La route de Beit Zera

J'ai eu beau me concentrer, je ne suis pas parvenue à rentrer dans La route de Beit Zera... Heureusement pour moi il est court. L'ai lu jusqu'au bout mais n'ai ressenti aucune émotion. Si je ne l'ai pas abandonné la lecture de ce livre, c'est juste parce qu'il a été sélectionné par les Editions points dans le cadre du prix du roman 2016 dont je suis jurée. Je suis désolée pour Hubert Mingarelli.

En Israël Stépan vit dans une maison isolée près de la forêt avec sa chienne vieillissante et qui perd ses forces. Stepan reçoit régulièrement la visite d'un jeune palestinien qui l'intrigue.
Stepan gagne sa vie, très faiblement, en confectionnant des boîtes. Il aimerait revoir son fils qui a dû fuir car il a tué un homme.
Stepan allume une cigarette, la fume, l'éteint, la jette dans l'évier, la remplace par une nouvelle. C'est lassant et l'histoire n'avance pas vraiment, les faits racontés sont répétitifs. Pas vraiment convaincant. Je n'accroche pas et voudrais rapidement terminer pour passer à autre chose. Et j'ai l'impression que ça part dans tous les sens, je ne comprends pas où l'auteur nous emmène. Manque total d'intérêt pour moi. de très nombreuses redites et toujours, une cigarette.
Non, décidément j'oublierai très vite cette lecture.