective vraiment différent des autres et auquel on s'attache au fil des romans.
Kouplan se retrouve à la rue et se clochardise de plus en plus. Il va jusqu'à dormir sous un pont avec 2 autres sdf, drogués. Mais, il a l'espoir d'obtenir bientôt le droit d'asile en Suède, il doit refaire une demande à l'administration après une période de 4 ans où il vivait dans la clandestinité et l'angoisse.
Il se trouve une nouvelle enquête afin de gagner sa vie : Ursula, riche épouse d'un avocat, atteinte de sclérose en plaques, lui demande de suivre son mari Hakam, qu'elle soupçonne d'infidélité.
Cependant, la situation n'est pas si simple , son mari a bien des choses à lui cacher mais il ne s'agit pas d'une femme. A force de patience et de questionnements, Kouplan va parvenir à éclaircir cette affaire.
Parallèlement, il va devoir s'habituer à sa nouvelle situation, il n'est plus un clandestin, il est "libre comme l'air". La fin du roman laisse espérer pour lui un avenir meilleur. A suivre ! Un bon roman.
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Kouplan est sans doute le détective privé le plus atypique de la littérature noire actuelle. Émigré iranien sans-papiers en Suède, il se cache dans les bas-fonds du pays tout en ayant l'inconscience de proposer ses services à la population locale. Et quand on rajoute qu'il a un gros problème à gérer en lien avec son identité sexuelle, on comprend que ce personnage n'est pas comme les autres.

Libre comme l'air est le troisième roman de Sara Lövestam mettant en scène Kouplan. Avant toute chose, je vais énoncer trois principes forts :

– lire les pérégrinations de Kouplan est très vivement conseillé,

– je déconseille par contre fortement de se plonger dans celui-ci avant les autres. Il faut impérativement commencer par le premier de la série, Chacun sa vérité et lire ensuite Ça ne coûte rien de demander, pour pleinement profiter du talent de l'auteure suédoise,

– le premier de la série a obtenu le prestigieux Grand prix de littérature policière en Suède. Sara Lövestam dit pourtant elle-même ne pas écrire vraiment du polar. Une sorte de paradoxe, mais qui prouve bien que ses romans et son personnage sortent des cases.

Et c'est bien là l'une des grandes qualités de ce nouvel épisode de la vie de Kouplan, qui tente de se faire une place loin de ses racines : le récit ne ressemble à aucun autre, l'enquête qu'il mène n'est presque qu'un prétexte et permet surtout de se plonger dans la société suédoise actuelle.

C'est Kouplan qui est au centre de cette nouvelle histoire. On en apprend beaucoup plus sur son passé et sur les raisons de sa fuite d'Iran. On vit son quotidien de SDF, on s'étonne de ses rencontres, on vibre à ses cotés. Ce personnage est l'un des plus attendrissants que j'ai pu rencontrer dans la littérature dite noire. Sa complexité autant que son humanité sont extrêmement touchants.

L'ambiance de ce troisième roman est différente du précédent, plus personnelle. D'où l'importance de suivre le cheminement du personnage depuis ses débuts.

La manière de raconter de l'écrivaine est toujours aussi directe, créant l'émotion et le décalage, faisant sourire parfois. L'écriture et la construction sont à la fois résolument modernes et pourtant intemporelles.

Et puis, la situation de Kouplan fait réfléchir sur notre monde actuel, rappelle des vérités que certains ne veulent pas entendre. du divertissement intelligent.

Oui, le talent de Sara Lövestam est clairement Libre comme l'air. Ce troisième épisode de sa tétralogie consacrée à ce singulier personnage est une nouvelle réussite, plus intimiste. Un vrai talent, pour une histoire inclassable mise au service d'un protagoniste profondément attachant.
Lien : https://gruznamur.com/2019/0..
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Kouplan, immigré en situation irrégulière, SDF et détective privé autoproclamé, est engagé par une femme qui soupçonne son mari d'infidélité.

Attention, ce roman est un tome 3! Je l'ignorais, ce n'est mentionné nulle part sur la couverture et, comme je n'en avais jamais entendu parler avant de le trouver dans une boîte à livres, je me suis fiée à son résumé. Alors concrètement, ce n'est pas vraiment grave, on comprend parfaitement l'intrigue et les éléments qui auraient pu manquer nous sont rappelés par l'autrice. Mais si vous comptez lire les tomes précédents, sachez que celui-ci les spoile. D'autre part, même s'il est extrêmement facile de s'attacher au personnage principal, c'est dommage de rater les évènements de sa vie qui précèdent, parce qu'ils ont beaucoup d'importance dans sa construction et son évolution.

Si on fait abstraction de cela et qu'on entre dans le roman sans se poser de question comme je l'ai fait, on est assez rapidement happé par l'intrigue. L'histoire du mari potentiellement infidèle évolue dans une direction que je n'attendais pas forcément, mais c'est en fait Kouplan et son histoire qui font la force de ce roman. le personnage est fouillé, complexe et vraiment intéressant. Comme dit plus haut, on s'attache à lui très vite et on tremble pour lui: s'il est pris, c'est l'expulsion vers l'Iran, où il risque très gros.

A travers ce personnage et ceux qu'il croise au fil de son enquête et de ses pérégrinations, de nombreux thèmes sont abordés: immigration et vie dans la rue, mais aussi transidentité, ravages de la drogue, liberté de la presse, inertie criminelle de la bureaucratie, etc. La façon dont l'autrice creuse ces sujets rendent la lecture très addictive.

Que dire de plus? J'ai dévoré ce livre en moins d'une journée et ma maman l'a tellement aimé qu'elle a commandé les deux premiers tomes dès qu'elle l'a refermé. Pourtant l'enquête en elle-même n'a rien de réellement palpitant ou original… Mais comme le dit le commentaire sur la couverture: « c'est pour des personnages de ce calibre-là qu'on aime le polar » (en ce qui me concerne, ça ne se limite pas au polar, je voudrais trouver des personnages aussi attachants et intéressants dans toutes mes lectures!).

Bref, c'était une très bonne surprise et je vous recommande très vivement ce livre!
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Je ne suis pas fan du personnage de Sara Lövestam, les aventures de Kouplan ne m'ont jamais semblé crédibles ... mais l'écriture est agréable ... les thèmes abordés le sont avec intelligence ... ils nous montrent l'envers du décor de l'accueil des étrangers, l'envers du décor pour ceux qui sont nés au mauvais endroit, au mauvais moment et dans un corps qui ne leur correspond pas.
Au fil du temps, au fil des aventures, l'écriture se bonifie et le personnage prend de l'ampleur psychologique et la Suède nous apparaît comme un pays contrasté.
Réfléchir, se demander ... "comment décider que le bonheur des uns vaut plus que le malheur de milliers d'autres ?"
Se retrouver dans une telle situation ... qui privilégier ... qui punir ... quelle bonnes questions !
Pour finir, une idée, reprendre les principaux personnages des différents romans et les laisser tranquillement errer un soir comme un autre et imaginer où ils sont, ce qu'ils font, ce à quoi ils pensent, une bonne idée pour nous donner envie de juste leur dire bonsoir, prêt à les retrouver demain, ou un autre jour mais être sûre de les retrouver bientôt, comme des amis que l'on sera content de revoir demain ou un autre jour mais une chose est sûre on les retrouvera.
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J'ai découvert Sara LOVESTAM et son héros, Kouplan, son détective privé sans papier avec "A chacun sa vérité", en janvier. En février, je me suis plongée avec délices dans "Ca ne coûte rien de demander" qui nous permettait de pénétrer davantage dans l'intimité de Kouplan, de découvrir son passé iranien.

Avec ce nouvel opus de ce qui devrait être une tétralogie, on le suit dans une nouvelle enquête qui consiste à déterminer si Hakan, un avocat d'affaires est, ou non infidèle ... 

Avec des méthodes minimales, une carte de transport, sa méthode bien à lui de faire du porte à porte en quémandant des bouteilles à rapporter à la consigne, il découvrira ce qu'il en est.

Un roman bien plus abouti que les précédents qui nous permet de suivre ce héros sympathique et débrouillard, d'en apprendre davantage sur sa vie mais aussi sur les conditions de son ancienne vie en Iran ... 

Un portrait réussi de la vie dans les banlieues suédoises, sur la condition des sdf de Stockholm, sans pathos ni misérabilisme.

Merci à Babelio de m'avoir fait parvenir ce roman dans le cadre de sa dernière opération Masse critique. 
Lien : http://les.lectures.de.bill...
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Un troisième tome que j'étais impatiente de lire !
Kouplan est toujours sans-papiers, et il est maintenant officiellement sans-abri, étant donné que Regina, la femme chez qui il loue une chambre, ne peut plus l'accueillir. le jeune homme se retrouve à dormir sous un pont, avec son sac à dos comme seule possession, et avec deux colocataires pas très fiables.
Mais Kouplan a quand même une lueur d'espoir : il a appris qu'il n'a plus que deux semaines à attendre avant de déposer une nouvelle demande d'asile. Il pourra ainsi obtenir son statut de demandeur d'asile et loger dans un foyer pendant que sa demande est examinée. Et il trouve également un nouveau travail : une femme souhaite l'engager comme détective privé, elle pense son mari infidèle. Kouplan devra donc trouver des preuves de la tromperie, tout en restant hors du radar de la police. Mais bientôt, son enquête qui devait être simple se révèle infiniment plus complexe...
Libre comme l'air est la troisième enquête de Kouplan, je conseille donc – évidemment – de lire d'abord Chacun sa vérité et Ça ne coûte rien de demander ! Et j'ai hâte de lire le quatrième et dernier tome, Là où se trouve le coeur, qui devrait arriver en juillet prochain.
Pour ce qui est de Libre comme l'air, j'ai donc retrouvé Kouplan avec plaisir, surtout que Sara Lövestam donne de plus en plus d'épaisseur à ce personnage : le jeune homme est constamment sur la brèche, toujours à regarder par-dessus son épaule et à tenter d'agir le plus « normalement » possible. On entre plus profondément dans son intimité, dans ses pensées, il est un mélange de force et de vulnérabilité. Ses démarches pour une demande d'asile en Suède sont très bien retranscrites, on peut voir un peu l'envers du décor. Ce n'est déjà pas facile, mais pour un jeune homme transgenre, cela ajoute une difficulté en plus. Sara Lövestam nous décrit avec subtilité ce casse-tête administratif et pesant, où Kouplan doit non seulement tenter de retrouver des informations sur sa famille pour prouver qu'il est en danger et « mérite » d'habiter en Suède, mais aussi sur le fait qu'il soit un homme malgré le fait qu'il ait un corps de femme...
Professeure de suédois pour les immigrés, linguiste de formation, militante LGBT, Sara Lövestam a plusieurs casquettes, et utilise tout cela pour faire de sa série Kouplan un roman mêlant plusieurs genres : intrigue policière, militantisme pour les droits LGBT, description de la vie des immigrés...
Libre comme l'air est donc une excellente lecture, je recommande !

(Voir mon avis sur mon blog.)
Lien : https://chezlechatducheshire..
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