Ni une parodie, ni une caricature, le récit s’apparente à une épopée philosophique dans laquelle se superposent différents niveaux de lecture, mêlant la rationalité et la rigueur du travail scientifique à l’absurdité voire au non-sens que réservent les péripéties du quotidien, que renforcent les caractères des deux héros.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
L’Autrichien Leopold Maurer organise en courts chapitres – eux-mêmes composés de gaufriers de six cases carrées – un périple fou. Via un dessin en noir et blanc minimaliste, il raconte une histoire exubérante, tantôt terriblement drôle, tantôt poignante. Et signe ainsi une fable poético-comico-tragique très réussie.
Lire la critique sur le site : BoDoi
- Tes seins sont comme de jeunes gazelles jumelles qui paissent sous les lis.
- T'es poète, hein ?
- Juste versé dans la bible mon chou
- C'est la première fois depuis 10 ans...
- Enfin Pinchon ! Je suis heureux pour vous...
- ... Que je n'ai pas pensé à Hélène.
- ... Vous progressez Pinchon.
- Oui. je vais maintenant prendre un bain et en parler à ma mère...
- Un pas en avant, deux pas en arrière...
- aie ! quelque chose m'a pincé.
- ça Miller, c'était votre mauvaise conscience !
- Je dirais que votre fils ne peut pas parler.
- Vous voulez dire qu'il est muet ?
- Muet ? Non. A nous, il ne pas parler... mais à ses semblables peut être.
chéri, cherche-toi une autre femme, ou un chien, une perruche, n'importe quoi... Mais laisse-moi reposer en paix. Je ne veux plus être le zombie de ton amour.