Fort peu enthousiaste devant l'alliance franco-russe, c'est Jaurès qui, en 1905, baptise « dimanche rouge » la sanglante répression de Saint-Pétersbourg. Mais plein d'espoir, il écrit : « C'est la victoire qui attend au bout de l'épreuve les révolutionnaires russes, et leur victoire qui aura, dans le monde entier, contre tout ce qui reste de despotisme, des effets incomparables. »
1901 - [p. 15]