Voyage au pays de l’envie

Dans l'avant-propos, l'auteur présente ses nouvelles comme étant touchantes et faciles à appréhender. Divers thèmes sont abordés, comme la réincarnation, le Saṃsāra (dans l'hindouisme et le bouddhisme, cycle de la vie, de la mort et de la renaissance => cycle des réincarnations – existe aussi dans le jaïnisme et le sikhisme pour parler du cycle des vies successives et du conditionnement dû au karma), la sortie du corps ou voyage astral…
Au vu du nombre de pages (quarante), je pensais que les récits feraient moins de dix pages chacun ; en réalité, ils sont encore plus courts.

Pour résumé, j'ai aimé l'écriture poétique de l'auteur, même s'il m'a manqué quelque chose… J'ai parfois été abasourdie, en tournant la page, de voir que quelques phrases plus loin, la nouvelle était terminée, alors que l'histoire battait son plein ! J'aurais apprécié que les textes soient plus approfondis, pour éviter ce sentiment d'inachevé.

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Je remercie Frédéric Marcou pour la confiance qu'il m'accorde en me demandant de chroniquer un de ses livres. Je suis également prévenue : il faut aimer la noirceur pour apprécier ce recueil de cinq très courtes nouvelles fantastiques…

La première nouvelle n'est pas si noire que çà et interroge avec humilité et humour ce que nous appelons la postérité ou la mémoire des générations successives. C'est aussi un pied de nez à la renommée et à la célébrité… le ton me convient assez. Continuons ! Je crois bien que j'ai signé le pacte de lecture…
Dans la seconde nouvelle, c'est un rituel de passage qui m'attend, l'ultime ? Ne comptez pas sur moi pour en dire trop… C'est trop tard pour moi, j'ai signé…
Sous des dehors oniriques et fantastiques, le troisième sujet, à peine évoqué, survole (c'est le cas de le dire…) la différence et l'étroitesse de vue des croyances. La fin brutale m'a moins convaincue.
Au quatrième récit, je ne comprends plus ; c'est juste une mise en bouche qui mériterait un peu de développement… D'ailleurs, la préface n'en parle même pas.
Le cinquième texte est une vision poétique de la mort. J'ai adoré.

Frédéric Marcou destine ce livre à un lectorat plutôt jeune, déclarant dans son avant-propos : « Je pense […] que le genre ‘‘nouvelle'' est spécifique de l'adolescence, car la nouvelle est vite lue et ne demande donc pas un effort soutenu de lecture, tout en permettant un maximum d'émotion ». le pari est en partie gagné : les chutes sont surprenantes et c'est bien écrit, fluide, simple et efficace.
Selon moi, c'est plutôt prometteur pour les trois nouvelles autour de la thématique sur la mort dont l'ordre de lecture propose une vraie progression dans la montée en puissance de la noirceur annoncée ; par contre, très honnêtement, les histoires d'Aldor et de Bettina m'ont parue peu dignes d'intérêt (mais quelque chose m'a peut-être échappé ?).
Je m'interroge également sur le sens du titre. C'est bien un voyage qui nous est proposé… mais lequel ?

Je remercie tout d'abord l'auteur, pour m'avoir proposé la lecture de son recueil. Je ne suis pas trop fan de ce genre de livre, mais je ne dis jamais non pour découvrir de nouveau recueil, afin de voir si un jour, un auteur parviendra à me faire vraiment aimé le genre. C'est pourquoi j'ai accepté, puis lus ce recueil.

Le recueil est vraiment fin, 40 pages, et les nouvelles sont courtes. Donc facile et rapide à lire. Elles sont néanmoins... Comment dire... Intéressante. Toutes étant sur le thème de la mort.

Tout d'abord, je vous conseille de lire l'avant-propos de l'auteur, chose que nous sommes peu nombreux à faire, dont moi. Je dois dire que dans ce petit texte, l'auteur arrive à nous donner envie de lire des nouvelles. Quand j'ai vue ça, j'ai été que plus curieuse de lire ses nouvelles, étant intimement persuadées qu'elles allaient me plaire. Enfin bref, je m'égare et sors du sujet principal.

Dans ce recueil, nous découvrirons 5 nouvelles. Dans la première, j'ai eu la surprise de découvrir que l'auteur ce site dedans. Je ne m'y attendais pas du tout et ça ma tiré un sourire. Cependant... Je n'ai pas accroché à cette dernière. Elle se termine trop brutalement et, pour moi, il manque un petit plus. Quoi ? Je ne saurais dire, mais ça m'a laisser sur ma faim.

La deuxième histoire, je ne sais pas si j'ai bien compris, mais on dirait un homme qui se trouve au purgatoire. Il passe ses journées a poussé un chariot en étant tourmenté. de plus, plus il pousse et plus son supplice semble être moins dur. Comme s'il passait de l'enfer et montait au paradis. Cependant, la fin me laisse perplexe. Je ne dirais pas pourquoi, ce serait spoiler. Mais si quelqu'un a une réponse, je suis preneuse.

La troisième nouvelle, ma intrigué avant son commencement, quand l'auteur précise qu'il l'a écrit en s'inspirant d'un de ses rêves, chose hautement intrigante. Cependant, encore une fois, elle me laissa perplexe, comme s'il manquait une partie importante.

Sans préambule, je dirais que je n'ai rien compris à la quatrième histoire. Quel est le but ? On dirait le début d'un livre, ou on te met en appétit et hop, on t'enlève la suite. Non, tu n'auras pas le fin mot de l'histoire.

La dernière nouvelle et trop courte pour que je puisse la « décrire », cependant, elle me fait penser au dernier instant de tout homme, avant de mourir.

Du côté de l'auteur, il a une plume agréable et facile à lire. Cependant vu les textes adapter à de jeunes lecteurs, je ne peux pas trop me prononcer, ayant l'impression que son vrai style ne se trouve pas ici. À voir sur une de ses autres oeuvre

En conclusion : c'est perplexe que je referme ce livre, avec un fort sentiment d'inachevé. Les histoires son incomplète, à mon goût, ce qui fait qu'elles nous laissent sur notre faim. Cependant, on y découvre un savant mélange de réalisme dans de la science-fiction. L'auteur a un style assez sympa, facile à lire, mais j'ai l'impression qu'il ne donne pas tout de lui dans ce recueil. Pour moi, la plupart de ces nouvelles ne sont que des préquelle a de vrais romans, qui pourraient être des plus passionnants.
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Ce recueil regroupe cinq nouvelles, dont quatre d'entre elles sont disponibles sur le site de littérature libre Atramenta.
Chacune est différente des autres, on touche à chaque fois un univers différent. On découvre notamment le thème de la réincarnation dans la première nouvelle, la liberté et l'emprisonnement dans la seconde, la magie et le mystique dans la suivante, le milieu de la recherche et scientifique dans la quatrième, puis la finalité et la mort dans la dernière.

La première, dans la situation dépeinte, n'est pas celle qui m'a le plus marquée, à l'inverse de la dernière que j'ai particulièrement apprécié, avec ce côté imagé comme dit dans la préface, mais aussi d'une certaine manière poétique.
La seconde s'approche d'une revisite du mythe de Sisyphe, comme souligné par l'auteur Jean-Baptiste Messier, et j'ai apprécié la manière d'avancer dans cette nouvelle, comment évoluait l'intrigue. La fin finit alors de mettre en place un univers étrange, que le lecteur ne semble pas forcément comprendre réellement.
La troisième est assez intéressante, on sent ce que peut engendrer la différence dans une population, en bien mais aussi en mal. On voit aussi comment peut finir une personne qui se sentirait un peu trop sûr de lui alors que la situation peut s'avérer fatale, ou du moins dangereuse. La chute de la nouvelle est plutôt bien trouvée et porte d'ailleurs bien son nom.
Pour ce qui est de l'avant-dernière nouvelle, on peut s'imaginer une facette du monde de la science et se dire que cette nouvelle pourrait d'une manière ou d'une autre s'ancrer dans notre monde, bien qu'il soit plus difficile aujourd'hui qu'il y a plusieurs années de la transposer, du fait de l'avancement très rapide de la science. On ressent la rivalité, l'envie d'être reconnu dans cette nouvelle, qui sont des sentiments que l'on voit tous les jours lorsque des intérêts entre en jeu.

En conclusion, j'ai plutôt passé un bon moment à lire ces nouvelles, bien qu'il est vrai que ce ne soit pas le genre que je lis le plus, car j'arrive rarement à m'attacher à des personnages dans un récit extrêmement court, chose que j'apprécie retrouver dans un roman. Je suis néanmoins consciente de la difficulté de la nouvelle, dans laquelle on doit faire passer des émotions et raconter une histoire en peu de mots, mais cela reste un genre que je lis peu. L'auteur a su exploiter différents thèmes dans ces nouvelles, et je retiens plus particulièrement la dernière, celle que j'ai préféré, car elle est très imagée, très figurée, et pourtant colle parfaitement à ce que l'on peut s'imaginer de la finalité.

Dans Voyage au pays de l'envie, Frédéric Marcou, nous propose cinq nouvelles, toutes très différentes les unes des autres.

Il y en a une que j'ai vraiment apprécié tandis que les autres, je dois avouer que je suis passé un peu à côté. Il y a dans chacune des nouvelles une vrai part de mystère et une sorte de côté sombre mais leurs fins trop ouvertes à mon goût donne un côté inachevé.

Par contre, le titre ne présage en rien du contenu des nouvelles selon moi.

J'ai tout de même aimé la plume simple de Frédéric Marcou, mais je pense que j'aurais préféré la découvrir avec un roman.

N'empêche que si vous êtes amateur de nouvelles, je serais curieux de connaître votre ressenti sur ce recueil.
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Dans ce recueil, constitué de 5 nouvelles ; on y parle de réincarnation, d'enfer, de recherche, et beaucoup de mort.
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Donc ⚠ Si vous êtes en bad mood, éviter de lire ce recueil car la plupart des nouvelles sont vraiment tragiques et sombre donc voila.
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J'ai beaucoup apprécié ma lecture. Au début on est pas mal intrigué par les thèmes abordés, principalement. Mais les nouvelles sont très bien écrite, la plume de l'auteur est fluide et légèrement poétique.
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Après j'ai bien aimé le fait que les nouvelles soient toutes différentes, mais suivent quand même une trame.
⠀Elles commencent toujours avec la routine du/des personnage(s), et ensuite il y a un rebondissement qui vient tout remettre en question.
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Du coup voilà autre point, c'est le fait que les nouvelles (pour la plupart) soient vraiment trash et tragique ; chose qui m'a à la fois plu, et déçu.
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J'ai bien aimé le fait qu'à chaque nouvelles on est un petit préambule soit pour expliquer l'origine de cette nouvelle, ou bien pour mette en situation avec le contexte de la nouvelle qui va suivre.
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En soit j'ai bien aimé ce recueil, même si vers la fin je lisais pour dire de lire parce que je savais pertinemment comment la nouvelle allait se finir.
⠀Pour finir, je n'ai pas trouvé qu'il y avait une morale ou un message délivré à travers ces nouvelles, ce qui est assez dommage surtout avec des thèmes comme ça.
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J'ai donc un avis mitigé sur cet ouvrage.
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Des nouvelles originales, à la fin de chaque nouvelle on aimerait bien connaître la suite, C'est souvent des sujets tourné sur la mort, mais pas non plus morbide même si il faut évite de lire ce livre si on a une âme sensible. Bonne écriture de l'histoire.

Dans son premier texte, il se veut frais, rigolo. Une nouvelle courte pour nous mettre l'eau à la bouche. Un air de "l'enfant sacré du Tibet" emprunt de dialogues surréalistes. Humour noir et cynisme de l'auteur sont au rendez-vous pour nous faire connaître son œuvre "posthume" (oui oui, rien que ça).

La deuxième nous propose une intrigue originale qui débute sur un préambule qui ne l'est pas moins : "l'histoire que je vous présente ici a, normalement la taille d'un roman, mais a été raccourcie pour parvenir au format nouvelle". Pour ma part, ce sera là une grande erreur qui se tient dans ces lignes car, pourquoi vouloir faire un format nouvelle de ce qui en effet relèverait du roman ?

Nous avons dans la troisième, là aussi, une intrigue intéressante qui mériterait elle encore un développement plus poussé. À croire que notre auteur à l'imagination féconde nous met nez à nez avec ses idées rien que pour nous emmener dans son monde, j'aurais aimé une visite plus approfondie de ce dernier.

Pour la première fois depuis l'ouverture de ce recueil, j'ai l'impression avec ce quatrième texte de lire une vraie nouvelle, tout y est, il ne manque ni détail ni passif. Le libre cours à notre imagination est là, lui aussi... Et quoi de mieux comme cadeau d'un auteur à son lecteur que de lui laisser le libre arbitre ? On sent une plume plus travaillée, plus régulière et surtout plus fluide.

Enfin, dans sa dernière nouvelle, l'auteur est bref, intense et poétique. Là aussi, il y a une évolution de la plume non négligeable et ces quelques ligne sont des pépites même si elles ne sont pas des plus gaies.

L'auteur nous prévient dès ses premiers mots que cet ouvrage a représenté six ans de travail (de 2005 à 2011) mais il ne dit pas (dans son livre en tous cas) si ce sont six ans de relecture… Ou six ans de travail dans son écriture. J'aime à penser que la deuxième option est la bonne car je vois une réelle évolution dans ses écrits, une fluidité et une maîtrise de l'écriture se fait ressentir au fil des pages et c'est un vrai bonheur.
Malgré quelques maladresses, nous avons donc là un panel exceptionnel des possibilités et des idées de l'artiste. Une initiation en son nom, c'est fait, une visite d'accueil, faite aussi mais j'aimerais à l'occasion voir une visite complète, sans contraintes de format, voir ce qu'il peut nous proposer dans cet univers particulier et touchant !
Je n'ai pas eu là de coup de coeur mais je me suis replongée, l'espace d'une bonne heure dans mon univers adolescent emprunt de rêveries en tous genres ! Et ça, ça fait toujours du bien.

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Les Cinq nouvelles que j'ai lu traitent toutes de la mort ou de la réincarnation. Frédéric Marcou parle de laisser place à l'imagination mais cette nouvelle ne laisse place qu'à ça!! J'ai été, je pense, un bien mauvais public, je m'en excuse d'avance.

Certes, les nouvelles sont bien écrites, le style est clair, mais elles n'ont pour moi aucun sens. Je n'ai pas compris où l'auteur voulait nous mener.

Ayant suivi des études littéraires, je me suis demandée si par hasard j'avais mal suivi mes cours concernant la définition de la "nouvelle". J'ai donc recherché au cas où quelque chose m'aurait échappé. Et non!! Une nouvelle est un texte court en effet mais qui a une construction se rapprochant de celle du roman. Içi je ne retrouve rien de tel. Les chutes n'ont pas de sens, je ne les comprends pas.

Si ces nouvelles sont destinées à un public surtout adolescent je trouve dommage de leur donner à lire des questions portant sur la mort. Il y a déjà assez de malheurs autour de nous sans avoir à leur ajouter de la noirceur dans leurs lectures.

Pour moi, ces nouvelles manquent de précision, de travail. Je n'ai pas été touchée.

En conclusion

Des nouvelles qui manquent de sens, de finition, malgré une belle écriture!!
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Par le biais du site simplement, j'ai eu l'opportunité de découvrir un nouvel auteur, et par la même une nouvelle plume. Je remercie Frédéric Marcou pour sa proposition de lecture.

Comme indiqué dans le résumé, ce petit livre comporte 5 nouvelles très courtes. 5 histoires qui n'ont pas toutes le même thème et pourtant la mort est présente quasiment partout.

Il ne vous reste plus qu'à signer en bas de page pour obtenir ce qu'on ne pouvait pas penser. Des moines débarquent chez un homme. Il est seul avec son fils. C'est cet enfant qui les intéressent. Non ils ne veulent pas l'emmener mais lui raconter une histoire. Damnation ! Que dis-je, être obligé à pousser indéfiniment un chariot devant soi, sans réellement voir ce que l'on emmène. Les mots éternel recommencement trotte dans mon esprit. Ce cycle de l'absurde porte très bien son nom, Sisyphe n'a qu'à bien se tenir avec son caillou. Ici, cet homme ne sait plus où il en est. Qui est-il ? Pourquoi fait-il cela ? Et surtout comment est-il tombé malade ? Et si tout cela n'était qu'un Rêve impromptu ? Pousser un chariot, un caillou n'est pas si grave comparé à se croire être un sorcier. Dans ce monde où la magie est interdite, un homme risque de prendre ses rêves pour des réalités. À trop vouloir prendre ses ailes, il risque bien de se les faire brûler plus vite que prévu et de redevenir un Homo Sapiens Sapiens Neandertalis. Avoir les pieds sur terre c'est bien, se méfier serait mieux. Bettina est une scientifique qui travaille d'arrache-pied pour découvrir LA solution à leur problème. Malheureusement tout le monde ne pense pas comme elle. le risque d'en terminer au plus vite pourrait bien les amener à Une autre forme de mort. Les souvenirs sont bien ancrés dans nos mémoires, jusqu'à ce point de non retour. Les images s'effritent s'envolent et il ne reste plus que de la poussière.

Le mélange fantastique, réalité est bien amené. L'écriture est fluide, compréhensible et imagée. Rien à dire côté orthographe et syntaxe et c'est très très appréciable. Ce que j'ai aimé c'est ce mélange qui amène un beau côté malgré ce qui découle de ces histoires. J'ai adoré la dernière, Une autre forme de la mort. C'est probablement la plus courte, mais elle est juste comme il faut. Complète, il ne manque rien. Les images viennent d'elles-mêmes au fil de la lecture et c'est une autre manière de voir cette fin de vie en beauté, dans la douceur et la mémoire.

Il y a plusieurs points que je regrette. Premièrement, les nouvelles sont courtes, par définition, mais les quatre premières méritaient beaucoup plus de développement. Deuxièmement, les fins sont trop abruptes. Troisièmement, il m'a manqué des éléments pour mieux les apprécier. Damnation a même un préambule indiquant que sa taille normale est celle d'un roman. Pourquoi l'avoir raccourci dans ce cas ? Pour en faire une nouvelle ? Je trouve dommage de fonctionner dans ce sens. Habituellement, on part d'une nouvelle et on la développe pour en faire un roman, l'inverse peut causer des manques, comme ce que j'ai pu ressentir ici.

En conclusion, il y a du bon et du moins bon. J'ai beaucoup aimé l'originalité et l'écriture, mais il m'a manqué plus de développements pour les apprécier à leur juste valeur. Je suis certaine qu'avec plus de cheminement pour arriver à leur fin serait vraiment un plus et laisser le lecteur découvrir l'atmosphère avant d'imposer le final. Même si le résumé indiquait ceci : "laissant une large place à l'imagination et à l'imaginaire", il y avait bien trop de place accordée au lecteur.

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