Le Chant d'Achille

Malheureusement, malgré tous les avis extrêmement positifs que j'ai pu lire, je n'ai plus accroché à ce livre…

Tout d'abord sur les points positifs parce qu'il y en a. J'ai beaucoup aimé la plume de Madeline Miller que j'ai trouvé très poétique, très douce. J'ai adoré Patrocle : ses faiblesses, sa douceur, sa volonté d'épauler Achille quoi qu'il en coûte malgré les caprices de celui-ci. Leur relation m'a beaucoup ému et m'a déchiré le coeur à la fin du roman.

Mais, mis à part ces éléments, je n'ai pas accroché au récit, dont je connaissais déjà parfaitement la fin. Il y avait beaucoup mais beaucoup trop de détails et de descriptions, tellement que je m'y suis noyée.

La première moitié m'a paru terriblement longue, les deux personnages sont envoyés à droite à gauche, le temps passe sans que rien n'arrive réellement. J'ai pensé que le récit allait décoller au moment où la guerre de Troie débute. Pendant quelques chapitres, je me suis vraiment laissée embarquée et je pensais que j'aillais enfin pleinement apprécié. Mais, tout retombe très vite. de nouveau, on entre dans un amas de descriptions, de passages pas toujours utiles et je me perd à nouveau.

La fin est effectivement très émouvante, même si je connaissais l'issue, ça ne m'a pas empêché d'être triste mais sans verser ma petite larme.

C'est vraiment dommage mais je pense que mes attentes étaient beaucoup trop élevées pour ce livre, je me suis laissée avoir par les nombreux éloges sur ce livre. Tout ne peut pas plaire à tout le monde.

J'ai aimé. Mais. Pas un gros "mais", bien entendu, cependant, je me dois de nuancer un peu les propos que j'ai pu lire et entendre. le style de Madeline Miller est simple et léger. C'est une caresse, presque à fleur de peau. Les scènes intimes ont quelque chose de très charnel sans verser dans le voyeurisme, ni au contraire dans l'extrême pudeur. Les choses sont dites comme elles doivent l'être, avec beaucoup de tendresse et de sentiment. Pour moi, ça repose beaucoup sur le fait que c'est à travers les yeux de Patrocle, homme sensible dont la part de féminin est prédominante, que l'on suit les aventures d'Achille. En dehors de quelques instants particulièrement forts, j'ai du reste trouvé la narration très égale, presque linéaire et pourtant pas soporifique ; je dois l'avouer, je n'ai pas vu passer le bouquin.

Madeline Miller, sans se départir de l'aspect mythologique de la guerre de Troie, nous raconte surtout une histoire d'hommes. Les dieux sont présents, comme chez Homère, ils sont capricieux, fiers, presque humains. Mais ce sont les hommes dont les choix sont décisifs, douloureux. le lecteur ne peut qu'assister, impuissant, à ce jeu d'échecs qui se déroule sous ses yeux. Les femmes, secondaires dans la vie d'Achille et de Patrocle, amants maudits, trouvent pourtant leur voix dans la peur de Thétis, dans la colère et l'impuissance de Deidamie, dans la douceur et la bonté de Briséis. le personnage de Briséis notamment, dans son amour silencieux, s'est révélé pour moi sous un autre jour. Bref, si tu aimes les récits mythologiques à hauteur d'homme, je te propose cette revisite de la guerre de Troie. Si tu t'attends à de l'action et à une bonne dose de romance, tu peux passer ton chemin...

Est-ce parce que je connaissais déjà trop bien le mythe d'Achille ? La fin ne m'a pas autant ému que ce que les avis laissait croire.
Cependant, le chant d'Achille reste une très bonne lecture. Madeline Miller écrit très bien, des phrases simples couplées à des métaphores poétiques et un langage très imagé. Elle fait de Achille et Patrocle un couple tragique. de l'enfance des garçons à leur fin sur le champs de bataille, on assiste à leur évolution. Ils se découvrent l'un l'autre, découvrent leurs corps, leurs places. Un lien fusionnel et amoureux se créent entre eux, comme une évidence.
La traduction française est agréable à lire. Si vous aimez la mythologie, les histoires tragiques et que vous voulez passer un agréable moment, n'hésitez pas ce livre est fait pour vous !

J'avais envie de lire depuis longtemps cette n-ième version de la guerre de Troie mais au postulat original, il est vrai. Et je me suis enfin décidé à me le procurer, pour découvrir ce roman tant apprécié de la critique et du public.

Mes attentes étaient élevées, étant donné que j'ai une véritable passion pour l'Iliade et l'Odyssée depuis mon enfance. Mais je ne suis pas puriste là-dessus et apprécie tout autant les reprises et réinterprétation, source inépuisable de réflexions menées sur des canevas anciens. Jouer dans un cadre que les gens connaissent est une formidable opportunité de pouvoir développer des choses sans avoir à expliquer tout le détail de l'univers ou ses personnages.

Bref, tout ça pour dire que je me suis lancé dans la lecture avec quelques attentes sur cette relation Achille-Patrocle.
Disons tout net, je me suis pas mal ennuyé au début. D'ailleurs suffisamment pour que je laisse trainer ma lecture pendant quelques jours en me forçant à reprendre le livre pour progresser. J'ai fini par dépasser les 280 premières pages et arriver à la guerre de Troie et là, tout à coup, j'ai trouvé que l'on avançait enfin dans la bonne direction. La fin m'a paru bien plus claire et précise, beaucoup plus intéressante que le début. Ouf !

En fait, le souci que j'ai eu, c'est Patrocle. le personnage est vite décrit comme timide, introverti et mutique. Ce n'est pas un problème de caractérisation que je lui ai trouvé (beaucoup de protagonistes de Murakami sont dans ce genre) mais c'est son absence pratiquement permanente d'agissement sur le scénario. Patrocle m'a semblé presque jusqu'à la fin inconsistant. Une des seules caractérisation est qu'il aime Achille, ce qui ne m'a clairement pas suffit. Il a deux participations actives au scénario avant la guerre de Troie (ce qui ne fait pas beaucoup), qui consistent toutes deux à retrouver Achille lorsqu'il s'est éloigné. D'autre part, en dehors de son geste malheureux en début d'ouvrage, il n'a pas de moment fort.
La résultante est que j'avais la sensation de suivre un personnage geignard et pleurnichant pendant des années. Certes, c'est un jeune puis un adolescent, mais il me manque du corps : qu'aime-t-il ? (en dehors d'Achille), que fait-il, que pense-t-il ? Achille était bien plus vite défini que lui.

Heureusement la donne change à Troie, et je me suis demandé alors si l'effet était voulu. Madeline Miller a-t-elle voulu montrer comment en devenant adulte on fait des choix et agit plus sur le monde ? Patrocle prend des initiatives, fait preuve de sentiments (autre que pour Achille), propose des choses ... Bref, Patrocle devient un personnage. Et je pense que si cela était venu dès le début, j'aurais bien plus apprécié le livre. En l'état, j'ai passé une centaine de pages à me demander ce qu'Achille trouvait à Patrocle.

Mon avis est donc négatif au global, la bonne fin ne me fait pas oublier que je me suis trainé le livre jusqu'à elle avant d'avoir enfin mon contentement de lecture. C'est dommage pour moi, sans doute que je n'apprécie pas ce roman à sa juste valeur. Il en reste que l'histoire d'amour entre Patrocle et Achille est belle, une romance tout ce qu'il y a de plus romantique. Mais ça ne m'a pas suffit !

Est-il besoin de résumer cet ouvrage? Il s'agit de l'histoire d'Achille et Patrocle, mais du point de vue de ce dernier. Nous explorons ici leur histoire commune, sentimentale surtout.
Autant le dire tout de suite, ce livre m'a été "survendu" par mes élèves. On m'a assuré qu'on ne sortait pas indemne de cette lecture. Et bien... c'est raté. La lecture est prenante, c'est bien ficelé, bien écrit, et c'est toujours un plaisir de se replonger dans la guerre de Troie. Mais je n'ai pas trouvé que ce récit apportait grand chose de nouveau, en dehors de la romance Achille / Patrocle, mais qui ne m'a pas intéressé outre mesure, et qui est cousue de fil blanc.
Pour ce qui est des réécritures troyennes avec de grandes batailles et de beaux sentiments, je resterai sur celle de Gemmell.

Après avoir beaucoup entendu parler de ce livre sur les réseaux sociaux, je me suis mise à cette lecture moi aussi.
Globalement, c'est une lecture mitigée. J'avais beaucoup d'attentes concernant ce livre et l'engouement est très vite retombé.
Pour ce qui est du positif : le style d'écriture de l'auteur, très agréable à lire, fluide, on s'imagine vraiment bien les paysages. le thème de la mythologie abordé sous le regard de Patrocle. C'est original. J'ai beaucoup aimé en tout cas ce monde mythologique, un retour à la guerre de Troie (l'année dernière avec mes élèves nous avions travaillé sur le Feuilleton d'Ulysse, j'ai eu l'impression de retrouver parfois des amis même si Ulysse par exemple n'est pas mis sous son plus beau jour dans cet ouvrage). J'ai beaucoup apprécié les personnages de Chiron et Briséis... Même si je trouve qu'on ne parle pas assez de Briséis dans ce roman.
Les points négatifs : Les personnages. Patrocle et Achille. J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher à ces personnages. Je n'ai pas forcément été touché par les péripéties. J'ai trouvé Achille plutôt agaçant surtout à la fin.
Quelques longueurs, peu d'action durant tout le long de cet ouvrage. FInalement, l'action est surtout à la fin de l'ouvrage, on l'attend presque !

J'ai beaucoup aimé les personnages. Eh bien, j'ai surtout aimé Patrocle. Sa dévotion à Achille vous coupe le souffle, la façon dont il le soutient et l'accompagne, il le cherche sans relâche jusqu'à ce qu'il le retrouve quand ils essaient de les séparer. Peu importe ce qui se passe ou les obstacles qui se présentent sur son chemin, il reviendra toujours vers Achille. C'est un beau personnage et tellement compatissant, il est toujours prêt à aider et à sympathiser avec les autres même si cela ne profite pas à lui-même. Il a un coeur d'or et il est si loyal que je l'aimais trop. Bien que parfois cela puisse être un peu trop intense.

D'un autre côté, j'aimais aussi beaucoup Achille, sa puissante énergie positive perçait les pages, il était comme un soleil brillant et fort qui aimait Patrocle si naturellement, comme s'il avait toujours su qu'il serait son plus proche compagnon. J'aimais le jeune Achille qui était inconditionnel avec Patrocle, même lorsqu'il luttait contre la haine de sa mère pour son frère d'armes, avec toutes ses tentatives pour les séparer. Équilibrer ce qu'il voulait avec ce que sa mère voulait n'était pas facile du tout et la vérité est que je ne l'enviais pas dans ce sens. Cette déesse était vraiment effrayante. Thétis m'a donné la chair de poule.

Cependant, les deux ont eu du mal à se retrouver encore et encore, découvrant les vrais sentiments qu'ils avaient l'un pour l'autre et qui ont grandi au fil des ans. J'ai adoré leur relation, c'est tellement beau et pur. Leurs interactions sont trop belles, il y a de belles scènes dans ce livre qui m'ont laissé haleter d'amour avec des petites étoiles dans les yeux. Toute la partie romantique était si épique et belle. J'ai adoré même si j'aurais aimé que l'auteur le développe davantage.

« Je ne pouvais le reconnaître qu'au toucher, à l'odorat ; Je le reconnaîtrais aveugle, à sa façon de respirer et à la façon dont ses pieds touchaient le sol. Je le reconnaîtrais dans la mort, à la fin du monde."



Puis vient la guerre de Troie et Achille change, ou plutôt s'éloigne de son enfance naïve pour devenir un vrai guerrier qui commet quelques erreurs qui m'agaçaient, mettant Patrocle au second plan et le laissant gagner sa propre fierté sur la vie des autres. À ces moments-là, j'étais très contrarié par ce personnage, même avant la bataille. Il a pris des décisions que je n'aimais pas du tout. Je comprends que le sang des dieux coule dans ses veines, mais cela ne justifie pas ses actions. Aussi, parfois il peut être trop naïf, même si je préfère sa naïveté à son orgueil.

Par contre, il y a quelques personnages intéressants que j'aimais beaucoup comme Chiron que je l'adorais et Ulysse. Pour dire la vérité, il y a une grande variété de personnages dans ce livre car il unit différentes époques et civilisations, des différents royaumes qu'ils visitent au fil des ans aux guerriers de différents endroits. Honnêtement, je n'ai pas pu garder tous les noms lol mais certains se sont démarqués plus que d'autres.

"Il a souri, et son visage était comme le soleil."



L'intrigue de ce livre était très intéressante. J'adore la mythologie grecque, c'est un sujet qui me passionne. Dans cette histoire, nous rencontrons des dieux et des êtres mythologiques comme un centaure. J'ai aussi aimé qu'il s'inspire de L'Iliade et de L'Odyssée, racontant le mythe de Troie mais centré du point de vue de Patrocle et de sa relation avec Achille. J'ai trouvé que c'était une approche très intéressante. Je n'ai pas lu les livres mais j'ai vu le film j'adore hahaha donc ça compte (?

Compte tenu du film Troy et de ma connaissance de la culture générale, je savais déjà pas mal comment l'histoire allait se dérouler, mais cela ne m'a pas empêché de lutter avec ce livre. Il y a des parties pleines de drame qui m'ont complètement brisé le coeur. Mais il y a aussi de belles scènes pleines d'émotions. L'histoire d'amour est ce que j'ai le plus aimé dans le livre, mis à part les personnages et le décor.

Ce qui m'amène à dire que la plume de l'auteur est impeccable, ses descriptions sont belles et les sentiments des personnages atteignent votre âme, ils vous transportent dans un monde vraiment beau mais aussi impitoyable. J'ai adoré le cadre de ce livre, il était si beau et spécial.

"Je ne le quitterai jamais. Ce sera comme ça, toujours, tant qu'il me quittera."



Cependant, je dois avouer que je me suis bien ennuyé avec ce livre. Au début, j'étais super accro parce que j'adorais ce décor, j'étais complètement dans l'histoire. Mais ensuite, les chapitres passaient et passaient et toujours rien ne se passait. C'est alors que la lecture a commencé à me rendre très dense et que j'ai senti que je n'avançais plus. Je m'attendais à plus de bataille, plus d'action et plus de sang, mais tout ce que j'ai eu, c'est du drame, des plans de guerre et des allers-retours qui ont pris des centaines de pages pour atteindre leur destination. Ce n'étaient même pas vraiment des plans, mais unissant des guerriers de différents endroits et ayant des problèmes pour plaire aux dieux. Parce qu'il y a toujours un dieu qui se fâche.


À un certain moment, il y avait tellement d'obstacles sur le chemin que j'ai pensé finir le livre sans qu'ils n'atteignent jamais Troie. Et ce n'étaient pas des obstacles choquants du genre de ceux remplis d'émotion. Non, c'était que le vent ne soufflait pas en faveur et c'est pourquoi il n'était pas possible d'avancer. Ce manque d'adrénaline m'a fait envisager d'abandonner le livre à quelques reprises et je l'aurais probablement fait s'il n'y avait pas eu le fait qu'il s'agissait d'une lecture conjointe.


Ce n'est que dans les chapitres suivants que ça s'améliore. Et quand la bataille arrive, nous ne voyons même pas de combat parce que le livre est raconté du point de vue de Patrocle... et Patrocle ne combat pas. Ainsi, dans les dernières pages, nous avons finalement eu de l'action et du gore, mais pas assez pour compenser tant de pages à lecture lente. Cette fin est venue soudainement et s'est précipitée, pleine d'adrénaline et de situations dramatiques qui m'ont laissé pleurer les yeux. Avec la lenteur de la lecture et sachant ce qui allait se passer, je n'aurais jamais imaginé fondre en larmes comme ça. Mais c'est que ce livre m'a brisé le coeur et les mots de l'auteur ont un moyen d'atteindre mon âme. C'était cruel et puis beau. J'insiste encore une fois sur le fait que la partie romantique était ce que j'aimais le plus.

Quand j'ai vu que la lecture n'allait pas avoir beaucoup d'action, j'ai pensé qu'elle serait axée sur la romance. Mais ce n'était pas comme ça non plus et peut-être que si je m'étais davantage occupé de la romance entre les personnages, j'aurais été beaucoup plus accro. Au cas où vous ne l'auriez pas encore entendu ou compris, c'est un livre LGBT et j'ai vraiment aimé ça. J'ai trouvé dommage que ce soit si lent car l'histoire d'amour est épique et belle et j'ai adoré, mais je ne peux pas ignorer que le reste de l'intrigue m'a pas mal ennuyé. J'attendais beaucoup plus de ce livre, mais il y a plusieurs choses que j'ai aimées.

Première incursion pour moi du côté de la mythologie grecque. J'ai apprécié la façon dont l'histoire est racontée, simple et facile. J'ai été réconfortée par l'exactitude dans la description des faits et dans l'évolution des personnages.

Par contre, je m'attendais à me laisser emporter par l'histoire, ce qui n'est pas arrivé, j'ai plutôt lu ce roman comme on lit un article documentaire. Je n'ai pas été conquise par les personnages, je n'ai pas vibré de leurs émotions.

Ça fait maintenant un petit bout de temps que j'ai terminé cette lecture, je voulais attendre un peu avant de rédiger ma chronique pour être la plus objective possible. J'avais (énormément) vu ce livre passé sur Instagram et je ne voyais presque que des avis faisant part de coup de coeur.
Malheureusement, pour moi ça n'en fut pas un. Même si j'ai beaucoup apprécié ce récit modernisé de la guerre de Troie, centrée sur les personnages d'Achille, Patrocle et leur histoire d'amitié / amour, et le personnage d'Agamemnon.
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J'ai eu un peu de mal à me plonger dans le récit au début car je trouvais que la description prenait le pas sur l'action, qui selon moi tardait à arriver. Certains trait de caractère des personnages m'ont freiné et empêché de m'attacher à eux. Achille était bien souvent (très / trop) mit en avant, quand Patrocle avait plutôt une attitude de presque soumission et d'adoration aveugle face à ce dernier.
Cela reste cependant une bonne lecture, même si j'ai été un peu déçue après tout les avis excellent que j'avais lu.

Je suis assez mitigée sur ce texte…

On sent qu'il y a énormément de recherches sur la guerre de Troie, le mythe d'Achille…

La plume de Madeline Miller est très fluide et facile à lire. (Ce qui explique les 3 étoiles)

Toutefois le gros point négatif (et pas des moindres) c'est Patrocle (protagoniste de cette histoire).

Il est beaucoup trop « fragile », se victimise sans cesse, une vraie pleurnicheuse… alors ça pourrait fonctionner éventuellement avec un récit beaucoup plus moderne, mais pas avec un guerrier de la guerre de Troie…
Il en devient antipathique à souhait.
Achille bien qu'un peu énervant aussi par moment, est tout son contraire et ça en fait un personnage fort tout en gardant son aspect « humain » avec ses émotions (oui on est bien d'accord un homme peut pleurer ! Mais pas pendant tout le roman 🫣)

Et pourtant on sent réellement que Madeline Miller veut rendre Patrocle attachant, mais pour ma part ça n'a pas fonctionné.

Ayant lu circé avant j'ai été un peu déçue par le chant d'Achille.