A tout seigneur tout honneur, et c'est bien sûr à
Philippe Druillet à qui il faut rendre hommage, car il a été le premier à réaliser notre livre maudit et le rendre accessible au grand public. C'est dans le fanzine Anubis où seront publiées ses trois premières planches (automne 1966) qui seront reprises et complétées dans le numéro spécial de
Métal Hurlant consacré à
Lovecraft en septembre 1978 (10 planches au total). C'est à mon sens l'une des plus belles « matérialisations » du Necronomicon. L'écriture est bien sûr illisible mais la puissance évocatoire est tout à fait étonnante. La version
Metal Hurlant n'est accompagnée d'aucun commentaire alors que celle d'Anubis nous apprend que ces planches sont la partie d'un volume qui devait paraître au Terrain Vague. Un attentat contre la maison d'édition stoppera le projet. L'éditeur confiera au détective C.
Auguste Dupin le soin d'enquêter et de mettre au clair cette affaire. On ne connaîtra hélas jamais les conclusions.
A relever dans ce numéro culte une nouvelle d'un certain
Philippe Setbon, «
l'Indicible Horreur d'Innswich » qui se présente comme le dernier écrit de
Lovecraft. Un pastiche qui se veut humoristique, mais d'un humour terriblement grossier. Sans aucun intérêt.
A tout seigneur tout honneur, et c'est bien sûr à
Philippe Druillet à qui il faut rendre hommage, car il a été le premier à réaliser notre livre maudit et le rendre accessible au grand public. C'est dans le fanzine Anubis où seront publiées ses trois premières planches (automne 1966) qui seront reprises et complétées dans le numéro spécial de
Métal Hurlant consacré à
Lovecraft en septembre 1978 (10 planches au total). C'est à mon sens l'une des plus belles « matérialisations » du Necronomicon. L'écriture est bien sûr illisible mais la puissance évocatoire est tout à fait étonnante. La version
Metal Hurlant n'est accompagnée d'aucun commentaire alors que celle d'Anubis nous apprend que ces planches sont la partie d'un volume qui devait paraître au Terrain Vague. Un attentat contre la maison d'édition stoppera le projet. L'éditeur confiera au détective C.
Auguste Dupin le soin d'enquêter et de mettre au clair cette affaire. On ne connaîtra hélas jamais les conclusions.
A relever dans ce numéro culte une nouvelle d'un certain
Philippe Setbon, «
l'Indicible Horreur d'Innswich » qui se présente comme le dernier écrit de
Lovecraft. Un pastiche qui se veut humoristique, mais d'un humour terriblement grossier. Sans aucun intérêt.