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3,84

sur 105 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
💿 MON AVIS : J'ai découvert l'autrice l'an dernier, en empruntant "Les imbéciles heureux" à ma bibliothèque municipale et j'avais adoré ma lecture.
J'ai eu la chance de rencontrer Charlye au salon du livre de Colmar, et je lui ai donc pris "Les durs à cuire".
En commençant ma lecture, je savais que j'allais aimer ! Je n'ai pas lu la 4e de couverture, et j'ai donc laisser l'autrice mettre en place son histoire. Et j'ai encore une fois adoré ma lecture.
C'est l'histoire de parents excentriques et de leur fille un peu trop sage, un peu trop proprette, un peu trop prévisible. Je n'ai pas envie de vous en dire plus sur l'histoire, car elle mérite d'être découverte au fil des pages.
J'ai une nouvelle fois adoré la plume de l'autrice : à la fois drôle et qui sait faire passer tout un tas d'émotions. J'ai vite été embarqué dans cette histoire de famille qui doit se reconstruire, pour pouvoir conjuguer leur avenir au futur et non au conditionnel. Je me suis totalement attachée à l'ensemble des personnages.
Pour moi, ce roman est un espoir pour les familles déchirés : il est souvent possible d'arranger les choses !
J'espère avoir l'occasion de revoir Charlye très bientôt, et j'espère qu'un 4e roman est en préparation, mais il est d'ors et déjà sur que je lirais "Les sales gosses" (j'adore le titre de ce roman🥰)
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Un vrai coup de coeur !

Sixtine, mère de famille quadra BCBG, doit accueillir pendant un long weekend son père dont l'immeuble a pris feu et sa mère soudainement revenue des USA... Sauf que ses parents faisaient partie de la génération rock punk, qu'ils étaient dans le même groupe, les Durs à cuire, justement, et que leur divorce a fait des étincelles. de quoi mettre le feu aux poudres... Autant dire que le weekend s'annonce explosif ! Et ça, c'était avant de savoir que sa deuxième fille avait été convoqué pour la première fois dont le bureau de la directrice de l'école 🤯🤯🤯

J'ai adoré ce roman que j'avais gardé pour un jour pluvieux, une baisse de morale, un coup de fatigue... L'écriture de Charlie Ménétrier McGrath a toujours ce quelque chose de vitaminée, d'énergisant, de grisant ! Les personnages sont aussi attachants que rocambolesques, le roman toujours aussi agréable à lire, les péripéties a la fois dramatiques et comiques !! J'ai adoré ce partage entre les générations, ces jeunes filles qui veulent apprendre à connaître des grands-parents presqu'inconnus, et cette maman (presque) parfaite qui tente tant bien que mal de réapprendre à être une fille ...

Un beau roman sur les liens familiaux, et sur la communication si importante avec nos proches !!!
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Les durs à cuire où le choc des générations entre grands parents punks, parents bourgeois et petits enfants qui se cherchent.
Un moment de lecture loufoque et plein de tendresse où chacun devra apprendre à s'apprivoiser pour mieux s'aimer.
un vrai coup de coeur pour cette auteure de romans " feel good"
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Rébellion générationnelle à tous les étages !
Sixtine, 40 ans, mariée, deux enfants et bourgeoise par excellence, est au bord de la crise de nerfs lorsqu'elle se retrouve contrainte d'héberger ses parents. Leurs rapports se limitent au strict nécessaire depuis qu'elle est adulte et pour cause, elle est la fille de deux ex-stars du punk. Grands-parents déjantés versus fille quadra bien rangée (et même un peu coincée), la maison est à deux doigts d'exploser. Mais pour Constance et Clémence, les deux filles de Sixtine, cette cohabitation tombe du ciel…
Roman très agréable à lire, on aimerait une suite!
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Voici mon retour de lecture sur Les durs à cuire de Charlyne Ménétrier McGrath.
Sixtine, 40 ans, mariée, deux enfants et bourgeoise par excellence, est au bord de la crise de nerfs lorsqu'elle se retrouve contrainte d'héberger ses parents.
Leurs rapports se limitent au strict nécessaire depuis qu'elle est adulte et pour cause, elle est la fille de deux ex-stars du punk. Grands-parents déjantés versus fille quadra bien rangée (et même un peu coincée), la maison est à deux doigts d'exploser.
Mais pour Constance et Clémence, les deux filles de Sixtine, cette cohabitation tombe du ciel…
Les durs à cuire est un excellent roman de Charlyne Ménétrier McGrath.
J'avais apprécié ces deux premiers romans, mais celui ci est indubitablement mon préféré.
Qu'est ce que j'ai ri avec Sixtine et ses parents. Ses derniers sont totalement déjantés. Il faut dire que ce sont des ex-stars du punk dont la vie a été bien remplit, avec une façon de vivre loin de la vie hyper conventionnelle et plan plan de Sixtine. Cette dernière est coincée, mais coincée ! Difficile d'imaginer qu'elle puisse être la fille de ses parents lol
J'ai adoré le choc des cultures, la personnalité des uns et des autres. C'est drôle et bien pensé, sans être trop caricatural. Certaines scènes sont vraiment excellentes.
Constance et Clémence sont deux fillettes attachantes, elles aussi sont amusantes et pour elles, c'est un vrai bonheur de vivre avec leurs grands-parents même si c'est temporaire.
Les durs à croire est une excellente surprise, je ne vais pas en dire plus je vous laisse le découvrir :)
Ma note : cinq étoiles.
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Dans ce roman, nous faisons la connaissance de Sixtine qui a tout l'apparence de la mère parfaite. Elle gère sa famille et sa maison à la baguette, tout est cadré et organisé au millimètre près. Elle multiplie les '' étiquettes'' : mère tirée à 4 épingle, parents d'élèves, excellente pâtissière,...
Mais il y a ce que l'on veut bien montrer et ce que l'on veut absolument cacher... Alors lorsque ses parents divorcés la préviennent qu'ils vont l'un et l'autre débarquer chez elle pour plusieurs jours, elle stresse, voire même panique quand son (lâche) de mari part (comme par hasard !) en déplacement au même moment !
Ce roman est donc légers et drôle, même si l'auteure aborde des sujets de fonds qui nous permette de se questionner subtillement sur nos propres étiquettes, que l'on se colle à la peau.
Cela nous permet aussi de voir qu'accepter nos propres blessures permet d'aller de l'avant et de pardonner ce que l'on reproche à nos parents, car nous même sommes loin d'être des personnes parfaites ! Chacun fait ce qu'il peut avec ces blessures, ces non dits. Parfois les choix faits ne sont pas forcément les meilleurs mais c'est ainsi... Ce livrer permet parfois à l'autre de comprendre, accepeter et pardonner.
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Ce roman m'a bien fait rire car Charlye Ménétier McGrath joue avec la surenchère de situations cocasses ou caricaturales. Mais comme souvent on rit pour ne pas pleurer, il y a des nombreux sujets graves qui sont abordés. On a tous un petit quelque chose des personnages dépeints avec tendresse car ils sont très proche de la réalité.
Ce que j'ai aimé c'est qu'à la fin tout c'est pas résolu, mais en bonne voie.
Le roman se passe pour un peu plus des trois quarts le te temps d'un week-end, c'est donc très intense. le passé va s'inviter dans scènes de souvenirs soit c'est un personnage qui se remémore des souvenirs heureux ou pas, d'autres souvenirs vont être partagés avec les personnages dans le présent. Les secrets de famille ne sont pas tous dévoilés au reste des personnes présentes.
Famille je vous aime/ famille je vous hais, secrets de famille…
J'ai beaucoup aimé comment Charlye Ménétrier aborde le sujet de la vie de femme au foyer et le féminisme.
Ce roman aborde des sujets très actuels autour de « combats » menés par la jeunesse par exemple autour du climat. Au début de cette chronique je vous ai dit qu'il était question de « petits vieux » rock & roll mais on va vite se rendre compte qu'il est question aussi de la place de la jeunesse. Il y a des conflits intergénérationnels mais aussi des passerelles qui vont se former. Nous avons tous les âges donc des préoccupations très différentes qui en fin de compte vont se rejoindre. Je vous laisse découvrir les « combats » de chacun.
Un très bon roman qui aborde des sujets graves avec des notes d'humour pour faire avancer les choses dans une certaine positivité.[blog]

Lien : https://latelierderamettes.w..
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@lesmotsquilient

🌀 J'ai adoré cette « rébellion générationnelle » !

🖼On plonge dans ce quotidien que Sixtine s'évertue chaque jour à construire parfaitement. Des draps propres, à la maison impeccablement rangé jusqu'au discours rôdé pour enjoliver le tout. Sixtine n'essaie pas seulement de représenter la famille idéale, elle se convainc que plus elle s'éloigne du modèle de ses parents, plus elle sera heureuse.

🥺🧡J'ai aimé Sixtine autant que j'ai eu envie de la secouer à maintes reprises. Mais je l'ai admiré aussi. Il en faut du courage pour oser être soi et s'affranchir du regard de l'autre.

👧🏼👱🏻‍♀️J'ai aimé Constance et Clémence, qui grandissent au fil des jours et comprennent tellement de choses. Ces petites aux réflexions d'enfants qui demeurent si justes. Leur douceur et leur courage du haut de leur jeune âge.

🫂J'ai aimé cette famille, être dans leur quotidien, les voir se parler, se détester, se déchirer, s'encourager, s'aimer, se pardonner.
Je me suis attachée à cette famille ; a leurs doutes, leurs failles et j'ai aimé les voir, chacun d'entre eux, essayer d'avancer.

💧 On passe du rire aux larmes à l'unisson avec eux.

🥰Il y a de Sixtine, Boris, Clémence, Constance, Edith, Dick en chacun d'entre nous.

👨‍👩‍👧‍👧C'est un livre sur la famille. La beauté des liens comme leur complexité. C'est un livre sur l'impact de notre histoire, de celle de nos parents, celle de nos arrières grands parents sur nos vies d'aujourd'hui, nos comportements, notre fonctionnement.

🧡C'est un livre sur l'Amour, dans ses contours. L'amour qui fait mal, l'amour qui fait grandir, l'amour qui fait du bien.

🎶 Bienvenue chez les durs à cuires! 🎸

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Sixtine mère au foyer prend soin de sa maison, de son mari et de ses 2 filles (8 et 13 ans) tout est parfaitement bien réglé dans leur petite vie à la limite de la bourgeoisie. Monsieur a un bon poste et madame est investie dans la vie de l'école. Tout est pour le mieux un peu trop bien orchestré même lorsque débarque le père et la mère de Sixtine, ex duo de rockers, divorcés depuis 30 ans, avec qui Sixtine entretient des liens plutôt distendus. C'est la panique pour Sixtine qui sent qu'elle perdre la maitrise pendant ces quelques jours, la peur au ventre de ne pas arriver à rester maitresse d'elle même et que de vieilles rancunes ne remontent.

Comme ses précédents romans (les sales gosses et les imbéciles heureux) Charlye Ménétrier Mc Grath nous amènent dans une famille un peu dis fonctionnelle : d'un coté la rigidité absolue et de l'autre la vie bohème. Quand ces 2 groupes doivent vivre ensemble pendant quelques jours on s'attend à ce que ce soit explosif !

C'est enjoué, gai, bien vu, dynamique et dans l'air du temps, un roman feel good qui parle des liens familiaux, des blessures d'enfance, de la résilience de l'importance du lien grand-parents / petits enfants. Un roman qui a vraiment tout me plaire et que j'ai lu en 1 après midi.
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
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Je découvre l'écriture de l'auteur grâce à ce roman, et je dois dire que j'ai beaucoup aimé ! de manière générale j'adore les romans Feelgood, et celui-là m'a particulièrement plu car il est vraiment centré sur la famille.
Trois générations vont se côtoyer le temps d'un week-end. Grands-parents, parents et petits-enfants vont devoir (ré-) apprendre à vivre ensemble.
C'est un roman qui fait du bien au moral car il prouve que chaque famille est unique. Cette famille qui a connu des moments difficiles va réussir à surmonter les tensions pour redevenir une famille soudée. Au départ rien n'était gagné, surtout quand on découvre les personnalités rock and roll de Dick et Ed 😜 Certains passages sont hilarants, surtout quand on prend conscience de l'énorme fossé entre le mode de vie bien organisé de Sixtine et la vie complètement déjantée de ses parents.
J'ai refermé le livre avec un grand sourire car l'histoire nous montre à quel point les liens sont forts entre les membres d'une même famille. Personne n'est parfait, nous faisons tous des erreurs. C'est pourquoi chacun de nous peut trouver la force de pardonner. Ce livre montre également que parfois les différences nous rapprochent. La famille est vraiment ce qu'il y a de plus important !
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