Le mec de la tombe d'à côté

L'humour à la suédoise ce n'est pas pour moi ! Je me suis tellement ennuyée à la lecture de ce livre. Je suis allée au bout car j'étais partie quelques jours avec ce seul livre. Mais rien de rien, il ne m'a rien apporté, j'espérais au moins une fin originale, là aussi déception, pour moi ce n'est pas une fin, il manque au moins un chapitre. Quoique les 250 pages m'ont largement suffi !!

Lu avant 2015. Une lecture divertissante mais pas renversante d'originalité non plus, il ne faut rien exagérer.
Les opposés s'attirent, c'est bien connu, mais est-ce de tout repos sur la durée ? La bibliothécaire coincée et le paysan mal dégrossi, pourquoi pas. C'est la rencontre surtout de deux solitudes, au bon moment, celle de Désirée et de Benny sur le banc d'un cimetière..

Ce fut une lecture à la fois étrange et envoûtante.. Moi qui suis habituée au roman fantastique je me suis retrouvée happée par cette histoire si simple et ordinaire.
Benny et Désirée m'ont fait vivre avec eux leurs rencontres, leurs sentiments, leurs doutes, leurs joies et leurs peines.
Je me suis retrouvée dans leurs deux personnages si diamétralement opposés mais pourtant si semblable au final. Car tout ce qu'ils souhaitent, c'est être ensemble.
Je fus bouleversée par la fin.. si une fin il y a . Puisque finalement elle laisse toute place à notre imagination.

Poétique.
Puis romantique.
A sa manière.
Et pragmatique.

1998, et déjà, encore, fort d'actualité sur la condition paysanne suédoise ici, mais qui fait écho chez nous, voire en Europe entière.

Romance mais sans le miel, sans le mièvre, le gnan-gnan.
Avec la rugosité de la vie de l'un et l'incompréhension de l'autre. Ce choc des cultures, si proche, si intime, deux petits mondes qui n'auraient pas dû se rencontrer dans l'absolu, mais qui s'aiment et s'aimeront à vie.

Je n'ai seulement pas trouvé l'humour.
Mais touchant.
A sa manière.

Ce livre m'a fait penser à la chanson "Un petit poisson, un petit oiseau s'aimaient d'amour tendre" tant les personnages de ce roman ne sont pas du tout faits l'un pour l'autre et pourtant...

J'ai lu ce livre tant je l'ai vu sur les blogs. Les avis positifs m'ont poussé à le lire. Je l'ai trouvé en occasion à 3 eur. J'en ai profité et je l'ai lu dans le car qui m'emmenait en Cantabrie.

Après quelques pages, je me suis dit que je n'irais pas loin dans la lecture de ce récit : pas du tout mon genre, "une belle connerie" me suis-je même dit et pourtant...

Pourtant, j'ai continué. J'ai souri, j'ai eu envie de connaitre la suite. Ces deux héros qui se sont rencontrés au cimetière allaient-ils finir par s'aimer, par vivre ensemble malgré tout ce qui les opposait? Il fallait que je sache et, très vite, j'ai fait défiler les pages et je suis arrivé au bout.

J'imaginais les réactions de Désirée, BCBG et de Benny, paysan un peu rustre. Je me disais qu'ils ne vivraient pas ensemble que ce n'était pas possible de faire cohabiter le loup et l'agneau, la belle et la bête, le poisson et l'oiseau...

Vous l'avez compris : "Le mec de la tombe d'à côté" m'a bluffé. Je ne savais pas que j'aimerais autant cette histoire un peu loufoque.

Heureuse surprise.
Lien : http://phildes.canalblog.com..

Un bon "livre de train": le tourne-pages est efficace, les personnages et l'intrigue sans surprise, sans épaisseur ni aspérités. Un décor inexistant: le roman aurait pu se situer en Patagonie, dans la Beauce ou en Écosse sans grand changement. Sitôt lu, sitôt déposé dans une boîte à lire.

J'ai choisi ce roman sur les conseils de Babelio et je n'ai pas été déçue. C'est une très jolie histoire représentant une illustration du choc des cultures entre citadin et gens du rural, une hymne à la tolérance. Je reprocherai peut-être que les personnages ne soient pas très attachants.

Une histoire d'amour mais surtout de différences. Tout oppose Benny et Désirée et pourtant ils tombent fous amoureux l'un de l'autre. Mais lorsque la passion s'apaise doucement, ne reste que les profondes différences.

Tout au long du récit j'ai été très réceptive et plutôt satisfaite de la lecture. C'est bien écrit, facile à comprendre et simple. L'alternance des points de vue donne une écriture fluide et assez fraîche.
Bien que les deux protagonistes soient assez clichés, je trouve que le roman fonctionne et on croit autant à l'amour qu'à la rupture.
Par contre j'aurais préféré ne jamais lire ce dernier chapitre qui, je trouve, n'a ni queue ni tête.

Prête à mettre 2.5/5 à cause de cette fin, qui, pour moi, ridiculise tout l'ouvrage, je monte à 3 étoiles en voyant qu'il y a un 2e tome. Que je lirai sûrement (en espérant avoir une fin digne de ce nom cette fois-ci).

J'ai aimé découvrir l'histoire de Benny l'agriculteur et Désirée la bibliothécaire.
Il m'ont emportée dans leur univers que tout oppose avec leur humour complètement décalé.
Ce n'est pas toujours facile de devoir faire des compromis et ce livre nous le prouve.
J'ai aimé les chapitres courts l'alternance des points de vue à chaque chapitre pour nous permettre de ressentir les sentiments des 2 protagonistes.
Hâte de découvrir la suite de leurs aventures 😁

Il est plutôt rare qu'on referme un livre en se demandant « Alors c'était un coup de coeur ou une amère déception? » C'est pourtant ce que je me suis dit en terminant celui-ci…
J'ai tellement aimé la narration, le récit, les personnages, leur rencontre, leur relation…
J'étais tellement triste pour Désirée et Benny durant les derniers chapitres…

Mais voilà, le problème c'est surtout que je ne sais pas quoi penser de la fin de l'histoire!
Les fins ouvertes ce n'est pas toujours idéal, car parfois mon esprit défaitiste prend le dessus et j'imagine la pire des suites possibles et je bien déçue pour les personnages du roman. Je ne suis pas fiable pour imaginer la suite, j'aime mieux être prise par la main et être rassurée par les écrivain.es.
Suis-je la seule?

Bref, j'ai apprécié cette histoire jusqu'aux derniers chapitres. J'ai adoré le ton de la narration de Katarina Mazetti, son humour et tous les personnages qu'elle nous présente. le récit se déroule en Suède (parce que l'autrice en est originaire) mais il est universel et on peut l'imaginer arrivant juste à côté de chez nous.

Les sentiments si bien décrits par Mazetti sont eux aussi universels. La solitude et la crainte de ne jamais réellement connaitre ceux que nous côtoyons au quotidien. Ce sont des maux insidieux qui peuvent nous prendre aux tripes, peu importe de quel côté de l'océan on se trouve.
J'aime quand les livres étrangers viennent nous toucher intimement comme s'ils avaient été écrits par notre voisin de palier.
Je relirai du Mazetti avec plaisir!