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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Excellent, comme d'habitude !!
J'ai adoré ce nouveau tome, même si j'ai eu un peu de mal à entrer dans la toute première partie.
Une fois de plus, un mélange intelligent entre angoisse, humour, dialogues délicieux. Et un héros toujours aussi décalé et ambigu.
Merci Mallock !!
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La Joconde a été volé ! le commissaire Mallock et son équipe du "Fort 36" enquête.

Une bonne enquête sur le thème artistique. le lecteur retrouve le commissaire et son équipe des livres précédents, et fait la connaissance des nouveaux arrivants. L'avantage dans ce roman c'est qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu les autres volumes. En revanche, il fait de nombreuses rétrospectives sur les enquêtes passées.

Le livre se lit très bien, l'auteur livre de belles descriptions de Paris, particulièrement celles de la ville innondée, et des différents personnages. Il apporte notamment ses connaissances en matière d'art ainsi que d'autres domaines.

Un bon thriller à dévorer malgré quelques longueurs.

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Le casse du siècle : une fois encore, La Joconde est dérobée. Mallock réunit son équipe pour enquêter. Ce vol ne serait-il que la partie immergée de l'iceberg?
Deuxième roman que je lis d'Amédée Mallock et toujours aussi réussi.
Avec Mallock, ours mal-léché mais attachant et un vilain très intelligent et très fêlé, l'auteur nous entraîne dans une enquête complexe et addictive.L'intrigue commence vite et fort, l'écriture est percutante et recherchée, même pour la description d'abominations.
Si vous ne connaissez pas encore ce flic atypique, il faut y remédier de toute urgence!
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Un livre qui fait vraiment flipper
En particulier en ces jours où la Seine à Paris monte de jour en jour .
C'est un bon polar plein d'imagination
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je referme le 5ème opus des chroniques barbares, qui mets en scène ce cher commissaire Mallock et son équipe hétéroclite de "lieutenants".
Il faut le dire, cette fois ci Mallock ( l'auteur) plonge le lecteur dans une enquête où il lui sera difficile de rester au sec. Bien sur les débordements cataclysmiques de la Seine y sont pour quelque chose, mais ce n'est rien comparé aux sueurs froides provoquées par un bien étrange et pour le moins torturé "polichinelle" digne d'un film d'horreur. Ce dernier va mettre à mal les légendaires "visions" Mallockiennes, et perturber affreusement les rouages d'une société engluée dans ses certitudes. les institutions en prennent un sacré coup, et l'échec et mat n'est pas loin.
Mallock va devoir puiser dans ses réserves, et tout son groupe avec lui, entre souffrances, cogitations, espoir et désillusions .
C'est une véritable escalade d'atrocités auquel nous, lecteurs, assistons. Jusqu'à un final hallucinant .
La trouille est au rendez-vous et personne n'y échappe, même pas nous, accroché à notre livre comme un naufragé à son radeau. Ballottés dans l'eau glacée de la seine, secoués par des visions cauchemardesques, ébranlés face à l' incertitude qui gagne Mallock, nous oublierions presque de respirer.

Ayant déjà lu les précédents, je suis encore une fois ravie de ma lecture. C'est du trash, du délirant, un Hiroshima livresque, mais avec toujours cette tendresse, cette fragilité qui fait tout le paradoxe de ce commissaire hors norme.
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Amédée Mallock est un des auteurs que je préfère.
Pour la qualité de ses ouvrages, toujours, et à juste titre, définis comme « thrillers littéraires ».
Découvert en 2013 avec « le cimetière des hirondelles », j'avais été séduite par ce style, très littéraire, parfois à la limite de la poésie. L'analyse des descriptions était très poussée et travaillée.
Dans « le massacre des innocents », chroniqué en 2014, il adapte avec brio son écriture à chaque situation : des phrases courtes et incisives ou, au contraire, une recherche particulière dans les mots utilisés. Mallock n'est pas un simple romancier mais un formidable conteur. Chaque scène est détaillée avec un sens de la précision remarquable. Chaque mot est pesé. Les personnages, quant à eux, sont très charismatiques et laisseront une empreinte indélébile. Ils font partie intégrante du récit et prennent corps et vie à travers les lignes.
J'avais remarqué une évolution de rythme entre le premier roman chroniqué et le second, ce dernier étant un thriller. Dans celui-ci, le rythme est encore plus rapide et la folie à son apogée, rien ni personne ne semblant pouvoir arrêter le polichinelle.
Mais certaines scènes étant assez violentes, je me dois toutefois de prévenir qu'il n'est pas à mettre entre toutes les mains.
On y retrouve toutefois le commissaire Mallock toujours fidèle à lui-même. Un personnage tout en contrastes avec une originalité toute particulière : Amédée et Mallock allant parfois jusqu'à se dissocier pour ne faire, l'instant suivant, plus qu'un.
Lien : http://lespolarsdemarine.ove..
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Je confirme :Mallock est un grand auteur ! Déjà conquise par les Larmes de Pancrace,là je fus éblouie. Ce commissaire est décidément fort séduisant bien que bougon.Voilà un enquêteur hors pair et fort original.
Ouvrir un Mallock c'est déjà succomber.

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Avant de commencer il faut que je vous parle du livre en lui-même, son format est superbe j'ai même envie de dire magique.
Il est épais certes mais il s'agit d'un semi-poche, croyez-moi quand vous emportez votre lecture en cours partout c'est un détail pratique particulièrement appréciable.
Par ailleurs je ne parle que très rarement du prix mais je trouve qu'il est bas par rapport à la beauté de l'ouvrage et ça il est utile d'en faire mention, sans parler de la couverture qui est superbe.

Grosse catastrophe nationale, énorme perte du patrimoine culturel français, la Joconde a été volée.
Le commissaire Amédée Mallock est nommé sur cette affaire peu commune et lourde de responsabilités, sans compter qu'un peintre a été retrouvé dans la salle de musée avec une balle dans la poitrine.
Très vite, le commanditaire va se faire connaître à l'aide de vidéos et se fera appeler Docteur Ockham.
Il va passer à la vitesse supérieure et laisser de nombreuses victimes derrière lui, éradiquer le fléau va devenir une priorité...

J'ai énormément aimé les sarcasmes et les répliques parfois assassines du policier, un humour noir très réussi.
Les méthodes policières modernes utilisées par l'équipe du commissaire tout au long de l'enquête sont fortement bien introduites, j'ai été tenue en haleine en partie grâce à elles.
D'ailleurs le service est appelé "le Fort Mallock", c'est bien trouvé je trouve que ça donne vie aux personnages, ce sont des détails qui permettent d'asseoir la véracité du récit.
Si vous n'y croyez pas c'est raté alors que dans le roman en question, on se sent presque aux côtés des policiers.

Quand je parlais d'être tenue en haleine, le point le plus fort reste les actes cruels de ce criminel, aussi perturbants que fascinants.
J'ai pu sentir la peur et la terreur de la population, l'auteur nous a fabriqué un psychopathe aux petits oignons, il l'a soigné, l'a façonné, il est purement flippant.
L'impression que rien ne peut l'arrêter est bien présente, ça en est cauchemardesque et ça c'est plus que positif.

Nous avons une intrigue millimétrée où nous sommes invités à redécouvrir la découpe des organes et autres membres.
Mallock dorlote son lectorat c'est le moins que l'on puisse dire, vous aimez le noir et bien c'est garanti vous allez souffrir, d'ailleurs je me suis faite surprendre et ça j'aime.
Lien : http://leshootdeloley.blogsp..
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Le principe de Parcimonie présente la 5ème aventure du commissaire Mallock. J'avais un peu peur avant de commencer ce livre car je n'avais encore jamais lu aucun des tomes précédents. Mais d'après l'auteur, les romans peuvent se lire indépendamment les uns des autres. du coup, j'ai tenté, il faut dire que le résumé m'a beaucoup attirée. Au final, j'ai passé un excellent moment et j'ai envie de découvrir les autres enquêtes du Commissaire !



Dans cette histoire, Mallock et son équipe se retrouvent face au vol mystérieux de la Joconde, dérobée par un certain Ockham. Très vite, le voleur va se retrouver à mutiler célébrités, avocat et autres personnages médiatiques. Il s'amuse à les scalper ou couper doigts, nez et oreilles. Et surtout, il s'applique à les envoyer à Mallock dans des bocaux accompagnés de préceptes glaçants. Une ambiance sinistre accompagne le lecteur dans le principe de Parcimonie.

Ce que j'ai adoré dans cette histoire, c'est l'évolution du personnage d'Ockham. Au début, je me suis dit que, suivre seulement le vol de la Joconde pouvait rapidement devenir lassant. Mais le macabre d'Ockham naît au fil des pages tout en s'accentuant et il devient toujours plus sinistre. Je dois dire que les revendications d'Ockham face à ses actes amènent à la réflexion. Il ne commet pas ses horreurs seulement par pure barbarie. Il s'attache à s'attaquer à des personnes criticables voir parfois mauvaises. Il va d'ailleurs à de nombreuses fois venir toucher les valeurs du Commissaire. J'aime ça quand les romans nous amènes à réfléchir. L'auteur nous livre ici avec Ockham un personnage tordu et barbare mais qui ne nous laisse pas indifférent.

Le principe de Parcimonie n'est pas que barbarie, il est aussi remplis d'informations bien documentées. Ca fait plaisir de lire un roman aussi complet qui nous apprend des choses. On y parle d'art, de Paris ou même d'histoire.
Concernant les personnages, je les ai trouvé tous attachants à leur façon. Ils ont leurs différences et qualités propres. Par contre, par moment je m'embrouillais un peu dans les noms et j'aurais bien aimé pouvoir les connaître davantage et plus en profondeur. On se surprend vite à être attachée à toute cette petite équipe et à frissonner avec eux face à Ockham. Mention spéciale pour Mallock, bien sûr. C'est un personnage sombre à l'humour noir marqué par sa vie mais qui essaye quand même d'aller de l'avant. J'ai très envie de découvrir ses autres facettes et explorer toute sa complexité à travers ses précédentes enquêtes.

Et je vous assure pas d'inquiétude à avoir ! Lire ce cinquième tome en premier n'est absoluement pas problématique. L'auteur nous livre plusieurs notes référant aux enquêtes précédentes pour nous aider à comprendre certains aspects. Par exemple, lorsque Mallock rencontre une personne avec qui il a collaboré, l'auteur nous le précise. Il s'avise à nous éclairer sur certains points qui peuvent nous paraître obscur mais ça s'arrête là. Je ne me suis pas sentie perdue ou quoi. Il est juste arrivé à me donner envie de me plonger plus amplement dans son univers !

Je vous conseille vivement d'entamer cette saga. Par ce tome ou non ! le principe de Parcimonie est un roman sombre et glaçant qui explore l'image d'une société idéale dans les yeux d'un personnage emplie de folie. L'auteur exploite son histoire de façon passionnante.
Lien : http://ly-lit.blogspot.fr/20..
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Le principe de parcimonie est le tome 5 des Chroniques Barbares de Mallock. C'est avec ce dernier ouvrage que je découvre l'auteur. Je mets à l'aise rapidement les futurs lecteurs : je n'ai éprouvé aucune difficulté de compréhension ni d'immersion dans l'équipe du commissaire Amédée Mallock. Il est donc tout à fait possible de démarrer avec cette enquête sans connaitre le passé de l'équipe, même si à l'instar de toute série, je suppose que lire les enquêtes dans l'ordre chronologique apporte un plus.

« Il en découle le fameux principe du « rasoir d'Ockham », reprit le grand Kabyle en levant la paume de sa main droite pour signifier qu'il n'en-avait-pas-fini-silence-dans-la-classe ! On retrouve ce raisonnement chez tous les designers : « les sis best » ou « less is more ». Ce que certains ont appelé le « principe de parcimonie », la recherche permanente de la synthèse la plus… « légère » »

Avec la réception de cet opus démarrent les interrogations mais surtout l'envie de savoir : que signifie ce titre ? Que représente cette couverture, soit dit en passant qui est magnifique ?

En parcourant rapidement le fichier epub, je constate que le thriller est long (430 pages numériques, 540 dans la version papier) et découpé en 3 livres. Les chapitres sont courts dans l'ensemble, horodatés et chronologiques pour la plupart. Les dialogues, fréquents, alternent avec les descriptions, ce qui augure un rythme assez rapide de lecture. le décor ainsi détaillé, entrons dans le vif du sujet.

« L'homme aime avant tout les certitudes. La vérité ou la découverte, le ciel, la mer, l'amour même, ne viennent que bien après. Les abîmes du doute ne sont pas faits pour lui. Bien au contraire. Ce sont ses certitudes, petites croyances ou grandes convictions, qui l'empêchent de trembler le matin et lui permettent, à la nuit venue, de s'allonger et de fermer enfin les yeux. »

Cela démarre fort avec le vol de la Joconde, au nez et à la barbe de tous les systèmes de sécurité et un artiste gravement blessé sur place. Et pourtant l'homme aime avant tout les certitudes comme l'écrit l'auteur et « la Joconde, dans sa prison de verre, est protégée à jamais des attaques des brigands ».

Le célèbre tableau réapparait le soir même, sous le rasoir d'un certain Ockham, qui la détruit avant de la mettre dans un bocal. Ça démarre très fort !
L'équipe d'Amédée Mallock (oui l'auteur et le commissaire ont le même patronyme !) qui a quitté le 36, quai des orfèvres pour le 13 est responsable de l'enquête. On suit en parallèle les minces avancées de cette dernière et les horreurs perpétrées par Ockham - le monstre habillé en polichinelle, terroriste mondialement connu autant adulé qu'haï - qu'on pourrait résumer par éliminer de la société à l'aide de son rasoir tout ce qui est inutile.

Il applique ainsi le principe de parcimonie sur les célébrités tels un homme politique, un religieux ou un philosophe. Il livre des bocaux avec un précepte chaque semaine au commissaire Mallock. Fait remarquable dans ce premier livre qui se termine par un drôle de rebondissement : il n'y a pas de meurtre.

« Il semble que la perfection soit atteinte non quand il n'y a plus rien à ajouter, mais quand il n'y a plus rien à retrancher ».

Par la suite, l'horreur monte d'un cran avec l'assassinat sordide de Jo, une coéquipière de l'équipe de police puis des crimes de plus en plus insupportables. Il y a une véritable montée en puissance de l'horreur au fil des pages. Il est à noter, comme si cela ne suffisait pas, la présence de quelques chapitres disséminés par ci par là, sur un jeune Erwan et ses hallucinations ? sa vie ? où l'horreur atteint son paroxysme.

« L'avenir de l'homme est dans le moins. »

La crue décennale de la Seine vient ajouter une difficulté supplémentaire dans l'enquête mais noie un peu aussi le lecteur à mon sens. J'ai eu du mal à voir l'intérêt de cet événement dans le déroulé de l'histoire… mais j'ai apprécié la façon subtile dont c'était narré.

Enfin, un nouveau coup de théâtre à la fin du livre 2 nous met définitivement en mode « Mallock Addict ». le livre 3 est haletant et rapidement dévoré tant le suspense devient intense. Une course contre la montre à en perdre son haleine ! J'en ai déjà trop raconté je m'arrête ici et vous laisse savourer l'intrigue et sa chute.

« Vol de Joconde, tentative de meurtre au Louvre, armée de tarés bossus en latex rouge et bec d'Ibis découpant au rasoir des morceaux d'humains, ça ressemblait plus à une BD de Blake et Mortimer ou à une enquête d'Harry Dickson qu'à une affaire classique du 36. Etait-ce dû à la nouvelle adresse, et à ce fameux 13[…] »

Le style est fluide et agréable à suivre. La plume de Mallock est remarquable tant elle est superbe. Elle est plutôt atypique dans le milieu du thriller; elle ressemble davantage à celle d'un roman « dit classique ». Elle est vive, visuelle, descriptive et même souvent poétique. Un vrai régal de lecture qui donne un atout décisif dans l'adoption de ce thriller ! On est véritablement happé par l'intrigue.

Mallock le commissaire comme l'auteur réussit à nous faire ressentir les odeurs nauséabondes des rues de Paris immergées, à nous faire plonger par des mots et des phrases simples dans l'horreur pure (voire pire…) d'un acte aussi barbare qu'odieux ou dans l'anticipation terrifiante d'une prévision funèbre et sanguinolente (ah les rêves et les intuitions du commissaire…). Il prend un malin plaisir à lâcher quelques indices ou employer quelques phrases à double signification : en dire sans trop en dire pour appâter le lecteur. C'est du grand art !
On apprend enfin tout au long du livre à connaitre Mallock le commissaire, homme tourmenté au passé difficile. Des flashbacks dans les enquêtes passées, la perte de son fils Thomas qui serait, jusqu'à son dernier souffle, le supplice de Mallock », ses démons (le cigare, le whisky, …) mais aussi ses doutes et son manque de confiance en soi. Cela rend Amédée très attachant.

« Une angoisse chasse l'autre. En tout cas, chez Mallock, ç'avait toujours été comme ça. Il ne se souvenait pas d'un seul moment dans sa vie où les choses, autour de lui, s'étaient complètement apaisées. Il y avait toujours eu trop de pluie ou de vent, de froid qui givre ou de canicule qui brûle, toujours la sécheresse inquiétante dans les champs de son enfance, toujours les crues subites et les récoltes détruites. Chaque matin et chaque soir, son père regardait le ciel pour tenter de savoir d'où viendrait le prochain coup du sort. »

Vous l'aurez je pense compris, le principe de parcimonie est un thriller réellement addictif, très prenant, dense, complexe, très noir, ultra-moderne (y aurait-il d'ailleurs une critique de notre société moderne dans cet opus? ;-) ) mais aussi culturel. Un vrai page-turner parfaitement et totalement maitrisé. Par moment, j'ai cru lire du Dan Brown, tant on voyage dans Paris (ses rues, ses cathédrales, ses musées…), on s'instruit (que cela soit dans le domaine de l'art, des sciences, de la religion ou des lettres) ... mais contrairement à Inferno par exemple, il y a ici une vraie intrigue aussi passionnante que travaillée.

« La cathédrale engloutie, vaisseau de pierre, se retrouvait au milieu de la partie la plus large du fleuve. Seine ou Amazone ? Quelle fabuleuse vision que ce navire conquistador enraciné en pleine jungle urbaine… cette titanesque caravelle flottant désormais sur une canopée liquide. »

Il était temps que je connaisse ce commissaire/auteur ! C'est une très belle découverte qui m'a vraiment donné envie de lire à la fois les précédents épisodes (j'ai déjà acheté les deux premiers tomes en version poche) mais également la suite. J'en redemande et recommande très fortement la lecture de cette histoire incroyable qui prend aux tripes !

4/5



Lien : http://alombredunoyer.com/20..
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