La mécanique du coeur

J'ai détesté ce livre !
J'ai été contrainte de le lire pour l'ecole et ce fut pour moi un véritable calvaire.
L'histoire est inintéressante, c'est plat, mou. Je n'aimais pas le style que l'auteur employais, il y avais trop de formule de phrase, ça devenait fort lourd de lire à la fin.

À sa naissance, la sage femme découvre que le coeur de Jack est gelé. Pour survivre, une horloge lui est greffée. Son nouveau coeur, bien que mécanique, est lui aussi fragile et il ne résistera pas à ce sentiment nommé amour. Seulement son regard se pose sur la petite chanteuse de rue. Quel sera le destin de Jack ?

Jack est le personnage principal de ce conte. Encore un enfant, il est naïf et cherche à savoir comment fonctionne l'amour comme si il y avait un processus précis. Jack a aussi ce côté fragile, une fragilité mécanique qui n'est autre que son coeur. Je ne me suis pas spécialement attachée à ce personnage-ci. Il est certes mignon, il ne m'a pas marqué plus que ça. le second personnage que l'on croise moins dans le roman mais qui a bel et bien sa place est la chanteuse andalouse, Miss Acacia. Je n'ai pas apprécié ce personnage, je l'ai trouvé parfois hautaine et parfois désagréable. Quant aux autres personnages, je ne les porte pas non plus dans mon coeur.

La plume de l'auteur est pour moi le point le plus négatif de tout le roman. Dans les mots de Mathias Malzieu sonne l'univers de Tim Burton, monde que je n'approuve pas particulièrement. L'auteur nous offre un conte narré avec un soupçon de vulgarité, d'étrangeté et beaucoup de poésie. le mélange des trois a eu l'effet d'une bombe et a explosé dès les premières pages. La plume de l'auteur a détruit tout l'aspect mignon du conte.

Après avoir lu éloge sur éloge, je ressors déçue de cette lecture. Ce roman me semblait prometteur, moi qui adore les contes, et voici que le genre a totalement disparu sous l'univers étrange de Mathias Malzieu et de sa plume à laquelle je n'ai pas adhéré. L'histoire en elle-même est belle mais la vulgarité de certains passages m'ont enlevé cette impression de mignonnerie.
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Je ne pensais pas en avoir autant à dire sur un si petit roman. Commençons par le positif :
La partie où Jack rencontre Miss Acacia est touchante et même drôle. le livre délivre certains messages louables. Jack cherche à se faire aimer de Miss Acacia pour ce qu'il est, essayant de faire de sa différence un charme tout comme il trouve un véritable charme à la mauvaise vue de la petite chanteuse. Il cherche également à faire de sa différence une force pour avancer. On aborde les difficultés pour un enfant, un adolescent de grandir, on est beaucoup sur la recherche de soi et l'acceptation de ce que l'on est au fond. L'horloge est une sorte de "doudou" dont Jack va devoir apprendre à se séparer, Miss Acacia étant gênée par la présence constante de cet "artifice" lui demandant de grandir. C'est comme se lancer à vélo sans les petites roues, il faut avoir le courage de se lancer et on n'est jamais vraiment prêt à affronter ce qui nous attend. de ce côté là le message est sympa, ce qui vaut au roman son étoile.

Pour le reste... Ca ne fonctionne pas avec moi. J'ai plusieurs problèmes avec ce livre. Pour moi le public ciblé n'est pas clair et du coup j'ai du mal à savoir à quoi m'en tenir en terme de vocabulaire et à savoir quoi en attendre. J'ai donc essayé de le prendre comme il venait et voici les points que j'aurais à relever :
- J'ai trouvé des anachronismes assez gênants dans ma lecture. On est censé se trouver à Édimbourg en 1874 au début de l'histoire et j'ai à un moment une référence française contemporaine... Sachant que le livre est à la première personne, ça me dérange.
- Il y a trop de scène imagée, trop de métaphore, c'est très "poétisé" et je dois avouer que je me suis un peu paumée par moment.
- J'ai la vague impression que la première partie du roman (Jusqu'à ce qui rencontre la chanteuse) a été ajoutée après coups. J'ai beaucoup plus apprécié le roman sur sa seconde partie, tout simplement parce que la première est bâclée. J'ai de toutes petites scènes qui se suivent, sans contexte, sans placement dans le décor. Les paragraphes sont construits de manière assez décousu et manque un peu de logique par moment.
- C'est pensé comme une fable d'époque (avec une vision steampunk) mais avec un vocabulaire et une façon de le raconter beaucoup trop contemporain.
- C'est un enfant de 14 ans qui parle à la première personne dans le récit. Mis à part les rappels dans le texte, à aucun moment j'ai l'impression d'avoir à faire à un adolescent de 14 ans. La manière de parler, de penser de raisonner n'est pas celle d'un adolescent. Ça aurait mieux fonctionné si Jack avait été un jeune adulte.
- Je n'ai pas du tout aimé la manière dont Méliès (inévitable dans tout récit steampunk français) est amené et surtout la place qu'il prend dans le récit. Pour moi il aurait pu s'agir de Méliès comme de n'importe qui d'autre que Jack aurait rencontré dans les rues de Paris ça n'aurait rien changé au récit. Quand on intègre Méliès dans un récit il faut qu'il prenne une place caractéristique dans le récit et là, outre le fait qu'il répare l'horloge de Jack et qu'il écrit son histoire, il est remplaçable par n'importe quel autre personnage.

Ce sont toutes ces petites incohérences qui font que je n'ai pas apprécié plus que ça ce récit.
C'est un conte qui avait du potentiel car les sujets abordés et le cadre étaient vraiment sympa au premier abord, mais j'ai vraiment été déçue par ce que j'ai découvert dans ce roman. Personnages plats auxquels je ne me suis pas du tout attachée et cadre pas suffisamment développé à mon goût. (ou alors je suis totalement passée à côté de ma lecture ?)

Ce livre m'a déconcertée...
Je ne suis absolument pas habituée à ce genre littéraire, que je ne sais toujours pas dans quelle catégorie classer.

Je ne suis pas vraiment ''entrée'' dans le livre. En fait l'histoire en elle même est certes poétique, pleine de métaphores sur la vie, l'amour, la différence... mais le style m'a dérangée. J'ai eu beaucoup de mal à aller au bout et j'ai à plusieurs reprises voulu écourter la lecture et refermer le livre.

J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de mièvreries, et de paraboles, trop c'est trop et ça gâché l'histoire.

Mon avis sera donc bref dans la mesure où je n'est absolument pas été transportée.
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Je ne comprend pas le succès de ce livre. Je l'ai trouvé prétentieux et chiant. Autant j'adore les histoires un peu malsaines et les personnages détestable quand il y a une intention derrière, autant là je n'ai vraiment pas pu me faire à l'hypersexualisation d'une petite fille.
Au final je n'y connais pas grand chose à la littérature et je ne vais pas prétendre pouvoir juger de la prose de monsieur mais je vais noter mon expérience de lecture: c'était vraiment une très mauvaise expérience de lecture et je me suis forcée de la page 2 à la dernière.

Mon avis diffère de l'avis général car je n'ai pas aimé ce livre, ni le film d'animation qui en découle d'ailleurs, mais je partais avec un a priori négatif pour ce dernier, ça n'aide pas à être objectif.

Tout d'abord, le côté anachronique m'a beaucoup dérangé. le but de cette histoire n'est peut-être simplement que de nous faire voyager et rêver sans plus de prétention, mais dans ce cas, pourquoi la situer dans un lieu précis avec une date précise ? Par exemple en 1888, date à laquelle se déroule une bonne partie de l'intrigue, le football existe mais pas la coupe du monde, il y a une référence à Charles Bronson alors qu'il est née en 1921, idem pour Modigliani qui est né en 1884 qui ne peut donc pas encore être connu comme peintre... Je suis peut-être un peu trop rigide sur la cohérence de l'univers, cela vient probablement du fait que je ne lis quasiment que de la fantasy et de la science-fiction mais en tout cas toutes ces références modernes m'ont sorties de l'histoire et fait lever les yeux au ciel.

L'utilisation du langage familier m'a également gêné, il y a de nombreux « bordel », « con », « putain », « connard » qui sont utilisés comme des interjections et des insultes contemporaines. Je n'ai clairement pas trouvé que ce livre était poétique, bien au contraire. À plusieurs reprise je l'ai même trouvé vulgaire. Il y a aussi l'image qu'il renvoi de la femme qui ne me plaît pas. Il y a une hypersexualisation du personnage féminin de Miss Acacia alors qu'elle n'a que 10 ans au début de l'histoire. Je me sens obligée de vous mettre une citation pour illustrer mon propos. Page 26 il est dit : « Elle danse comme un oiseau en équilibre sur des talons aiguilles, féminins échafaudages. [...] Ses seins ressemblent à deux petites meringues si merveilleusement bien cuites qu'il serait inconvenant de ne pas les dévorer sur-le-champ. » Je veux bien que ce soit une danseuse de flamenco et qu'elle soit donc gracieuse lorsqu'elle danse mais à ce moment-là elle n'a que 10 ans !

Le problème de ce genre de phrase vient aussi du fait que l'histoire est écrite à la première personne du singulier, du point de vue de Jack, un petit garçon de 10 ans puis un adolescent de 14/15 ans. Comment un enfant de 10 ans peut avoir ce genre de pensées ? Honnêtement, je n'y ai pas cru un seul instant ce qui m'a fait prendre une distance par rapport au personnage, le rendant irréel. L'auteur donne l'impression d'écrire avec sa voix et non celle de son personnage, rendant les choses encore plus gênantes et déplacées. À la page 16, Jack vient tout juste de naître, pourtant il dit : « Même que lorsque je n'aurai pas faim, je ferai semblant que si. Juste pour lui croquer les seins. » À cause de tout cela j'ai été gênée en lisant certains passages car il y a des scènes assez explicites, pourtant je lis de la bit-lit mais dans ce genre de littérature ce sont des adultes, ici ce sont de jeunes adolescents et ça ne fonctionne pas. Ce n'est clairement pas un livre pour enfants, je ne comprends donc pas pourquoi il a été lu régulièrement à l'école.

Il n'y a pas que le personnage de Jack qui pose problème, je les ai tous trouvés très mal construits. La logique dans leurs réactions m'échappe, ils me paraissent donc toujours étranger même après 160 pages passées en leur compagnie. Miss Acacia est détestable, hautaine et désagréable, aucun d'eux n'est attachant. Tous les choix qu'ils font sont mauvais, voire ce sont les pires possibles.


De ce que j'ai compris, ce récit se veut onirique dans une ambiance steampunk mais ce n'est pas une raison pour faire intervenir Georges Méliès alors qu'il n'apporte rien de plus qu'un nom puisque n'importe quel inventeur inventé aurait pu remplir son rôle... Je trouve que c'est un ajout forcé et inutile.

Je pensais lire une petite histoire mignonne sur fond de parcours initiatique et de découverte de l'amour mais ça n'a pas du tout été le cas. L'impression que cela m'a laissé en terminant ma lecture est : « l'amour c'est mal, aimer ça fait mal, ça ne sert à rien, il ne faut surtout pas tomber amoureux. » J'ai trouvé que l'histoire d'amour entre Jack et Miss Acacia est particulièrement malsaine, elle est bâtie sur un mauvais socle, elle est cachée, il y a de gros problèmes de communication, une jalousie maladive et surtout un refus de prendre la personne aimée dans son ensemble. Miss Acacia n'accepte pas la différence de Jack, elle considère son horloge comme un accessoire et lui demande à un moment de l'enlever, de grandir et de redescendre sur terre, d'arrêter d'entretenir ce trucage, alors que c'est quelque chose qui fait partie de lui. Ce n'est pas une jolie histoire, c'est plutôt un manuel de tout ce qu'il ne faut pas faire pour entretenir une relation. Les personnages ne se remettent même pas en question, ils n'apprennent pas de leurs erreurs, les trois personnages principaux finissent seuls et malheureux, personne ne ressort grandit de cette histoire. Je n'ai rien contre les récits qui finissent mal mais je trouve cela désagréable et frustrant lorsque tous les choix fait sont systématiquement mauvais et qu'il n'y a pas d'évolution au niveau des personnages. Je n'ai pas compris à la fin pourquoi Miss Acacia tourne le dos à Jack lorsque ce dernier lui annonce qui il est réellement alors qu'elle disait en être encore folle amoureuse. Elle s'énerve une fois de plus sans laisser place à la communication et au dialogue, Jack aurait très bien pu lui dire qu'il était dans le coma pendant ces trois années et qu'il était désolé qu'elle l'ai cru mort... Mais non.

Je pense que le pire moment est lorsque l'infirmière annonce à Jack que son coeur mécanique n'est qu'une tromperie, qu'il aurait très bien pu vivre sans depuis tout petit et qu'en fait c'est Madeleine, celle qu'il considère comme sa mère, qui lui a mentit pour le garder près de lui. J'imagine que pour la majorité des gens l'horloge représente un doudou qu'il faut abandonner pour passer de l'enfance à l'âge adulte mais je n'arrive pas à voir cela comme ça. Pour moi, l'horloge représente un vrai handicap pour Jack et je trouve donc détestable l'idée que Miss Acacia ai eu raison de vouloir changer Jack et de ne pas l'accepter tel qu'il était, c'est une morale épouvantable pour une histoire d'amour.


Pour conclure, personnellement, je ne vous conseille pas ce livre car je ne l'ai pas apprécié mais si vous êtes curieux je vous invite tout de même à le lire car qui sait, vous, vous pourriez l'aimer.
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Adoré par la plupart des lecteurs, ce petit conte semblait avoir tout pour me plaire. Et, en effet, l'histoire est assez sympathique et intrigante. Les personnages m'ont toutefois grandement refroidie ! Simplement survolés pour la plupart, on ne s'intéresse finalement qu'au héros que j'ai trouvé stupide et à la limite de la perfidie vers la fin (ce qui est dommage vu qu'il est adorable lors des premières pages). Refusant sans cesse les mêmes erreurs, il ne semble jamais apprendre et au contraire préférer se morfondre sur son sort (alors que la vie n'est pas spécialement cruelle envers lui !!). Choisissant toujours le pire choix possibles, il ne réalise pas être à la source de son propre malheur... sans compter celui de ses proches dont la vie est gâchée par sa faute (ce qui n'est finalement qu'un juste retour des choses pour sa mère adoptive). Je n'ai donc pas du tout accroché à cette histoire au grand potentiel qui encore uns fois préfère survoler les sentiments humains en nous montrant une fois de plus les mêmes sentiments que véritablement entré dans le vif du sujet ! le personnage féminin est néanmoins toute mignonne est apporte une douce énergie au récit. de plus j'ai beaucoup aimé le côté poétique des premières pages qui se perd malheureusement par la suite. N'en étant pas à mon premier Malzieu, je pense finalement que si j'adore le style d'écriture et les histoires de cet auteur, je suis bien trop exaspérée par ses personnages principaux pour parvenir à accrocher à ses livres.

Étant donné que j'ai mis plus d'un mois et demi pour lire si peu de pages, on peut facilement comprendre que je n'ai pas été captivée par l'histoire …

Ce livre nous plonge en 1874, au côté de « Little Jack » qui vi à Édimbourg avec sa mère d'adoption, le docteur Madeleine. Jack n'est pas comme les autres petits garçons, il vit avec une horloge à la place du coeur et doit faire attention à ces sentiments afin qu'elle ne se dérègle pas. Mais lors d'une sortie en ville, Jack est irrésistiblement attiré par une petite chanteuse andalouse. À partir de là, il va tout faire pour la retrouver, quitte à partir pour un long voyage semé d'embuche.

Alors, … Pour être totalement franche, je me suis ennuyée pendant les deux tiers du livre ! J'ai même failli le refermer alors que je n'étais pas à la moitié. Mais je n'aime pas abandonner un livre sans lui laisser un minimum de chance … Et finalement, les 40 dernières pages ne sont pas si mal, même si elles ne m'ont pas fait apprécier le livre plus que ça, et Jack devient quelque peu attachant.

En fait, ce conte en lui-même n'est pas si mal ! Je pense que c'est surtout le style de l'auteur que je n'ai pas apprécié … Je l'ai trouvé très plat ! Même si Jack passe par plusieurs rebondissements et plusieurs sentiments, je ne l'ai pas forcément ressenti dans ma lecture. Je n'ai pas du tout réussi à me projeter dans les décors, aux côtés des personnages, et je dois dire que ça m'a beaucoup dérangé. La présence de métaphores trop nombreuses ne m'a pas aidé non plus je pense ….

Pourtant, après avoir lu ce livre en début d'année, j'ai fait ma curieuse sur différents blogs afin d'avoir l'avis d'autres lecteurs et pour beaucoup, c'est un coup de coeur. Je vais finir par croire que je ne suis pas normal ^^

En bref : grosse déception qui ne me donne pas l'envie d'en dire plus …
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Avant tout, La Mécanique du Coeur. Et bien, je ne sais pas si Dyonisos avant besoin de fric mais a part dire que c'est nul je vois pas quoidire d'autre. L'histoire est ridicule, les deux personnages entre un débile amourux et une pouffiasse de première il n'y a rien d'excitant et une écriture.. euh.. illisible? Fais tes chansons Mathias, mais pas des romans..

Il y a des auteurs de chansons et des écrivains... Peut-être en BD, ce livre m'aurait plu...