Blackwater, tome 3 : La maison

J'ai vraiment aimé ce tome, sûrement dû au fait que l'on y retrouve beaucoup plus d'actions que dans les deux premiers, faisant s'enchainer les rebondissements. L'intrigue m'a donc tenu en haleine du début à la fin. J'ai beaucoup apprécié aussi le fait que les protagonistes principaux soient tous mis en avant, notamment la petite Frances qui ressort beaucoup. J'ai l'impression que ce tome signe une rupture dans le clan Caskey…

T. W. Vi*l, vio*ences physiques

Le premier tome, je le trouvais un peu long au démarrage. le deuxième, j'ai adoré qu'on se retrouve directement dans l'action, mais là, pour le troisième c'est vraiment un autre niveau : Attaque frontale sans scrupule et sans gêne ! À commencer par Miriam et Frances. Une preuve que les gênes ne font pas tout, il y a surtout l'éducation. Celle que donne Mary-Love à Miriam est pour le moins… Dominante. Miriam trouve toujours quelque chose à dire contre Frances et n'en a aucune honte, bien au contraire.

Sinon, nous avons de nouveaux personnages, Queenie et ses enfants qui seront importants pour la suite. Et même si la suite des évènements est vraiment horrible, je trouve cela bien, que le basculement vienne de quelqu'un d'extérieur à la famille.

D'ailleurs, il faut vraiment avoir le coeur bien accroché pour réussir à lire certains passages… Et moi qui trouvais que Mary-Love me dégoutait à un très haut niveau, là… À côté de ce qui se passe, Mary-Love, c'est une débutante.

C'est là que nous arrivons sur la fin et que nous en apprenons encore davantage sur Elinor… Alors, je trouve cela très intéressant, la différence entre la Elinor que tout le monde connait, même nous lecteur, avec la Elinor et ses secrets.

En ce qui concerne Sister, je suis de plus en plus contente de voir comment elle évolue. Enfin, Zaddie, cette petite me réchauffe le coeur. Chaque fois qu'elle est là, elle fait de son mieux et Elinor et Oscar lui rendent bien sa gentillesse.
Malgré tout, l'on pouvait si attendre à cette histoire qui n'est pas si belle est si rose.

Donc évidemment, je recommande à 100%

J ai dévoré ce troisième volet. Je ne m'en suis même pas rendue compte.

Avant même d'oivrir ce volet, je me suis arrêtée sur la 1ère de couverture. Elle sème de nombreux indices à qui sait bien y regarder. J en ai compris quelques uns au fur et à mesure de ma lecture, mais ça ne m'éclaire pas sur la nature profonde des personnages.

L animosité entre les femmes Caskey devient contagieuse jusqu'à toucher la fille ainée d'Elinor et d'Oscar: Miriam.

Le surnaturel est également présent dans ce volet, comme dans les autres volumes mais dans ce dernier, il est plus sournois. Je reste toujours convaincu qu'Elinor et Perdido sont liés par je ne sais quel mystère.

C est très intriguant et je ne peux que me jeter sur le 4ème volet pour en apprendre plus ou être complètement perdue..

Moi qui me plaignais auparavant du manque d'horreur pour une saga classée sous le genre horrifique, je suis servie dans ce tome III de Blackwater !

Tout comme l'est la couverture, tout ce tome est sombre. Entre les décès brutaux de plusieurs membres de la famille et les apparitions surnaturelles et effrayantes provenant de la penderie de la chambre d'amis, le tome III nous flanque souvent la frousse ! Et pourtant, "La Maison" se lit à une vitesse fulgurante ! Je l'ai moi-même lu très vite et, de ce que j'ai lu des autres critiques, c'est le cas pour beaucoup. Il y a effectivement un côté addictif à cette saga.

Je continue de lire cette saga avec plaisir, même si elle ne représente pas, selon mes critères personnels, un "must read".

Le temps a passé mais les relations au sein de la famille Caskey sont toujours aussi complexes. Dans ce volume, ce sont les oppositions entre les femmes qui sont encore au centre : celle entre les soeurs si différentes Miriam et Frances, et celle toujours aussi tendue entre Mary Love et Elinor.
Elinor est bien installée après toutes ces années. Elle s'impose comme la protectrice de la famille, puissante mais mystérieuse et dangereuse. J'ai pu commencer à imaginer ses motivations mais sans aucune certitude.

La maison est le lieu où les membres de la famille peuvent trouver du soutien. Mais elle est aussi le lieu de ses déchirements, des violences et des jalousies. Y trouver sa place est un travail permanent. Les équilibres sont fragiles et mouvants entre les différents membres du clan. La maison centralise leurs crises et peut également leur servir d'abri. Mais est-ce vraiment un refuge ? Car c'est là aussi que le fantastique, qui prend de plus en plus de place dans ce volume, se manifeste vivement. Ami ou ennemi ? Doit-on le craindre ou l'accueillir ? La question reste ouverte pour le moment.

Ce tome est mon préféré à ce jour. J'ai beaucoup aimé l'inscription du récit dans la crise de 1929 qui rend la question de l'argent dans la famille particulièrement intéressant et l'ambiance d'étrangeté très réussie dans ce tome. Il semble marquer un nouveau départ pour la famille Caskey et la ville de Perdido. A voir où tout cela les mènera…

En premier lieu, et comme pour les trois premiers volumes de la série, il faut rendre hommage au remarquable travail effectué sur la couverture : elle est, une fois encore, digne d'un objet d'art.
Pour ce qui est du contenu, on retrouve l'ambiance des deux premiers opus, entre surnaturel et ruralité, alliances, trahisons et rivalités au sein de la famille Caskey, à Perdido.
Une fois la dernière page tournée, on ne souhaite qu'une chose, découvrir la suite !

Tome 3 de la série et me voilà bien ferrée pour poursuivre cette saga.

J'ai trouvé qu'ici le surnaturel était plus présent et plus marqué que dans les 2 précédents, ce qui confère à l'histoire un côté plus effrayant et une ambiance plus angoissante.

Un 3ème opus qui m'a plus convaincue pour son côté fantastique, et où le côté étrange de Elinor, que l'on devine dans le premier, apparaît nettement ici.
Outre ses pouvoirs, que l'on ne fait que deviner, elle reste cette femme qui semble tout prévoir, ou tout du moins faire en sorte que les choses s'arrangent comme elle le souhaite.
Elle pourrait presque en paraître effrayante et pourtant elle reste un de mes personnages préférés.

Un récit plein de mystères qui ne trouvent pas (encore) leurs réponses, et qui ne font qu'attiser ma curiosité pour les tomes suivants.
Qu'y a-t-il dans cette armoire ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi Frances ?
Des questions qui pour le moment restent sous le voile des secrets dont seul l'auteur connaît la réponse (ainsi sans doute que ceux qui ont terminé la saga).

En 1929, la petite ville de Perdido qui se croyait à l'abri des bouleversements du monde, doit elle aussi affronter la crise économique. Si certains s'en sortent bien comme Mary-Love, d'autres comme Oscar et Elinor doivent rembourser des dettes de plus en plus importantes. C'est dans ce contexte de tension économique qu'une nouvelle fois les deux femmes importantes de la petite-ville vont s'affronter, tandis qu'un sombre personnage fait son retour pour le grand malheur de Queenie.

Le troisième volume de Blackwater met plus que jamais en avant le pouvoir des femmes de la ville. Les cartes du jeu sont progressivement rebattues autour de personnages qui vont prendre de plus en plus d'importance.
En effet, autour de Mary-Love et Elinor dont la rivalité va atteindre un point culminant, d'autres personnalités féminines s'affirment, de Queenie à Miriam, en passant par Grace ou encore Sister. Toute l'histoire de cette ville tient dans leurs mains, les unes se révélant touchantes et courageuses, et d'autres assez diaboliques et mesquines pour pouvoir tenir tête à la mystérieuse Elinor qui se dévoile beaucoup plus que dans les précédents tomes. Personnage terrifiant et touchant, elle soulève une ambiguïté qui fascine le lecteur.

Mais surtout, une nouvelle génération se dessine dans ce troisième volume. Miriam et Frances, les deux soeurs aux antipodes l'une de l'autre, symbolisent une continuité dans la rivalité qui oppose Mary-Love et Elinor. Grace, jeune fille saine, indépendante et intelligente, est un personnage qui pourrait lui aussi s'affirmer dans l'avenir.
Enfin, la rivière, toujours omniprésente, impose une ambiance de plus en plus inquiétante . La maison elle-même, qui donne le titre au volume, apporte une touche fantasmagorique qui s'accentue.

« Blackwater, tome 3 : La maison » donne un nouveau souffle à cette saga familiale et fantastique dont l'intensité du récit s'accentue, enchaînant les rebondissements autour de personnages qui promettent de nouvelles intrigues hautement addictives !

En bref :
Coup de coeur pour ce troisième tome que j'ai encore une fois dévoré !

Quel est l'intrigue ?
Toujours un peu la même chose dans les grandes lignes.

Ma chronique :
Toujours plus envoutée par cette saga, j'ai dévoré ce roman. C'est pour le moment mon préféré des trois premiers.

Un peu plus de fantastique est présent ici, et très sincèrement, même si j'étais dubitative au départ, c'est passé tout seul ! Au contraire, j'ai vraiment envie de découvrir ce qui se passe, pourquoi, comment...? En faite, je pense que la saga familial a prit le dessus sur le fantastique (à mon sens), et de ce fait, je me suis attachée à chaque personnage (hors Mary-Love soyons clair !!). Alors, même s'il y a quelques petites touches horrifiques ou fantastiques, ça ne me dérange pas du tout. Il faut dire aussi que c'est tellement minime qu'on est presque à les attendre impatiemment !

Elinor prend enfin une place plus importante dans le clan Caskey, et clairement, il était temps !
Les filles, Frances et Myriam elles aussi sont mises au centre de ce troisième volet. On apprend à connaître ces deux gamines profondément différentes.

Même si j'ai trouvé ce troisième opus un peu plus lent et tranquille, la fin elle m'a totalement bluffée. Je ne l'avais pas vu venir !! Et du coup la lenteur de cet opus s'explique et passe mieux. Et ça n'empêche absolument pas d'avoir un coup de coeur pour ce tome plus lent, mais tellement plus profond finalement !

Un bijou, ce livre est beau, il est facile à lire.
On aime l'histoire qui se base sur une histoire plausible, ici Mary -Love et sa belle fille continuent à vivre leurs vies en parallèle. Chacune élève une enfant d'Elinor Miriam et Frances. Elles vivent dans deux maisons, vivent des vies différentes, ne se comprennent pas et ne s'aiment que peu.

Et la cerise sur le gateau ce sont ces touches de fantastique et d'horreur, jamais horribles, souvent jouissives...

Cette saga m'a subjuguée et je la prête à tous mes ami(e)s