Petites histoires pour futurs et ex-divorcés

C'est toujours avec plaisir que je retrouve l'écriture de Katarina Mazetti et comme j'adore les nouvelles j'étais impatiente de découvrir ce recueil.

Certaines histoires semblent profondes, d'autres plus banales, presque légères et tout cela m'a donné un sentiment mitigé. Toutes les nouvelles ne se valent pas malheureusement. Il y en a des très bonnes : « Au diable Downton Abbey » ou encore « Je vous souhaite un joyeux divorce » qui m'ont fait vraiment beaucoup rire.

C'est un portrait pas toujours flatteur de la vie de couple ou infidélité, mensonge et routine prennent place dans le quotidien de ses couples. J'ai eu le sentiment que ce recueil avait beaucoup de potentiel mais on reste sur notre faim. Certaines nouvelles auraient pu être mieux travaillé, peut-être être un peu plus longues pour nous permettre de mieux nous imprégner de toutes ses histoires.

Je crois que je préfère Katarina Mazetti, auteur de romans plutôt que de nouvelles, car j'aime beaucoup son style mais l'exercice d'écriture d'une nouvelle est difficile et je n'ai pas été entièrement convaincue ici.


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J'avais beaucoup aimé certains livres de cette autrice, dont le mec de la tombe à côté et le caveau de famille. Ces livres sont drôles et amusants, ce qui m'a fait prendre ce livre que j'ai trouvé dans la bibliothèque de mon village.
Ça n'a pas vraiment été le cas avec ce livre. Certes les histoires sont drôles mais je les ai trouvées pour certaines ennuyeuses, pour beaucoup tristounettes et pour d'autres sans beaucoup d'intérêt.
Toutes les histoires sont centrées autour d'un couple en cours de séparation ou déjà séparé. Les premières sont assez bien mais au fur et à mesure ça devient répétitif, même si les histoires sont différentes. Et la solitude des personnes en cours de deuil après le divorce apparaît de plus en plus et rend moins drôles les histoires.
L'écriture est toujours bonne, très fluide et le style sympa. C'est peut être le thème qui ne m'a pas plu dans ce rayon de livres.

"L'A-mour est un bouquet de violeeeee-ttes"
Qui fane, qui fane. Mais dont on peut toujours se servir pour se l'envoyer à la figure. C'est tout sec en plus, ça fait encore plus mal.
Katarina Mazetti nous offre un florilège d'histoires d'amour qui finissent mal (depuis le temps qu'on nous le dit).
Certaines sont attendrissantes, d'autres carrément méchantes.
Car amoureux ou pas ou plus, la violence des mots et des faits, bercée par l'amertume, la jalousie, la lassitude, fait de nous des êtres à part. Bien humains, puisque que même les animaux ne seraient capables de tels agissements.

Amour toujours, Amour un jour. Voire deux.
Mazetti a la plume drôle, attachante, acerbe.

Katarina Mazetti, voici un nom auquel je n'aurais jamais pensé pour finir un challenge avec un auteur scandinave. Avec ses sonorités j'étais loin de m'imaginer une suédoise. Mais les challenges nous permettent de découvrir de nouveaux horizons, de nouveaux talents.

Plume fluide avec une petite pointe de sarcasme, un zeste de tendresse pour 29 nouvelles, 29 petites tranches de vie. Certaines drôles, certaines émouvantes, d'autres emplies de tristesse, de rancune refoulée. La colère, la résilience, le surmenage, les doutes, les remords, les regrets... Toutes les émotions sont au rendez-vous de ces portraits si caricaturaux mais pourtant si réalistes aussi. Quittants, quittés, enfant devant faire face à la séparation, ou au maintien en couple de ses parents alors que tous les copains sont enfants de divorcés. On a tous été partie ou témoin de ses désamours. le récit peut sembler peu structuré avec ce pèle mêle de portraits, moins roman que mosaïque de vies brisées, de vies à reconstruire. Chacun s'y retrouvera au détour d'une esquisse, d'une histoire, d'un ressenti. On a tous en nous cette souffrance d'une histoire d'amour qui n'est plus. Quelque soit notre décision, quelque soit notre part de responsabilité, qu'on soit mis devant le fait accompli, ces portraits résonnent en nous.

On retrouve dans toutes ces nouvelles de l'humour mais aussi beaucoup de tristesse, et on ressent avec les personnages ce sentiment mélangé de liberté et de solitude après un divorce ou un deuil.
Parfois c'est trop caricatural mais la démonstration de l'auteure est réussie

Voilà un recueil de nouvelles à ne pas offrir à de futurs ou jeunes mariés. Peu d'espoir dans ces textes, seul ou marié ou remarié , rien ne semble très concluant. On cherche désespérément -ou pas- où est l'amour ....mais peut-être l'amour n'a-t-il rien à faire avec le mariage comme le suggère une des protagonistes.

Ces petites histoires sont autant de coups de couteau dans la pièce montée... ils se marièrent et ne furent pas heureux jusqu'à la fin de leurs jours...

Caustique mais dans l'ensemble bien vu - du moins à mon avis .
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Dans ces 29 courtes nouvelles, Katarina Mazetti, plusieurs ex-maris à son actif, explore toutes les facettes de la séparation et/ou du divorce.
Seconde épouse dépassée par une nouvelle famille envahissante et peu respectueuse, trompeur trompé, certaines nouvelles sont plutôt malicieuses tandis que d'autres jouent davantage sur l'émotion. Ainsi cette nouvelle femme , qui , du fait d'une rupture va devoir abandonner les enfants de son futur ex-mari ,à qui elle a pourtant consacré plusieurs années de sa vie, sans avoir aucun droit sur eux.

Si certains textes paraissent un peu convenus, on prend beaucoup de plaisir à se reconnaître et/ou à reconnaître des situations vécues par des amis., à ceci près que le divorce apparaît nettement plus simple et plus rapide d'un point de vue administratif en Suède. Léger mais très agréable.

Ce n'est pas le premier livre de Katarina Mazetti que je lis. J'avais beaucoup apprécié "Le mec de la tombe d'à côté" et sa suite, "Le caveau de famille". "Mon doudou divin" m'avait, lui, laissé un peu sur ma faim. Une agréable lecture, qui n'aura cependant pas beaucoup marqué mon esprit...

Ces 29 nouvelles nous déroulent un cortège de situations drôles, touchantes ou carrément déprimantes autour du divorce, de la séparation, du désamour : une mère de famille qui pète un plomb au milieu de son envahissante famille recomposée, ou cette femme qui nous dresse l'inventaire des gens qui quittent sa vie suite à sa rupture. Complainte d'époux lassés l'un de l'autre ou d'un enfant, seul élève de sa classe à avoir des parents encore mariés (la honte !)...

Pas vraiment de surprise avec ce livre : la plupart des situations sont "connues" et traitées de manière assez convenue et conventionnelle. Une lecture qui reste agréable et légère, parfaite pour bouquiner sur son balcon en picorant quelques chips et en sirotant un Spritz (en vrai je l'ai lu dans le train en allant travailler). Mais c'est un peu comme lorsque l'on regarde "Coup de foudre à Notting Hill" ou "Love actually" pour la 8ème fois : on connait le scénario par coeur, on sait comment ça finit, mais on les visionne toujours avec plaisir. Cela dit, j'aurais apprécié un peu plus d'originalité dans le déroulement de ces histoires qui avaient un air de déjà vu.
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Rappelez-vous le fameux refrain des Rita Mitsouko, ils chantaient Les histoires d'amour finissent mal en général. Sans vouloir leur donner absolument raison, en France, 44 % des mariages se terminent par un divorce. Phénomène de société ou pas, on connaît tous des couples qui ont mille et une raisons de divorcer… et (parfois) de le regretter ! de là à en faire un livre, il n'y avait qu'un pas que Katarina Mazetti, l'auteure des titres à succès le mec de la tombe d'à côté et le caveau de famille, a franchi.

Petites histoires pour futurs et ex-divorcés est un recueil de vingt-neuf nouvelles qui traite de ce qu'il y a de plus compliqué à gérer, les relations humaines, surtout s'agissant du couple. Il commence par se composer, puis les années passant, se décompose, se déchire, se sépare pour finir par se recomposer. Une histoire sans fin... Tous ceux qui un jour ont vécu en couple, se reconnaîtront forcément dans Petites histoires pour futurs et ex-divorcés. Ils se reconnaîtront plus aisément que Katarina Mazetti évoque un sujet qu'elle connaît bien. Et pour cause, l'auteure a, à son actif, plusieurs mariages et divorces. du coup, Petites histoires pour futurs et ex-divorcés sonne vrai.

Avec une bonne dose d'humour, Katarina Mazetti dresse de jolis portraits de couples lessivés par plusieurs années de vie commune. Leur douce complicité cède sa place à l'incompréhension, la confiance à la méfiance et à la jalousie, le désir à l'indifférence. Et puis un beau jour, un vent de liberté souffle sur ces êtres devenus l'un pour l'autre, quasi des étrangers. Vient alors le temps de la séparation... ou pas.
Il y a ceux qui fêtent cette liberté chérie retrouvée, ceux qui ne supportent pas la solitude qui s'impose à eux, ceux qui se remarient et se recomposent une famille.

Immanquablement, tous ceux qui vivent en couple se retrouveront dans Petites histoires pour futurs et ex-divorcés. le tout est caustique et drôle, c'est signé Katarina Mazetti et c'est savoureux.

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Certainement pas le meilleur de Katarina Mazetti, mais un livre sympathique qui accompagne bien des moments légers d'été. La nouvelle n'est probablement pas l'exercice dans lequel l'auteure est la plus à l'aise, il lui manque le temps de peaufiner ses personnages, de leur donner de l'épaisseur, de les construire de mille et unes couches.
Son écriture, toujours sensible (et bien traduite) ne convient pas au genre plus incisif de la nouvelle.