On a toujours le choix. Le problème ce sont les conséquences.
Et c'est toujours quand on croit que tout va bien et que ça va durer éternellement que ça part en couille de tous les côtés.
Dans la vie, faut rester zen. Des cons et des mal élevés, il y en a partout, même là où il n'y a personne...
"Remarque, toi [le coyote], tu sais pas ce que c'est. Dans ton monde, chacun fait son boulot. Les proies essaient d’échapper à leurs prédateurs, les prédateurs essaient de les choper, les charognards nettoient les carcasses, les bousiers mangent de la merde, les sangsues sucent le sang, les araignées tissent leur toile, les fourmis bossent en équipe, les mouches et les oiseaux volent et les coyotes se baladent.
Il n'y a pas de justice, pas de tribunaux, pas de jugements et pas de morale.
Les rôles sont clairs et chacun fait ce qu'il doit faire...
- Wiif
- Ouais... Tu t'en rends pas compte, mais tu as la belle vie, mon pote..."
(p. 110)
Dans la vie, si j'ai appris une chose, c'est qu'il n'y a pas trente-six façons de régler les problèmes...
Quand tu as affaire à des ordures, il ne faut pas montrer de faiblesse, et ça ne sert à rien de leur donner une seconde chance. Ils pourraient penser que tu es faible.
(p. 110)
L'honnêteté, ça n'a jamais été trop mon fort.
Là d'où je viens, les gens honnêtes avaient deux choix : bosser pour des clopinettes et crever sans un dollar, ou gagner correctement sa vie et être des proies faciles pour tous ceux qui ne voulaient pas bosser et crever sans un dollar.
Dans ces condition, tu apprends à te méfier, à mentir, à ne pas te laisser faire...
(p. 42)
Je suis content d'avoir quelqu'un à qui parler, même si c'est un clébard. Les clébards, ça sait écouter. Les chats, ça se fout pas mal de nos problèmes d'humains de merde.
Entre-nous, ils ont bien raison.
(p. 19)