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3,1

sur 285 notes
Premier contact pour moi avec un roman de Deon Meyer qui me laisse une impression bien positive. Je vois que plusieurs lecteurs ont considéré ce petit policier inabouti par rapport à d'autres de ses oeuvres ce qui me donne envie de poursuivre avec cet auteur.

C'est vrai que ce livre est vraiment très court et, malgré cette brièveté, l'auteur parvient à glisser des digressions sur les fiançailles de l'un des membres de son duo de flics, ainsi que quelques réflexions sur l'existence qui m'ont plutôt bien accroché.

J'ai aussi sans doute apprécié cette petite histoire pour les références à la peinture de Carel Fabritius dont j'ai eu l'occasion d'admirer le Chardonneret au Mauritshuis de la Haye. Deon Meyer invente donc une oeuvre hypothétique de Fabritius qui donne son titre au livre autour de laquelle se crée une trame policière consécutive à un meurtre.

C'est vrai que l'intrigue se noue et se dénoue en quelques pages, je comprends donc que les amateurs de cet auteur aient pu souhaiter quelque chose de plus consistant.

Pour ma part, j'ai trouvé les dialogues savoureux, les descriptions des paysages et du tableau réussies malgré leur rareté, donc une petite lecture sympathique qui ne s'oublie pas quand on aime le Chardonneret.

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Par une petite soirée de pluie, une petite lecture sans lendemain. Pas le plus grand ni le meilleur des Deon Meyer. Peut-être l'auteur voulait juste faire un exercice ? Jouer à écrire ? On y retrouve bien sûr Cupido et Benny mais bon ...il est vrai que les enquêtes sur des vols d'oeuvres d'art sont bien prisés chez les auteurs par les temps qui courent.
Bref, cette femme au manteau bleu ne marquera pas l'oeuvre de Meyer...à mon avis bien sûr!
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Voilà bien un format auquel Deon Meyer ne nous a pas habitués ! 185 pages, une misère pour cet auteur de polars dans lesquels il met généralement en avant la société afrikaner, ses particularités et ses disfonctionnements. Rien de tout ça, ou si peu, dans cette brève enquête où l'auteur reprend ses héros récurrents : Benny Griesel et Vaughn Cupido. Les deux collègues appartiennent à l'élite de la DPCI, les Hawks. On apprendra en cours de lecture que le quartier général des Hawks se trouve à Cap Town, bien sûr, mais dans le quartier de Bellville ! Ça ne s'invente pas… Un matin, on retrouve bien en vue, dans un site touristique, le cadavre d'une femme blanche dont le corps a soigneusement été lavé à l'eau de Javel. On apprendra bientôt qu'il s'agit d'une Américaine, ce qui laisse présager de nombreux ennuis et une couverture médiatique dont la police criminelle se serait volontiers passée. Mais qu'est-ce que cette spécialiste de la peinture hollandaise est venue faire au Cap ?
***
Il est difficile de parler du livre sans trop en dire sur la trame, et comme souvent, la quatrième de couverture révèle déjà trop de détails ! Il sera quand même question, ici ou là, de quelques particularités sociétales dont traitent les autres romans de Deon Meyer : la fragilité de l'afrikans, l'attachement des Sud-Africains à leur patrimoine, la prudence des relations entre personnes de différentes couleurs de peau par exemple. J'ai eu l'impression que, par moment, le professeur Marius Wilke pourrait être, dans une certaine mesure, le porte-parole de Deon Meyer, entre autres dans les pages 177-178 où le professeur se désole des oeuvres d'art brûlées et des statues brisées « au nom de la décolonisation » rapporte l'auteur. Un roman assez bien ficelé, vite lu et vite oublié, je crois. Dommage ! Vivement le mois de mai 2022 : The Last Hunt, le dernier roman très politique de Deon Meyer devrait paraître en français.
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Excepté le nom de l'auteur reconnu, on peut se poser la question de l'intérêt de publier un court polar aussi peu passionnant. Pourtant, on retrouve les deux flics des Hawks, Griessel et Cupido, flics récurrents chez Meyer, mais là malheureusement, nos deux héros sont des caricatures bien indigestes. Même l'intrigue et sa narration sont tellement plates qu'on s'ennuient ferme, sans y prendre le moindre plaisir. Un Meyer qu'on laissera de côté, lui auteur de polars autrement plus addictifs que cette "Femme au manteau bleue", Merci aux Éditions Gallimard et à Babelio pour cet envoi.
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C'est parfois agréable de lire un roman policier qui soit court, dans lequel on rentre tout de suite dans l'action et qui ne s'éternise pas sur des détails insignifiants ou de longues descriptions.
Tout commence par la découverte du corps d'une femme, nue, identifiée comme étant une touriste américaine.
Ce polar se passe en Afrique du Sud, au Cap et nous fait découvrir le travail des personnes qui recherchent des oeuvres d'art disparues.
Les personnages principaux sont intéressants et on sent bien que l'atmosphère qui règne dans cette ville où les blancs, les noirs et les métis vivent ensemble n'est pas simple tous les jours.
Un bon roman policier, rapide à lire et dans lequel on pénètre le milieu de l'art.
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Je ne comprends pas la publicité faite autour de ce polar , à part que c'est le nouveau roman publié de Deon Meyer dont j'avais beaucoup apprécié d'ailleurs L'année du lion mais c'était visiblement un OVNI parmi sa série avec ses héros récurrents Benny Griesel et Vaughn Cupido ...

Une femme morte est découverte nue , disposée sur un muret près d'une route passante . C'est la nouvelle enquête confiée aux deux policiers .

Son identité est rapidement trouvée ainsi que les deux personnes rencontrées par la victime lorsqu'elle est arrivée en Afrique du Sud ... L'enquête est vite bouclée, le suspens pas vraiment haletant .

Minimaliste , alors que l'histoire du tableau à l'origine du drame , La dame au manteau bleu du peintre hollandais Fabritius , connu pour son tableau le Chardonneret aurait mérité beaucoup mieux .
Même les histoires personnelles des deux policiers laissent de marbre ...
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Un polar très court avec peu de péripéties et peu de fausses pistes. Pour moi c'était mon premier roman de cet auteur et mon premier polar sud-africain. Et j'ai trouvé le résultat plutôt concluant, bien que l'on puisse regretter que ça aille trop vite. le lecteur a quand même le temps de découvrir un peu l'Afrique du Sud, et surtout, de faire une incursion dans le monde de l'art. En effet, la victime est une américaine installée en Grande-Bretagne, experte en peinture de l'Age d'or hollandais et, très vite, il devient évident qu'elle ne s'était pas rendue en Afrique du Sud pour faire du tourisme. Ce n'est pas un grand roman mais l'intrigue se tient et ne manque pas d'originalité, il y a un bon rythme et un style plutôt agréable. C'est sûr que je relirai du Deon Meyer.
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Au col de Sir Lowry, à l'ouest du Cap, des touristes ont la désagréable surprise de découvrir le corps sans vie et dénudé d'une femme, posée sur un muret.

C'est le corps d'Alicia Lewis, experte en peinture hollandaise, retrouvée morte au bord d'une route. Elle était à la recherche d'un tableau disparu de Carel Fabritius, élève de Rembrandt.-

Au coeur de l'Afrique du Sud, deux enquêteurs de la criminelle sont chargés de remonter le fil de cette intrigue picturale.

Un an après son excellent polar La Proie Deon Meyer revient en mode plus mineur avec une nouvelle aventure, la septième, de l'inspecteur Benny Griessel, membre de la brigade criminelle des Hawks et de son fidèle lieutenant Vaughn Cupido

Le tandem de choc de la brigade criminelle des Hawks d'Afrique du Sud est de retour pour une enquête autour du meurtre d'une experte en peinture de l'Age d'or hollandais.

Loin des enjeux politiques et sociétaux auxquels ce romancier phare de l'Afrique du Sud nous a habitué, cette enquête courte ( moins de 200 pages) nous transporte dans le monde de l'art sur les traces d'une oeuvre inédite, rattachée à l'histoire d'un célèbre peintre de l'âge d'or hollandais.
.La femme au manteau bleu est encore un roman dont l'intrigue est basée sur une toile de Fabritius, après le plus ambitieux et plus virtuose Chardonneret de Donna Tartt.

Car si Deon Meyer nous sans doute habitué à enquête plus consistante, La Femme au manteau bleu, aux dialogues percutants, à l'humour et à au regard bienveillant pour les faiblesses de ses anti héros reste une lecture fort agréable à lire.

Et pour ceux qui découvriraient ce romancier, une porte d'entrée assez facile à ouvrir pour accéder à l'univers riche et complexe de Deon Meyer.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Il y a fort longtemps que je voulais découvrir Deon Meyer et ses enquêteurs Benny Griessel et Vaughn Cupido, le tandem de choc de la brigade des Hawks au Cap.
Une femme est retrouvée entièrement nue sur le parapet du point panoramique du col de Sir Lowry ,Un corps a été entièrement lavé à l'eau de Javel , il n'y a aucune trace d'ADN. ... Ils vont vite découvrir que cette ressortissante américaine installée e Grande-Bretagne est experte en peinture de l'Age d'or hollandais, en quête d'un tableau de Fabritius, un élève de Rembrandt...
L'enquête va entrainer nos enquêteurs dans un monde inconnu.
Une enquête peu convaincante , peu ou pas de péripéties, les informations arrivent à point nommé et le dénouement est vite là. Bref une lecture en demi-teinte qui ne m'a pas convaincue
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Voici un roman mettant en scène Benny Griessel, enquêteur d'Afrique du Sud, très court, vite lu et aussi vite oublié !

Griessel et Cupido enquête sur le meurtre d'une femme blanche, américaine, qui travaillait dans le milieu de l'art. Elle recherchait des tableaux disparus de la grande époque de la peinture hollandaise. Il n'est donc pas étrange qu'elle se soit rendue en Afrique du Sud pour cela mais pourquoi est-elle morte ?

Dans les précédents romans il y a toujours 1 histoire parallèle à l'intrigue qui permet d'en comprendre tout le sens mais ce n'est pas le cas ici, la “petite” histoire est plutôt comme une verrue parce qu'elle n'explique rien, elle aurait plutôt tendance à embrouiller le lecteur.

Il peut parfaitement ne pas être lu, il ne s'y passe rien concernant les personnages. le suivant est beaucoup mieux, je l'ai déjà lu !

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