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3,43

sur 50 notes
Pas vraiment un polar, pas tout à fait un roman noir non plus, ce livre de Sam Millar fait un pas de côté. On y suit des personnages autant - voire plus - que l' enquête en elle-même. Heureusement de noir il reste l'humour, souvent chirurgical, pour contrebalancer la violence qui opère dans un roman qui peine à gagner en tension. L'écriture est incisive mais les mots parfois crus. Bref je referme avec un plaisir mitigé.
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Au Scalpel est le nouvel opus d'une série de romans mettant en scéne Karl Kane. Je n'ai pas lu les précédents et ce n'est pas celui-ci qui me donnera envie de m'y pencher...

Et ceci pour une raison simple : tout ceci est affreusement classique et je n'ai pas réussit à me plonger dans cette histoire. On y suit donc le détective Karl Kane. Celui-ci se retrouve, un peu par la force des choses, a enquête sur une affaire dans laquelle une famille entiére à été tué suite à un incendie. La police a classé l'affaire mais les parents du couple pensent qu'il s'agit d'un acte criminel. Ce qui n'est pas une révélation pour le lecteur qui sait que le crime a été commis par un certain Scarman et qu'il a enlevé une petite feuille auparavant. Et qu'il la séquestre...

Pas de grandes surprises donc puisque la majorité des révélations est faite dés le départ avec les deux points de vue proposé par le roman. Globalement fluide et pas mal écrit, autant qu'il est dynamique, il ne m'a pas vraiment convaincu car son intrigue est entendu (même si pas trop mal mené), ses personnages secondaires assez inutiles et son héros pas si intéressant que ça. le coeur du roman restant l'enquête et sa résolution, il s'en sort par ce biais. Mais à oins que vous n'ayez vraiment rien d'autre à vous mettre sous la dent, il est difficile de vous conseiller la lecture de ce roman qui manque grandement de retournement et de travail de profondeur...
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Dire que j'aime retrouver Karl Kane est un euphémisme. Un rien blasé, irréductible, il semble se moquer de tout, ne rien craindre. "Pourvu que ce ne soit pas l'homme au poisson rouge. Je ne suis pas d'humeur à écouter le délire parano d'un solitaire. Je peux le faire quand je veux en me parlant tout seul." (p.137) Et pourtant, son amour pour Naomi, et un humanisme certain bien que caché, le tiennent et lui font accepter des affaires pas toujours rentables.

Cette fois-ci, Sam Millar emmène son héros encore plus loin que dans ses aventures précédentes. Il va devoir regarder en face son enfance et ses traumatismes qu'il n'a confiés à personne. le tueur qui sévit dans Belfast est son pire ennemi. Je n'en dévoilerai pas plus pour ne rien gâcher du plaisir des futurs lecteurs.

Sam Millar avec beaucoup de noirceur, mais aussi pas mal de légèreté notamment dans le je-m'en-foutisme de façade de Karl, traite de l'enfance maltraitée en Irlande du Nord -thème malheureusement universel-, de la manière dont on peut vivre avec. C'est noir, violent parfois, mais aussi réaliste. le flegme de Karl apporte une touche d'humour et de légèreté dans une ambiance très sombre. Les romans de Sam Millar sont forts, originaux et ses personnages inoubliables. Au scalpel est dans la droite ligne des précédents, avec un côté fascinant qui fait que je n'ai pu le lâcher qu'à la toute fin. En outre, chaque court chapitre est surmonté d'une citation de divers auteurs ou personnages et je ne résiste pas à citer celle du chapitre 35, attribuée à Mark Twain dans son Carnet 1894 : "De toutes les créatures de Dieu, seul le chat ne peut être asservi par le fouet. Si l'on croisait l'homme et le chat, cela bénéficierait à l'homme mais dégraderait le chat."
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Merci à la maison d'édition et au site Babelio pour l'envoi de ce livre et leur confiance.

Note 15/20

Avis : Dans l'ensemble, j'ai plutôt apprécié ma lecture. En effet, c'est un bon petit roman à suspense mais il est loin de révolutionner le genre. Il se lit facilement et rapidement; malheureusement, il reste quand même assez simple et prévisible. J'ai malgré tout passé un bon moment surtout grâce à l'humour de notre personne principal. C'est un bon livre pour commencer le genre car c'est un thriller très simple et soft, un page turner.

Ici, on retrouve une histoire pas très originale. Un tueur, une disparition, une jeune fille pas si innocente que ca, une enquête, bref du déjà vu mais l'humour et la façon d'aborder les chose par l'auteur rendent la lecture agréable. L'histoire passe bien et je me suis retrouvée embarquée dans cette petite enquête.

Les personnages sont pour moi le point fort du roman. Certes, ils ne possèdent pas une psychologie énorme et n'évoluent pas spécialement durant le roman, mais leur côté un peu décalé apporte une réelle fraîcheur au roman.

La plume de l'auteur est très agréable à lire. Elle est fluide, remplie d'humour, même si parfois un peu lourde : en effet, l'auteur a une petite obsession avec l'attribut masculin au travail et il en parle régulièrement.

En bref, c'est un livre qui m'a plu malgré quelques petits points négatifs qui ne m'ont pas empêchée de rentrer dans ma lecture. J'ai passé un bon moment et j'ai été emportée dans ma lecture. J'aurais aimé un peu plus de noirceur et de suspense mais c'est quand même un page turner.


Les personnages :


Nous retrouvons ici principalement Karl et Scarman

On découvre dans un premier temps Karl Kane, qui est un célèbre détective privé de Belfast. C'est un homme drôle et attachant. Hanté par un lourd secret et la perte de sa mère assassinée á côté de lui alors qu'il était encore enfant. C'est un homme gentil, bon et un excellent détective. Il va au bout des choses et fait tout pour s'en sortir et réussir. Il sera aider par Naomie sa compagne, une femme agréable et loyale. Elle est merveilleuse avec lui et fait tout pour l'aider, dans n'importe quelle situation.

Puis on à , Tara, qui est une jeune fille au lourd passé. Elle a vécu et commis des choses abominables. C'est une fille à la personnalité étrange, parfois dérangeante pour certains, mais moi, je l'ai trouvée extrêmement courageuse, avec du sang froid. Derrière ses airs de fille cynique et méchante se cache une petite fille blessée et perdue. J'ai beaucoup aimé son personnage.

Il y a aussi Dorothy qui est une autre jeune fille qui va croiser la route de Tara: en effet, les deux jeunes filles se retrouvent enlevées ensemble. Dorothy, contrairement à Tara, est une jeune fille plutôt calme, douce et naïve. Cela lui donne un petit côté enfant, angélique. Mais derrière sa fragilité se cachaient quand même une force de caractère et du courage.

On retrouve également Scarman qui est un homme absolument abominable. On se retrouve ici face à un pervers pédophile qui a violé et kidnappé Tara et Dorothy. Aucune morale, aucun remord, aucun sentiment n'animent cet homme. C'est un personnage absolument détestable et malsain.

On a aussi quelques personnages secondaires, comme par exemple Lipstick, une jeune prostituée que Karl protège et chérit de tour son coeur. Ou bien encore Chambers, un policier qui empiète sur l'enquête de Karl. Mais aussi Butler, un abominable homme qui pense que l'agent et le pouvoir peuvent tout permettre. Il y a également les grands-parents de Dorothy.


L'histoire:

Quand le livre commence, nous retrouvons Karl, un détective brillant de Belfast. Lorsqu'un homme vient dans son bureau alors qu'il n'en a pas les moyens, il décide de quand même faire quelques recherches pour celui-ci. En effet, sa famille vient de mourir dans un incendie au premier abord accidentel, mais le vieil homme refuse de croire cette théorie. Karl va alors se lancer dans une quête de la vérité

D'un autre côté, nous découvrons l'enlèvement de Dorothy, une des petites filles du vieux monsieur. Elle rejoint Tara, une autre jeune fille enlevée par le même psychopathe appelé Scarman. Les deux filles sont totalement différentes : l'une est naïve et terrorisée, l'autre est beaucoup plus sombre. Elles vont pourtant devoir cohabiter et essayer de faire face à leur nouvelle réalité.

Ensuite, bien entendu, les deux histoires vont se continuer en parallèle, nous allons suivre Karl dans sa quête de vérité qui essaie en même temps de faire face à son passé douloureux. Sa mère a été assassinée lorsqu'il était enfant et laissée pour morte à côté de lui. Deux histoires de survie, de lutte et de noirceur.

En bref, nous avons ici une histoire certes peu originale mais qui se lit facilement. Un bon petit thriller qui ne révolutionne certes pas le genre mais qui se lit avec plaisir. Par contre, je regrette que le résumé en racontait beaucoup trop sur le livre pour moi.



L'auteur:

J'ai trouvé la plume de Sam Mollat agréable à lire, assez légère mais surtout rythmée et piquante. En effet, l'auteur a mis pas mal d'humour dans son roman qui apporte un peu de fraîcheur à la lecture.


Conclusion :

Je vous le conseille, j'ai passé un bon moment de lecture, même si quelques points négatifs ont agrémenté ma lecture comme par exemple le manque de rebondissements; j'ai quand même trouvé que tout était relativement bon dans ce roman.

Les personnages sont pour moi le point fort du roman. Une palette diverse de personnages avec chacun une personnalité bien développée. J'ai aussi aimé leur humour et j'ai réussi à m'attacher un minimum à eux.

L'histoire n'est pas très originale mais elle se lit bien. Un petit thriller simple mais qui m'a permis de m'immerger dans l'histoire. Bien que je voyais venir les événements, j'ai quand même pris un certain plaisir à suivre cette enquête. Par moments, j'étais en colère ou triste, et surtout je voulais toujours savoir la suite. Par contre, pour moi le résumé en dit beaucoup trop et il m'a un peu gâché ma lecture.
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Bahhhh, curieux. Accroche terrible, les premières pages vous emportent. Puis... des déceptions. Un ensemble inégal. Les scènes de sexe lourdingues, pas vraiment utiles. Dommage, on sent du potentiel mais des ratés dans l'écriture m'ont fait décrocher. Attention, juste un avis personnel.
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Ce roman a été pour moi agréable à lire, malgré les notes vulgaires le traversant. Et, je dis bien des notes puisque cela amplifie le côté noir de l'intrigue. Et heureusement, car si on s'attend à lire un roman noir absolument impitoyable, on se trompe ! En réalité, je n'arrive même pas à lui donner un genre. le genre polars, pourquoi pas ? Mais, on ne suit pas l'enquête du détective mais sa vie personnelle, pour la simple et bonne raison qu'il n'y a pas d'enquête. On a le sentiment que tout ce qui arrive, arrive par hasard. le genre roman noir, vous l'aurez comprit, il faudra repasser. Ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais. Karl s'est fait violé, d'accord ! Mais comme beaucoup de personnages de fiction. Ça n'a rien de nouveau, ça n'a rien de plus noir qu'ailleurs … Bref, ça reste du vu et du revu. Ce n'est pas non plus un thriller. On n'a pas ce sentiment oppressant, ce stress voire même cette panique en lisant ce roman. Tout est déjà en place, tout se devine déjà. Aucun suspens !
Cela-dit, comme je l'ai dit, sa lecture reste agréable. Il se lit vite et facilement. Les personnages sont sympathiques. Karl est un personnage principal bien créé. Il reste un homme bon malgré ses phases de violence extrême. Naomie est une jeune femme très présente pour lui et foncièrement amoureuse de lui. Voilà, rien de nouveau là encore. Mais c'est un cocktail qui fonctionne, alors pourquoi pas ?
Ce qui m'a le plus posé problème, c'était ces longues citations au début des chapitres. Tellement longues qu'elles nous sortaient de l'histoire. D'autant plus que la plupart du temps, on se demandait pourquoi ces citations étaient posées ici. On n'y voyait aucun lien entre le chapitre en question et la dite citation.
Evidemment, il s'agit d'une série. Donc, en commençant par celui-ci, il nous manque beaucoup d'éléments afin de cerner complètement le personnage de Karl, ainsi que le lien qui l'unit à Lipstick. On imagine aisément que Tara fera partie d'un autre chapitre et on a hâte de le découvrir, parce qu'elle reste le personnage le plus intrigant et le plus sombre de ce roman.
Malgré tous ces défauts, ça reste un bon moment de lecture en somme si on ne s'attend pas à lire véritablement un roman noir, ni une enquête menée intelligemment.
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Karl Kane, détective privé à Belfast, est chargé d'enquêter sur un incendie suspect dont une famille entière a été victime.
Il est loin d'imaginer que ses recherches vont réveiller les démons du passé.....
Je découvre Sam Millar avec ce roman.
Moi qui croyais que son écriture allait être un peu pompeuse....c'est loin d'être le cas! Yeux chastes, méfiez-vous.
Même si l'histoire n'est pas des plus originales, on se laisse embarquer par des personnages hors du commun.
Un spécimen, ce Karl Kane, anti-héros par excellence surtout quand il parle de ses hémorroïdes.
Avec un humour grinçant, l'auteur nous entraîne dans deux histoires parallèles qui, évidemment, se rejoignent en cours de lecture.
"Au scapel" étant le 4ème tome de la série, il peut néanmoins se lire indépendamment (ce que j'ai fait) mais je compte bien me procurer les précédents.
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Si le titre Au scalpel évoque une lame tranchante, acérée, il est surtout à l'image de l'écriture de Sam Millar. Roman noir par excellence, mêlant habilement violence et humour noir, l'auteur nous livre une excellente histoire en compagnie de Karl Kane, détective privé de Belfast.

J'ai vraiment bien aimé l'ambiance sombre qui émane de ce roman. En effet, Karl Kane se retrouvera confronté à l'homme qui a brutalement assassiné sa mère et l'a laissé pour mort à côté du cadavre. Parallèlement, deux jeunes filles se retrouvent enlevées et séquestrées. Alors je vous demande quoi de plus sombre que l'ultime combat entre ces deux hommes ? Mais surtout d'être séquestrées par un psychopathe qui travaille soit disant à la terreur, à la violence et au scalpel ? le tout est renforcé par l'ambiance « mafieuse » de Belfast, qui est marquée par son passé et la violence qui hante encore les rues.

Si Au scalpel, se veut être d'une noirceur absolue à travers son histoire, les thèmes abordés, il n'y a réellement aucune tension tant on se doute de la finalité de l'histoire. Mais surtout ce qui allège l'atmosphère oppressante c'est l'humour noir, teinté de sarcasme de Karl Kane qui est bien présent.

A la manière du style de l'auteur, brut et rustique, Karl Kane est un personnage très charismatique. Comme beaucoup de protagoniste, que les auteurs aiment faire vivre à travers différentes histoires, il est marqué par son passé. Son humour, il s'en sert pour soigner ses blessures, ses cicatrices, à la fois physiques et psychologiques, ce qui le rend très humain, très encré dans notre monde, très réel. Il est aussi à l'image des romans noirs, Karl Kane se veut être un personnage qui tente de faire valoir sa propre vision de la justice.

Si je devais choisir ce qui m'a le plus plu dans ce roman, ce qui m'a vraiment séduite, entre l'intrigue et le personnage emblématique de Karl Kane ? Assurément lui, parce qu'il faut avouer, même si ce n'est pas dérangeant en soi, que le scénario, l'intrigue finalement est très classique. L'enquête est par moment au second plan, tout comme j'aurai aimé avoir plus de moments avec ce tueur qui avait un tel potentiel… Pour moi, le point fort de ce roman, c'est incontestablement Karl Kane ! Avec son humour, son problème d'hémorroïdes (désolé, quand tu lis ce roman, tu ne peux pas passer à côté de cela), Karl Kane est un personnage marquant, il ne laissera pas insensible tant il est bien travaillé sur le plan psychologique. C'est lui qui m'a donnée envie de découvrir les précédents romans de Sam Millar.

Malgré une trame assez classique, Au Scalpel sera séduire son public grâce à l'emblématique Karl Kane et son humour grinçant. Sam Millar livre un roman d'où émane une réel noirceur. Si notre psychopathe travaille à la terreur, au scalpel et à la violence… peut être que le coupable n'est pas Scarman mais bien Sam Millar qui a le même mode opératoire...
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Ce livre s'inscrit dans une saga policière dont le personnage principal est Karl Kane, détective privé un peu rustre de Belfast.
Malgré tout, il n'est pas indispensable d'avoir lu les précédents opus pour apprécier celui-ci.
Dans ce roman, il s'agit d'une enquête autour de la disparition d'une enfant dont le ravisseur a massacré toute la famille en incendiant sa maison. Les grands-parents de la petite Dorothy chargent Kane de mener l'enquête car ils ne sont pas d'accord avec la police qui accusent les parents de négligence et d'être responsable de l'incendie.
Cette enquête va faire ressurgir les terribles souvenirs d'enfance de Karl Kane.

Voilà pour l'histoire en elle-même.
Mon avis est un peu dur sur ce livre. Je n'ai pas lu les précédents et on ne peut pas dire que la lecture de ce tome m'ait donné envie d'en savoir plus sur le personnage.
J'ai été rebuté d'entrée de jeu par l'extrême vulgarité du récit. Les personnages ont un vocabulaire plus que grossier. Cela pourrait encore se comprendre si le but était de donner juste un aspect brute et rustique au personnage mais la vulgarité se retrouve également dans la narration et pour moi c'était très désagréable. La même histoire aurait pu être écrite dans un style plus sobre.
En mettant de côté cet aspect du roman, je ne peux pas dire non plus que l'histoire m'ait captivée. Rien de nouveau, des personnages stéréotypés, un mauvais rendu des émotions. C'était froid et terne. J'aime les romans policiers mais je n'ai pas été prise par le suspense, je n'ai pas été angoissée pour les victimes, je n'ai pas espéré un dénouement heureux. J'attendais impatiemment la fin.
La seule chose qui m'a obligée à en terminer la lecture, c'est mon engagement envers Babelio et la masse critique.
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Ce roman m'a autant plu que les tomes précédents. Quelques points m'ont un peu gênée, mais ce sont des détails. le premier concerne Dorothy. Lorsqu'elle raconte des éléments de sa vie à Tara, elle parle de ses grands-parents. Entre ce qu'elle dit et ce que dit Tommy à Karl, il semblerait que du côté maternel, Dorothy ait quatre grands-parents au lieu de deux. de ce fait, je me suis dit, pendant tout le reste du roman, qu'on allait finir par apprendre que Tommy et Thérésa n'étaient pas les grands-parents de l'enfant, mais des voisins très proches d'elle moralement.

L'autre point discutable est un minuscule détail. Dans les premiers tomes, il est dit que le nom de famille de Naomi est Kirkpatrick. Dans «Au scalpel», cela devient Killpatrick.
[...]
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