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Citations sur Une évidence (131)

Ce n'était pas un cadavre qu'il avait dans le placard, mais un fils de dix-sept ans d'un mètre quatre-vingt-cinq.
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Pacôme avait été un voyage, un voyage bouleversant, passionnant et passionné, qui m’avait nourrie, qui m’avait fait grandir, mais qui était arrivé à son terme. On rentre toujours d’un voyage.
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On commença à marcher côte à côte, en se frôlant, très vite sa main chercha la mienne, elle jouèrent toutes les deux quelques instants avant que nos doigts s’entrelacent. Nous étions incapables de résister l'un à l'autre.
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Une lecture plutôt agréable même si la fin est assez décevante. Un livre qui se lit bien mais que l'on oublie assez facilement. Par contre, via ce livre, j'ai découvert "ces messieurs de St Malo"...et ça, c'est tout autre chose! Une superbe saga historique et familiale sur le commerce maritime et le développement de St Malo, Nantes, Lorient...à lire absolument!
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Pas mal...un livre qui se lit bien et qui est plutôt bien écrit. Je trouve la fin un peu caricaturale mais dans l'ensemble, j'ai bien aimé ce roman. Surtout,je remercie l'auteur de m'avoir fait découvrir, à travers son roman, "ces messieurs de St Malo" superbe saga historique sur le commerce maritime et l'histoire de St Malo.
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On ne fait pas des enfants pour les garder près de soi, on doit les laisser partir pour qu’ils vivent leur vie. Alors, même si le plus beau des bonheurs, c’est qu’ils existent, on a mal de les aimer. Aimer d’amour. Aimer un homme. Aimer une femme. Un jour, on perd cet être aimé, désiré, avec une séparation, avec la mort. Et ça fait mal, ça fait toujours mal, ça arrache un bout de soi.
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Certaines choses, certaines personnes laissent des traces indélébiles, qu'on croit pourtant avoir enfouies au plus profond de soi.
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Ça faisait mal d’aimer. Peu importe qui on aime. On perd toujours ceux qu’on aime. On finit par perdre ses parents, le plus tard possible tant qu’à faire. Mais j’avais tendance à croire que, même à plus de soixante-dix ans, perdre ses parents était violent et douloureux. Je n’oublierais jamais le chagrin de mon père devant le cercueil de ma grand-mère. On ne fait pas des enfants pour les garder près de soi, on doit les laisser partir pour qu’ils vivent leur vie. Alors, même si le plus beau des bonheurs, c’est qu’ils existent, on a mal de les aimer. Aimer d’amour. Aimer un homme. Aimer une femme. Un jour, on perd cet être aimé, désiré, avec une séparation, avec la mort. Et ça fait mal, ça fait toujours mal, ça arrache un bout de soi.
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Est-ce que cela se passait de cette façon pour chaque mère ? Est-ce qu’un beau matin, on se réveille, on voit son enfant et on réalise qu’à partir de maintenant, c’est d’égal à égal, d’adulte à adulte ? On réalise qu’on a perdu son bébé, même si au fond de notre cœur, il le reste jusqu’à la fin de nos jours, simplement on n’a plus le droit de le lui dire, de lui en faire la démonstration, sous peine de le vexer, sous peine qu’il revendique plus fort son indépendance.
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[…] je crois savoir que tu m’as aimé pour ce que je suis et pas pour celui que tu aurais voulu que je sois.
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