AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Je suis une légende (161)

Et si je la tuais maintenant ? Sans même chercher à savoir... Si je la tuais et la brûlais ?
Il frissonna. De telles pensées confortaient la vision qu'il avait du monde, un monde horrible où le meurtre paraissait plus simple que l'espoir.
Commenter  J’apprécie          130
Une seule pensée l’habitait : la cause du vampirisme était là, sous la lentille du microscope. Des siècles de superstition apeurée s’étaient vus réduits à néant à l’instant où il avait aperçu le bacille. (Folio SF, p.113)
Commenter  J’apprécie          130
La morale, après tout, avait sombré en même temps que la société.
Commenter  J’apprécie          120
La puissance du vampire tient à ce que personne ne croit à son existence...
Commenter  J’apprécie          120
Le concept de "normalité" n'avait jamais de sens qu'aux yeux d'une majorité
Commenter  J’apprécie          120
- (…) Leur statut leur vaut l’admiration et le respect de chacun. Comment voudrais-tu qu’ils se comportent ? Ce ne sont que des hommes, après tout. Les hommes peuvent prendre goût au meurtre. C’est une histoire vieille comme le monde, Neville.
Commenter  J’apprécie          110
Sa libido avait décliné pratiquement jusqu'à disparaître. C'est ce qui devait sauver les moines, pensa-t-il. Il fallait que l'instinct se mette tôt ou tard en sommeil, sans quoi aucun homme normal n'aurait pu se consacrer à une existence d'où le sexe était banni.
Commenter  J’apprécie          110
La croix... Il en serrait une dans sa main, une croix dorée qui étincelait au soleil du matin. Encore une chose qui éloignait les vampires. Pourquoi ? Y avait-il une explication logique à laquelle il pût se raccrocher, sans glisser sur la pente savonneuse de la superstition ?
Commenter  J’apprécie          100
Il s’était endurci, rendu imperméable aux images du passé. Seul le présent existait encore pour Robert Neville, un présent qui consistait seulement à survivre, au jour le jour, sans connaître ni joie ni peine.
« J’appartiens désormais au règne végétal », se disait-il parfois. C’était ce qu’il voulait.
Commenter  J’apprécie          100
p.131.
Voilà qui donnait à réfléchir : si un chien, avec son intelligence limitée, avait réussi à survivre, comment un être doué de raison n'en aurait-il pas a fortiori fait autant ?

(Folio SF)
Commenter  J’apprécie          100






    Lecteurs (9222) Voir plus



    Quiz Voir plus

    L'homme qui rétrécit

    Richard Matheson a écrit ce roman...

    dans les années 30
    dans les années 50
    dans les années 70
    dans les années 80

    10 questions
    36 lecteurs ont répondu
    Thème : L'homme qui rétrécit de Richard MathesonCréer un quiz sur ce livre

    {* *}