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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'ai emprunté cet ouvrage avec plaisir à la médiathèque —— après avoir lu la quatrième de couverture —— .

Même si l'auteur interroge le couple , ses hésitations, ses doutes, ses questionnements légitimes : Carlo et Margherita s'aiment mais vont commencer à douter à tour de rôle …ce fut une lecture fort laborieuse , je n'aime pas critiquer une oeuvre au vu du travail supposé de l'écrivain .
Cela me met très mal à l'aise .

Carlo pris sur le vif auprès de son étudiante Sofia, Margherita , troublée cède une seule fois à la tentation, l'ombre de l'infidélité trouble les coeurs.

Puis , c'est au tour d'Anna, la mère de Margherita , se met à douter elle aussi de la loyauté de son défunt mari .
Fidélité ? Infidélité ?
S'aimer est ce que c'est toujours douter ? Doutes, manque de confiance , tout traîne en longueur .
—— Pas de fil conducteur.
——- Ni paragraphes , ni chapitres.
—— Des dialogues dénués d'émotion
—— Aucune action, il ne se passe rien.
L'auteur change de personnage sans crier gare , le lecteur hésite , roman strictement psychologique .
Pourquoi nous parler de combats de chiens ?
Pourquoi passer aux romans d'Iréne Nemirovsky ?
La promenade dans la ville de Milan est prometteuse, mais cela ne m'a pas suffi.
L'infidélité serait- elle la fin de l'amour ou un compromis ? .

Un ouvrage au rythme lent où l'on navigue au coeur des réactions de ces personnages tourmentés ….

Tout se concentre sur le couple ,au coeur de l'intime mais on s'ennuie …on s'ennuie ….

Le personnage de Sophia est le plus intéressant peut- être .

Je suis restée sur ma faim , dommage, un roman italien à oublier très vite .

Mais ce n'est que mon avis , bien sûr , il peut plaire à d'autres lecteurs . Je n'ai peut - être rien compris .
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Avec cette couverture couleur infidélité, Marco Missiroli mise sur la capacité à la fidélité des êtres.

Cette lecture sans chapitres passant d'un personnage à l'autre et parfois d'une époque à une autre m'a donnée un effet brouillon. Je n'y vais pas par quatre chemins, je l'ai trouvée ennuyeuse par moments. Les dialogues ne m'ont pas passionnée, je ne me suis pas attachée aux personnages, et certainement pas à celui De Carlo qui danse d'un pied sur l'autre si je puis dire. Ces envies, voire même ces besoins d'infidélité n'ont pas été agréables à lire. Je n'ai pas adhéré à ce caractère volubile souvent dénué de remord alors même que Carlo continue les projets avec sa femme : l'achat d'un appartement et même avoir un enfant...

Une atmosphère de doute plane sur ce foyer qui n'est pas très équilibré et cela ne m'a pas mise dans une situation confortable pour savourer ce roman. Ma lecture s'est étalée sur quinze jours alors qu'il n'y a pas 300 pages. Cela reflète le petit manque d'intérêt à son égard, mais j'aime aller jusqu'au bout des histoires car parfois une belle surprise peut apparaître. Malheureusement ici, ce ne fut pas le cas.

Vous allez me trouver sévère mais je souhaite être la plus honnête possible. Tout n'est pas inintéressant cependant. Cette virée en Italie reste sympathique en soi. le personnage de Margherita n'est pas désagréable. Nous arrivons à la comprendre, dans ses peines, ses doutes, ses envies d'ailleurs... le personnage d'Anna - la maman de Margherita - est intéressant dans le sens où il fait le lien entre sa fille et Carlo. Anna semble être l'arrangeuse de leurs relations. Alors quand celle-ci faiblit physiquement et mentalement, les démons hantent de plus belle. D'autres personnages viennent se greffer mais ils ne sont pas assez développés pour devenir signifiants dans l'histoire.

Vous l'aurez compris, cette lecture fut pour moi un petit raté comme j'en ai peu souvent. La construction du récit et la difficulté à m'immerger dans une histoire pleine de doute et d'infidélité ont eu raison de mon intérêt pour ce roman. Globalement il ne me laissera malheureusement pas un souvenir impérissable...
Lien : https://ducalmelucette.wordp..
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L'emploi fréquent des fondus est surprenant, et le style plutôt subtil.
Malgré tout la fresque de cette vie de la petite bourgeoisie contemporaine d'Europe de l'Ouest reste ennuyeuse et ennuyante.
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