Tango, tome 2 : Sable rouge

Le calme, l'infini. Le vrai désert, c'est la mer. La vraie paix, c'est sur la mer qu'on la trouve.

Mon grand-père me disait que dans les années 30, en Allemagne, les optimistes sont restés. Réfléchis un peu à ça.

Jamais nous n'aurions pensé qu'une chose pareille pourrait arriver ici, mais c'est arrivé.

La sensation que le monde est mystérieux et infini et qu'on n'en connaitra jamais tout... Et que c'est très bien comme ça...

[...] tout le monde fait toutes sortes de promesses. Si on se mettait à les tenir, ce serait un sacré bordel.

Certains ne supportent pas la solitude, ça les rend fous. Ils sont prêts à faire n'importe quoi pour ne pas se retrouver seuls... C'est comme s'ils avaient peur de se retrouver avec eux-mêmes, et ils ne comprennent pas que d'autres puissent en avoir envie ou aimer ça...