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Londres, 1888… Une période que j'apprécie tout particulièrement. Facile, je n'y ai pas vécu.

C'est comme les bas-fonds londoniens, ils sont plus supportables lorsque l'on est assis dans son canapé, le ventre plein, un café chaud à portée de main et le chauffage qui fait son job.

Commençons par les points positifs de ce polar historique : le petit côté steampunk était bien vu. Sans en faire trop (ce que certains reprocheront), l'autrice a ajouté quelques détails du genre dans son récit : chevaux et oiseaux automates, ainsi que des prothèses.

Le steampunk n'est pas envahissant et si vous n'êtes pas accro au genre, cela passera comme une lettre à la poste. Par contre, si vous en vouliez plus, vous serez de la revue.

Londres : personnage important de l'histoire, c'est une ville encrassée par le smog que vous découvrirez, une ville sale, noire, remplie de suie des usines et, de temps en temps, un smog mortel descend sur la ville. Angoisses durant la lecture garanties.

Les bas-fonds : vous êtes plongés dedans, la misère grouille comme les rats, c'est l'horreur. L'autrice décrit bien ces maisons faites de tôles, cette misère qui touche tout le monde, y compris les plus petits. Sans oublier qu'un tueur éventreur rôde dans les ruelles.

Les personnages sont attachants (Agathe, Nathaniel et Luna la tête de mule), mais manque un chouia de profondeur, tout en étant stéréotypés. Ce n'est pas vraiment un problème, le bât blessant plus au niveau du Méchant, qui est méchant tout simplement et qui est aussi visible qu'un gilet jaune devant des phares, sur une route déserte.

Ce polar historique, je l'ai dévoré, il est addictif, l'écriture est simple, faite de répétitions pour certaines descriptions, mais bon, ça passe sans soucis.

Là où ça grince dans la prothèse métallique, c'est justement avec le Méchant que l'on venir avec ses gros sabots et dont on ne saura pas pourquoi il est passé du côté super obscur de la Force. Nous n'en saurons pas plus non plus sur l'Éventreur (qui n'est pas le sujet du roman, mais puisqu'il y joue du couteau, on aurait pu aller plus loin).

Certes, dans la vie, nous n'avons jamais les explications, mais purée, dans un roman, l'autrice étant aux commandes, elle peut très bien ajouter des pages et nous expliquer le pourquoi du comment.

Lors du final, très glauque, très violent, pas happy end du tout, on a l'impression qu'on nous l'a joué à l'envers et on referme le livre avant l'horrible sensation qu'il manque quelque chose : ces foutues putains d'explications !

Déjà que l'autre enquête, avec les déterrés, se finit un peu brusquement, trop facilement… Si en plus, l'intrigue principale ne nous donne pas toutes les réponses, ça vous donne un goût s'inachevé. J'aurais aimé connaître les motivations du Méchant autre que je suis méchant, point barre. Et aussi savoir si un des personnage, de par son comportement assez sec, a voulu en fait protéger Agathe.

Maintenant, ces bémols, ce ne sont que les miens, personnels, ce que j'aurais aimé savoir…

Cela ne m'a pas empêché d'apprécier cette lecture, addictive, même en devinant très vite qui était le méchant et en comprenant ce qui se cachait sous les disparitions des jeunes filles (mais pourquoi des blondes ?)… le final, assez violent, était par contre inattendu. J'avais espéré un mini happy end.

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Très original. Je n'ai lu que très peu de steampunk et j'ai été vraiment séduite par l'ambiance du bouquin. On est très vite plongé dans le vieux Londres brumeux, aux ruelles sombres. J'ai très vite ressenti les inspirations de l'auteure. On sent ce côté Jack l'éventreur avec ces meurtres monstrueux qui chamboulent Whitechapel. Les voleurs, les bars miteux et les galas raffinés. Les calèches, la technologie avancée et la cendre partout. J'ai adoré cet aspect. Je me suis très vite laissée prendre au jeu.


On a la chance de pouvoir suivre 3 personnages à tour de rôle. Agathe m'a particulièrement plu. Une jeune femme prête à tout pour sauver sa famille de la misère. Une jeune femme qui se laisse tout de même aller à l'amour et qui n'a pas peur du danger.J'ai apprécié son caractère et sa détermination.


J'ai aimé que l'histoire prenne son temps. On découvre le quotidien de chacun de nos personnages, leur motivations, leur vision des choses. L'univers est bien décrit, riche, très visuel. Il y a beaucoup de détails. C'est intéressant. Il faut passer une bonne centaine de pages pour qu'on plonge réellement dans l'intrigue et dans le coeur même du roman.
Et pourtant malgré le fait que ce fut une bonne lecture il m'a manqué un petit quelque chose.


J'ai vraiment passé un bon moment mais il m'a manqué d'un peu de rythme. D'un peu de surprise, d'un peu plus tout simplement.
J'ai trouvé la romance trop rapide. Certains détails un peu gros, on en vient à deviner certaines choses un peu trop vite. Et même si il y a une vraie intrigue j'ai trouvé que ça manquait d'un peu d'adrénaline pour que je sois totalement dedans. J'aimais ce que je lisais mais je ne ressentais pas ce besoin vital de le dévorer ou de le reprendre une fois posé.
Et puis arrive la fin qui m'a pour le coup terriblement déçue. Je n'ai pas été convaincue et je n'ai malheureusement pas accroché du tout à ce que l'auteure nous proposait à mon grand regret. le roman prends une direction surprenante mais qui moi, ne m'a pas conquise.


Je vous le recommande tout de même avec plaisir car pour un premier roman c'est une jolie réussite. Un avis enthousiaste jusqu'au dernier quart du roman qui était pour moi un peu trop tiré par les cheveux et prévisible. Je suis tout de même ravie d'avoir plongé le nez dedans et d'avoir pu découvrir une histoire différente de ce que j'ai l'habitude de dévorer !


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J'ai trouvé son écriture dynamique, poétique, riche, et précise grâce à sa formation scientifique. Les descriptions de la vieille ville de Londres nous plongent d'emblée dans une atmosphère oppressante et mystérieuse digne d'un roman gothique. L'univers est travaillé dans le genre steampunk. J'ai été moins séduite par l'intrigue que je trouve faible avec des évènements souvent peu vraisemblables comme la scène où Agathe se fait voler le collier, et parfois brouillonne et chaotique. Les personnages auraient mérité d'être plus construits pour sortir des clichés, et créer ainsi des surprises lors des révélations. J'ai apprécié ma lecture cependant, mais ce goût d'inachevé qu'il me reste est dommage.

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--- Un presque coup de coeur pour les débuts de l'histoire ---

Lorsque Johanna Marines m'a contactée afin de me proposer son livre en service de presse, je dois dire que j'étais plutôt contente. Pourquoi ? Eh bien, parce que Cendres est un roman steampunk, un genre qui m'attire de plus en plus.

Je me dois néanmoins de souligner un détail important : le côté steampunk est assez peu représenté. Pour autant, ce n'est pas une faiblesse ; en jetant quelques éléments du décor, en instaurant une ambiance délicieusement oppressante, l'auteure parvient à nous entraîner avec elle au coeur de son histoire.

Son plus grand point fort ? Sa plume, fluide et sans chichis, qui m'a transportée en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.

--- Des bas quartiers au manoir des Henwoorth ---

Dans Cendres, deux mondes se confrontent ; d'un côté la pauvreté et la maladie, de l'autre la haute société et ses soirées mondaines. Si cette idée n'est pas novatrice, elle est brillamment incarnée par les personnages principaux, Agathe et Nathaniel. J'ai préféré la première, pour son courage et sa détermination, au second qui m'a semblé un peu résigné en dépit des encouragements de Luna, sa soeur d'adoption.

Quant aux Henwoorth, c'est le cliché parfait de la riche famille qui cache nombre de secrets sous des manières élégantes. Pour une fois cependant, je n'utilise pas le mot « cliché » de façon négative, car c'est typiquement le genre de contexte qui m'attire, personnellement.

--- Quelques faiblesses dans le scénario ---

Comme dit plus haut, j'ai vraiment apprécié la mise en place de l'intrigue, lorsque l'on touche du doigt certains mystères, que l'on entraperçoit les dessous de l'enquête. Néanmoins, la suite m'a laissé un sentiment plus mitigé et ce, pour deux raisons.

Tout d'abord, le rythme m'a paru un brin chaotique. En effet, les choses s'accélèrent subitement à la moitié du livre et, si les révélations s'y prêtent, j'ai trouvé ce changement trop brutal. Ce qui m'a gênée surtout, c'est le manque de repères temporels ; j'étais bien souvent prise de court par l'évolution du récit.

Cela m'amène d'ailleurs à la raison suivante : l'absence de transitions. Soyons clairs, je ne remets pas en question les idées de Johanna Marines, que je trouve excellentes. Mais le déroulé de l'intrigue n'a pas été suffisamment approfondi, selon moi. D'un chapitre à l'autre, l'histoire avance à pas de géant et j'ai eu comme l'impression de devoir compléter les blancs. Résultat : le roman perd en crédibilité, et c'est bien dommage !

En outre, j'estime qu'il est important de développer une relation, qu'elle soit amicale ou amoureuse. Or, dans Cendres, les rapports entre les personnages ne reposent pas sur des bases solides, seulement sur quelques passages assez limités.

--- Des interrogations qui persistent ---

C'est l'autre point noir de ma chronique, mais il rejoint le précédent. En effet, comme l'auteure n'a pas souhaité s'attarder sur les détails – et c'est une approche que je respecte, malgré tout ! -, certains chemins dans l'intrigue n'ont pas trouvé de réponses. de ce fait, et même s'il est possible de deviner les éléments manquants, je suis ressortie frustrée de ma lecture.

Heureusement, Johanna Marines a pris le temps de répondre à mes questions, et j'ai beaucoup apprécié notre échange.

--- Un final qui déroge à la règle ---

Si Cendres n'échappe pas à quelques stéréotypes propres au young adult, il n'est pas tombé dans le piège d'une fin facile, loin s'en faut ! Pour être honnête avec vous, j'ai adoré le dénouement qui résume bien l'esprit, sombre et angoissant, de ce one-shot.

Alors, en dépit des deux ou trois bémols évoqués ci-dessus, j'ai passé un bon moment entre les pages de ce roman.
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C'est un roman young adult efficace, plaisant à lire. Je l'ai emprunté au réseau des médiathèques car le Londres du XIXe siècle exerce sur moi un attrait certain.
Agathe est la benjamine d'une fratrie de deux soeurs. Orphelines de père, elles vivent avec leur mère malade, dans une pauvreté extrême. Pour ne plus être une charge, Agathe répond à une annonce de la famille Henworth, joaillier. le père décède le soir même de l'arrivée d'Agathe. La mère ne l'apprécie pas beaucoup. Il y a le frère cadet, James et l'aîné, Archibald qui insiste pour engager Agathe comme parurière. Elle porte les bijoux de la famille dans les bals londoniens. Lors de sa première soirée, elle est seule. Luna, voleuse de profession s'est invitée à la fête chez les riches et puissants de Londres. Agathe devient sa proie. Agathe avait rencontré quelques heures plus tôt le frère d'indigence de Luna, Nathaniel, un gentil garçon dont la profession est d'allumer les réverbères de la capitale anglaise. Les évènements se déroulent à la fin des années 1800. Des meurtres et des disparitions de femmes endeuillent la ville. Les autorités, représentées par l'inspecteur Abberline sont dépassées. Ses méthodes brutales l'enferme dans sa douleur. Sa fille fait partie des disparues.
J'aurais apprécié que Londres soit un acteur majeur dans ce roman. La révolution industrielle est abordée. La rupture et le gouffre entre les nantis et les pauvres sont insuffisamment exploités. Ils auraient apportés un intérêt supplémentaire au roman.
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Dans un Londres steampunk qui rappelle les plus belles années de Jack l'Eventreur, Agathe s'engage comme domestique dans une mystérieux manoir. En parallèle, on suit également Nathaniel, qui vivote comme il peut dans l'East-End. Des jeunes filles disparaissent, de nouvelles drogues circulent, et ces deux héros vont se croiser dans des circonstances terribles.

Les prémices auraient pu être engageantes, mais c'est un gros échec pour moi. L'intrigue est finalement un poil barbante, mais surtout très téléphonées, avec tout un tas d'heureuses coïncidences qui font avancer l'histoire artificiellement, des retournement de situation complètement nuls (la palme aux jumeaux perdus de vue), et des personnages terriblement plats. Ajoutons à cela un style maladroit, où un paquet de phrases tombent à plat faute de naturel, et où l'on retrouve même des maladresses narratives (l'histoire est narrée selon des chapitres points de vue internes à la troisième personne, mais tout d'un coup au milieu d'un paragraphe on passe au point de vue interne d'un autre personnage avant de repasser au personnage point de vue).

C'est dommage, la couverture était jolie… Mais dans le même style, quitte à faire, je vous recommande plutôt "Rouille" de Floriane Soulas (qui pourtant ne m'a pas forcément passionnée, mais qui au moins était mieux écrit), ou "Anergique" de Célia Flaux, nettement plus original et là aussi, bien mieux écrit.
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Assez déçue. L'ensemble pourrait être intéressant, cependant les problèmes de transition et de gestion de la temporalité, ainsi que des descriptions trop absentes, ont eu raison de mon intérêt pour cette histoire... J'ai trouvé cela superficiel, manquant de profondeur et les personnages et leurs relations manquaient de pertinence. Tout était trop rapide et aurait mérité d'être plus travaillé (notamment au niveau de la temporalité, qui est parfois hasardeuse et peu cohérente ou réaliste avec l'arc narratif choisi)...
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Un thriller steampunk surprenant et déroutant
D'un côté, Nathaniel, le petit allumeur de réverbère, qui vit avec sa soeur Luna, une incorrigible voleuse. de l'autre, il y a Agathe qui se fait embaucher comme parurière chez l'étrange famille Henwoorth, pour gagner l'argent des médicaments de sa mère.
Et puis il y a les meurtres de jeunes femmes, éventrées, dont l'inspecteur Abberline a la charge.
En lisant la 4e de couv, j'ai pensé ne pas du tout accrocher au texte puis après une centaines de pages, je me suis dit que finalement c'était très pas mal du tout, même si l'histoire des personnages manquaient d'approfondissement (tout comme la Cendre, ce n'est pas très explicite). L'intrigue était originale, de nombreux liens faits avec l'histoire de Jack l'éventreur et j'ai cru aussi à un moment à Dr jekyll et mr hyde. Et puis la fin est partie un peu dans tous les sens et même si la fin est surprenante et originale, elle a manqué de structure pour moi. J'ai vu toutes les coutures du ficelage du dénouement. Globalement tous les éléments manquant de liens solides.
C'est dommage.
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Entourée par des dizaines de nouveautés sur une table de livres Young Adult, Cendres avait su attirer mon oeil par son esthétisme travaillé et l'ambiance steampunk qui s'échappait de sa couverture. Mais ce qui m'a vraiment attirée, c'est le fait que je ne connaissais pas du tout son éditeur : Snag. Ce fait a titillé ma curiosité. J'aime découvrir de nouvelles choses, et j'avoue que j'avais envie de changer des dystopies qui pullulaient sur la même table. Seul bémol, le tarif. Je n'ai pas l'habitude de payer 18€ pour un roman. Mais pour soutenir les petites maisons d'édition, je dis au diable l'avarie. Bon, mon banquier, lui, a un autre avis sur le sujet, mais chut. Mon choix était fait, et je n'ai franchement pas eu à le regretter.

Résumé de l'éditeur :

« Londres, East-End, 1888, ère industrielle.

C'est dans ce quartier malfamé que vivent Nathaniel et sa soeur de rue, Luna. Lui, sillonne les rues à la tombée de la nuit. Elle, est une voleuse hors pair. Mais un soir, lors d'une énième tournée, le jeune homme fait une macabre découverte.

Des rues sombres de la capitale en passant par un manoir victorien luxueux … de soirées mondaines où le diamant est roi aux tavernes miteuses où l'opium circule dans les veines …

Prenez garde, personne ne sort indemne d'un tel voyage. «

Si je vous ai laissé tel quel le résumé de l'éditeur, c'est parce que j'avais peur de vous donner trop de détails. Car dans ce roman, le mystère joue une part importante, que dis-je primordiale !
Transporté dans un Londres victorien, nous suivons donc les aventures de Nathaniel et d'une jeune femme dont je tairais l'identité, liés malgré eux par un meurtre abominable. D'indices en indices, ils vont devoir enquêter au péril de leur propre vie pour démasquer le tueur avant qu'ils ne les retrouvent.

J'ai vraiment adoré le côté polar à la victorienne ! Et pourtant ce n'est pas mon style préféré car dans 9 cas sur 10, je découvre l'identité du tueur avant le dénouement. C'est une véritable malédiction je vous jure. Mais ici, le mystère est tellement bien ficelé qu'il faut véritablement attendre le dénouement pour connaître le fin de l'histoire.
Je ne dirais bien sûr pas grand chose de plus sur l'intrigue, pour ne pas vous gâcher votre plaisir. A part peut-être que ce roman n'a pas froid aux yeux ! Il malmène ses personnages sans peur et le dénouement peut même en étonner plus d'un (ce fut mon cas).

J'ai été également agréablement surprise par le style d'écriture de l'auteur qui était à la fois direct et entraînant. Il collait parfaitement à l'intrigue et à l'époque. C'est bien simple, une fois entrée dans l'intrigue, il m'a été impossible de lâcher ce livre. Je l'ai dévoré en une soirée, repoussant sans cesse l'heure de mon coucher, transportée par cette curiosité dévorante de savoir le comment et le pourquoi de cette affaire sordide.

J'aimerai pouvoir étoffer cette chronique, débattre de ce roman des nuits durant, mais malheureusement, cela reviendrait à vous gâcher le plaisir de le lire vous même, et ce serait vraiment dommage de passer à côté. Si vous êtes fan des polars, des enquêtes mystérieuses et des ambiances steampunk, alors ce livre est un must-have qui se doit d'être présent dans votre bibiliothèque.

De mon côté, cela a été une vraie découverte, tant de l'auteur (que je vais suivre avec attention), que de la maison d'édition (que je vais suivre également avec attention). Dis comme cela, on pourrait me prendre pour une psychopathe, mais je vous assure que mes intentions sont bienveillantes 🙂 J'ai hâte de découvrir ce que l'un et l'autre vont nous proposer dans le futur, et soyez certains que vous en entendrez encore parler sur le blog !
Lien : http://lebazarlitteraire.fr/..
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Entre meurtres et pauvreté, les vies de ces personnages nous entraînent dans un monde bien sombre ! Découvrez Cendres, un polard historique de Johanna Marines

Au final
Les mots pour : sociopathe ; ambiance des premiers chapitres ; rapidité de lecture ;

Les mots contre : manque de crédibilité ; manque d'attachement aux personnages ;


En bref : un polard historique avec quelques rares touches de steampunk, de très bonnes idées, mais un gros manque de crédibilité et d'approfondissement.
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