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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Pour je ne sais qu'elle raison obscure j'ai toujours aimé les films ayant pour cadre un huis clos dans un avion, seul Freud pourrait l'expliquer.

Ayant lu tous les livres de cette autrice j'étais donc enthousiaste à l'idée de découvrir son tout dernier roman.

Un avion qui inaugure le tout premier vol sans escale entre Londres et Sydney, une hôtesse avec des problèmes conjugaux, son mari avec des secrets dangereux, leur fille adoptive au comportement compliqué.
Des pirates de l'air qui vont essayer d'arriver à leurs fins par un odieux chantage.
De quoi se régaler ou pas.

Ma grande déception réside dans les motifs de ces terroristes d'un genre nouveau. Il fallait bien trouver un motif à leurs actes, soit. J'ai trouvé ce choix fort extrémiste et contre-productif en raison de l'aspect "donneur de leçons".

Les relations conjugales de Mina, le passé de la petite Sophia nécessitaient-ils une telle mise en scène ?
Le côté psychologique aurait gagné à prendre le dessus sur le côté action.

La lecture est agréable est facile, comme toujours, mais la magie n'a pas agi sur moi cette fois-ci.




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Mina a tout fait pour embarquer lors du vol direct inaugural Londres-Sydney, laissant sa fille Sophia qui présente des troubles de l'attachement avec sa baby siter et son mari Adam avec qui est elle traverse une période difficile.
Le début est très très lent, il ne se passe pas grand chose dans l'avion ... puis Mina va se trouver face à un dilemme : sauver sa fille ou les passagers ...
Je n'ai pas été convaincue par l'histoire, plus intéressée par ce qui se passait au sol pour Adam et Sophia que dans les airs.
En revanche, c'es bien écrit et le suspense monte crescendo. La toute fin est surprenante.
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Livre lu dans le cadre de la rencontre avec l'auteur le mardi 11 janvier.
Je remercie Babelio pour m'avoir permis de participer à cette rencontre
Otage, nouveau roman de Clare Mackintosh est un policier-thriller au gout environnemental.
Mina, hôtesse de l'air, va faire partie du voyage inaugural de la liaison direct entre Londres et Sydney sans escale. Ce voyage doit se dérouler pendant plus d'une vingtaine d'heure lors de la semaine de Noël.
Mina est mariée à Nathan et ils ont adoptés une petite fille prénommée Sophia. Cette petite fille souffre du trouble de l'attachement. le couple en subit les conséquences et les rapports sont tendus jusqu'au jour où Mina va être persuadée que Nathan la trompe avec la baby-sitter. Celle-ci va donc les quitter et va être remplacée par la jeune Kathya.
C'est dans cette ambiance que Mina va donc partir malgré la tristesse Sophia pour ce vol inaugural.
Mais l'avion va donc être détournée par des pirates sous des prétextes environnementaux. Cet évènement va susciter une question à Mina : doit-elle sauver une seule personne ou des centaines d'autres ? Car en effet, cet évènement va avoir des répercussions sur son mari et sa fille Sophia.
J'avoue avoir un avis très mitigé sur cette histoire. En effet, autant l'idée de base est très originale, des terroristes environnementaux qui prend en otage un avion pour des raisons de pollutions causés par les avions sur l'environnement et du réchauffement climatique, autant le soi-disant suspense posé par l'auteur n'a rien de singulier.
De plus, je trouve que la première partie est un peu longue. je reconnais qu'il faut mettre en place les personnages, mais j'ai trouvé que certaines description n'étaient pas nécessaire à ce roman.
J'y reconnais malgré tout une lecture très facile qui permet d'acquérir quelques lecteurs qui n'ont pas l'habitude de lire ce genre de roman.
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De l'écoterrorisme.

8° roman de Clare Mackintosh.
Histoire totalement abracadabrante: une hôtesse de l'air, Mina, est soumise à un horrible chantage qui lui ne lui laisse aucune alternative, si elle veut sauver sa fille, Sophia, elle doit livrer un Boeing 777 à des écoterroristes. On le voit, la crédibilité n'est pas au rendez- vous.
Cependant, et il faut souligner le talent de cette auteure, le suspense est bien mené. Clare MACKINTOSH est douée pour mettre en scène des ambiances anxiogènes dont la tension va crescendo. Elle a composé là, comme à son habitude un roman choral alternant au fil des brefs chapitres les voix de divers protagonistes: Mina l'hôtesse de l'air, Adam son époux, Sophia leur fille et divers passagers du vol 79 désignés uniquement par leur numéro de siège. Chacun participe à la construction d'un puzzle dont les pièces commencent par apparaître de façon isolée. Mais les pions vont se relier petit à petit.
Comme dans tous ses romans, elle prend son temps pour tout mettre en place, créer peu à peu ces deux huis-clos:
- l'avion avec son vol inaugural de 20h en direction de l'Australie
- la cave de la maison avec Adam menotté et Sophia l'enfant autiste.
Elle évoque, suggère, avance par touches impressionnistes plutôt que de dire précisément (ainsi le mot "autisme", mal dont souffre Sophia, n'est écrit qu'à la page 69).
Cette technique littéraire permet d'aborder une multitude de thèmes contemporains sans les rendre pesants et ancrant l'histoire dans l'actualité (protection de l'environnement, réchauffement climatique, adoption, sexisme, troubles de l'attachement, addiction au jeu,...). Cette abondance nous sollicite, interroge… L'écologie cause vitale doit-elle s'exprimer dans la violence? La vie d'une enfant vaut elle celle de centaines de personnes?
Le roman se clôt avec une suite de rebondissements extravagants et surprenants ("switch" pour les anglais).
Quoi qu'il en soit, le talent de l'auteure est évident. Elle partage avec ses lecteurs un univers foisonnant, une écriture alerte, une composition qui autorise des développements imprévus.
Un style très personnel qui rend la lecture haletante.
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Au lieu de profiter de ses vacances de Noël comme d'habitude, Mina hôtesse de l'air, décide de s'éloigner de la maison en se portant volontaire à un vol inaugural sans escales de Londres à Sydney. Car rien ne va plus avec son mari Adam, policier. Elle laisse sa petite fille Sophia avec qui elle partage un lien particulier. Pendant ce vol, Mina assiste à une succession d'événements étranges et reçoit un message de laisser rentrer quelqu'un dans le cockpit sinon sa fille mourra. Quel sera son choix ? La grande question est pour l'amour de son enfant jusqu'où peut- aller, à un geste imparable ? Parallelement Adam et Sophia vivent l'enfer, car le papa et rattrapé par un terrible secret. Nous allons suivre cette famille pendant tout le temps du bol soit 20h. Je remercie Babelio qui m'a permis de découvrir cette auteure en validant ma présence avec une rencontre avec Clare. J'ai apprécié que les chapitres donnent le rythme en donnant la parole à tour de rôle à Mina, Adam ou encore a.des passagers du vol. L'auteure joue avec nos nerfs car le suspens monte crescendo. On essaye de trouver le motifs du détournement du vol 79. le scénario est bien mené avec un final complètement inattendu et qui m'a laissé perplexe.
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Mina hôtesse de l'air vit avec Adam policier et Sophia leur fille de 5 ans bien plus mâture que n'importe quelle petite fille de son âge.
Leur couple bat de l'aile et Mina décide d'échanger sa place avec un collègue pour pouvoir être à bord du vol Londres-Sydney donc 20h de vol..
Mais une fois dans l'avion.. rien ne va, elle trouve : une photo de Sophia, un EpiPen appartenant à sa fille, puis une enveloppe.
Elle a le choix : soit faire détourné l'avion pour sauver sa fille. Ou ne rien faire et sa fille devra mourir.
Sophia passant avant tout elle va suivre les instructions.
Mais parmis les 353 passagers il y a des intrus qu'on prend pour des clients normaux.
Dans les airs c'est le KO, rien ne va plus.
Meurtre, empoisonnement, mensonges .. voici ce qui rythme ce livre.
Petits Bémols : des passages très longs, du mal à s'accrocher aux personnages qui d'ailleurs sont nombreux. Beaucoup de code incompréhensible puisque langage pilote. ~[SPOIL :Ou encore un prologue qui annonce un crash d'avion... hors ce n'est à aucun moment le cas .. donc je n'ai absolument pas compris ! ] ~
J'ai trouvé le roman très long, limite forcé pour le finir.
Dommage parce que l'histoire de base était pas mal..
En revanche la fin était inattendue.
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