Le vent nous portera

Très agréable lecture.
L'histoire a pour contexte le lancement du projet Pack horse Library en 1935 dans le Kentucky: Des bibliothécaires itinérantes, principalement des femmes, qui apportent livres et revues aux populations les plus reculées.
L'autrice nous raconte la vie de deux femmes très différentes, malmenées l'une et l'autre par les dictats d'une société encore trop rigide.
C'est passionnant, bien raconté et rythmé!

Se situe dans les années 30. Alice, jeune anglaise, va épouser rapidement un américain car s'ennuie en Angleterre. Mais le rêve n'est pas tout rose. La vie est dure dans le Kentucky, Alice est très isolée entre un beau-père rude , un mari qui l'ignore et une domestique qui ne l'aime pas. Dans ces années 30, la 1ere dame américaine avait décider de développer des bibliothèques itinérantes pour donner l'accès au savoir dans les régions les plus reculées C'est ainsi qu'alice va participer activement à ce programme avec 4 autres femmes , allant à cheval, par tous les temps, danses sentiers de montagne très rudes. Il est question de l'émancipation des femmes, d'amitié, d'amour aussi.
J'ai vraiment eu du mal à rentrer dedans au début et finalement j'ai bien aimé

Alice, jeune anglaise, se retrouve dans le Kentucky à courir les chemins de montagne pour amener des livres dans les zones les plus reculées.
Un livre simple, frais et envoutant avec des personnages hauts en couleurs qui donnent envie de les suivre dans leurs péripéties.
Mais, à côté de la nature et des aventures, Jojo Moyes en profite pour faire passer beaucoup d'informations sur la dure vie des femmes au début du XXième siècle dans les campagnes américaines.

J'adore la plume de Jojo Meyes, quelle merveilleuse conteuse !
Elle nous entraîne dans les montagnes du Kentucky à travers les aventures de ces courageuses femmes de la bibliothèque itinérante.
Un roman émouvant, historique sur l'émancipation féminine. Un bonheur de lecture !

Un roman que j'ai eu de la part de mes beaux-parents pour Noël dernier. Et cela tombe bien, car je voulais découvrir d'autres romans de l'auteure. Je me suis donc lancée dans celui-ci, très différent du précédent : Avant Toi...

L'histoire est celle d'Alice, qui veut vivre des aventures, qui veut vivre le rêve américain lorsqu'elle épouse un américain. Mais rien ne va se passer comme prévu quant elle atterrit dans une petite ville du Kentucky lors de la Grande Récession qui touche son monde moderne. Elle va alors se lancer dans les bibliothèques itinérantes, où elle va rencontrer et se lier d'amitié avec d'autres femmes engagées comme Margery. Elles vont traverser les montagnes du Kentucky pour porter des livres aux personnes n'ayant pas forcément accès à la culture ou à une éducation...

Dés les premières pages, je me suis plongée dans l'histoire de cette femme, qui ne manque pas de courage. Mais surtout, j'ai apprécié les aventures variées et assez originales qui vont nous tenir en haleine du début jusqu'à la fin. En effet, je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer, car j'avais l'impression de vivre des choses différentes à chaque chapitre, à chaque page. Puis, cela change de mes lectures habituelles. On aborde des sujets variées, des sujets historiques, qui font référence à ce qui se passe dans le monde actuel.

La fin n'est pas vraiment inattendue, car c'est le genre de roman où l'on peut deviner la fin. Mais cela ne m'a pas empêché d'apprécier ma lecture, car c'est vraiment les chapitres précédents qui sont vraiment intéressants.

Certes, il y a un certain nombre de personnages plus intéressants les uns que les autres. Chacun va avoir de l'importance pour l'histoire. Cependant, il est difficile de s'attacher à ces derniers, car ils sont nombreux, mais surtout ils passent et repassent sans que l'on ait le temps de s'identifier à eux.

A contrario, Alice est notre personnage que l'on suit tout le long de notre lecture. C'est une jeune femme issue d'une bonne famille anglaise, qui a certaines manières, attitudes. Elle débarque dans le Kentucky après avoir épousé un américain. Mais elle va découvrir une société en récession, qui n'a pas forcément accès à l'éducation et à la culture. Elle va alors s'engager auprès des bibliothèques itinérantes. Au départ, on découvre une Alice un peu trop hautaine, qui ne s'est pas se mettre à la portée de tout le monde. Pourtant, au film des pages, des aventures, Alice va réussir à s'imprégner des personnes qu'elle est amenée à côtoyer. Et je dois dire qu'au fil des pages, j'ai réussi à m'attacher à ce personnage pour mon plus grand plaisir.

Concernant la plume de l'auteure, certes, il y a moins de sentiments transmis dans ce roman que dans Avant toi. Cependant, la plume est toujours aussi descriptive et agréable à lire pour mon plus grand plaisir. Je pense découvrir d'autres romans de cette auteure.

En général, une excellente découverte de l'histoire d'Alice au sein des bibliothèques itinérantes dans les montagnes de Kentucky dans une période passée.
Lien : http://www.fifty-shades-dark..

Quelque part, je suis comme Alice: le Kentucky, je ne connais pas. Mais contrairement à Alice, je me renseignerais avant de partir. Bon, c'est vrai, Alice n'avait pas internet, vu qu'elle vivait dans l'entre-deux guerres... Et puis, je ne suis pas amoureuse de Bennett et je ne viens pas de me marier avec lui. Mais je ne suis pas sûre que je serais d'accord de me coltiner son van Cleve de père partout, jusque dans ma cabine du bateau qui me fait traverser l'Atlantique, alors que je suis jeune mariée.
C'est donc cette jeune femme que nous allons suivre tout au long de ce roman qui se lit d'une traite, sans ennui. Cette femme et d'autres qui font figure de pionnières avec pourtant un siècle de retard. Elles osent s'affirmer, elles sont indépendantes, elles sont solidaires dans leur entreprise qui consiste en une bibliothèque itinérante, dans ces contrées parfois inhospitalières. Mais elles sont véritablement attachantes, toutes rebelles qu'elles sont. Elles aiment cette terre rude et ses habitants. Poru cela, elles sacrifient leur petit confort, ne ménagent pas leur peine et font avancer la cause des femmes dans cet univers où le mâle peut tout se permettre.
Oui, vraiment un livre qui nous emmène et nous redit ce que nous devons à ces femmes audacieuses car réalité et fiction s'emmêlent harmonieusement.

Le vent nous portera de Jojo Moyes, se passe dans les années 30, dans le Kentucky.
Alice, jeune anglaise arrive avec son mari américain mais elle a du mal à s'adapter à cette vie, avec son beau père en permanence présent et avec l'absence de rapports avec son mari.
Un projet de bibliothèque itinérante est créé par des femmes et pour combler son ennui, elle y participe et sa vie va en être changée.
L'histoire est très intéressante, ce livre est très bien écrit, les descriptions de paysages sont très bien décrites et on s'y croirait. Les femmes de ce roman sont fortes et chacune avec son caractère, son histoire vont tout faire pour que cette bibliothèque perdure.

Alice s'est mariée très rapidement avec Bennett, qui, par un hasard amusant, rappelle le terme "benêt", et s'installe aux États-Unis, laissant derrière elle son Angleterre. Malgré son enthousiasme de départ, Alice déchante en se rendant compte que son mari est inutile et que son beau-père est omniprésent. Heureusement, un projet de bibliothèque itinérante voit le jour, offrant à Alice une échappatoire bienvenue de cette vie terne et dépourvue d'intérêt. C'est à travers cette aventure qu'elle rencontre des femmes aux personnalités très différentes, tissant des liens profonds avec chacune d'entre elles. Mais les complications surgissent avec Mr. van Cleve et son fils, ainsi qu'avec les habitants conservateurs de la petite ville qui voient les bibliothécaires comme des agitatrices aux moeurs dissolues.

Je ressors profondément touchée par cette lecture. le personnage d'Alice est captivant, se transformant progressivement et laissant tomber sa rigidité anglaise pour une liberté plus grande. Les autres bibliothécaires m'ont également marquée, chacune apportant son histoire personnelle. Suivre les histoires de certaines familles, en particulier celle du père avec ses deux filles, a été un véritable plaisir. de plus, apprécier le pouvoir transformatif des livres sur les individus a ajouté une dimension spéciale à l'histoire. le tournant narratif a insufflé une nouvelle énergie à l'intrigue, tout en exposant les défis auxquels les femmes libres étaient confrontées à cette époque.

Bien que la fin du roman m'ait légèrement déçue, la trouvant un peu abrupte, cela n'a en rien diminué le plaisir que j'ai pris à cette lecture. C'est indéniablement un livre qui laisse une empreinte. Pari à nouveau réussi pour Jojo Moyes !

« Je crois que vous aimez ces montagnes autant que moi. Là-haut, vous pouvez respirer. Vous n'entendez pas l'incessant bavardage de la ville. Aucun regard sur vous. Il n'y a rien que vous, les arbres, les oiseaux, la rivière, le ciel et la liberté… Là-haut, c'est bon pour l'âme. »

Animée par une soif d'aventures et de grands espaces, Alice s'éprend d'un bel Américain et s'empresse d'accepter sa demande en mariage, laissant derrière elle son Angleterre poussiéreuse. Mais le rêve américain est mis à rude épreuve au cours de la Grande Dépression dans la petite ville du Kentucky où elle atterrit, entre un mari qui s'avère décevant et un beau-père au tempérament ombrageux.

Aussi, quand la jeune femme répond à l'appel d'Eleanor Roosevelt pour créer des bibliothèques ambulantes afin de lutter contre l'illettrisme, c'est d'abord pour échapper à son quotidien étouffant. Elle se lie alors d'amitié avec Margery, une femme qui n'a peur de rien ni de personne. Ensemble, elles se jettent à corps perdu dans l'aventure et sillonnent à cheval les montagnes du Kentucky, bravant tous les dangers, pour apporter des livres dans les zones les plus reculées. Mais s'il y a bien une chose dont ces porteuses d'histoires ne manquent pas, c'est de courage.

Un roman profondément émouvant sur l'épopée de la culture et l'émancipation féminine.

Mon avis:
Le fait que ce roman s'inspire d'un fait historique (la création des bibliothèques à cheval tenues par des femmes) m'a beaucoup plu.
Je me suis imaginée tout le long du roman sur ces plaines et montagnes sillonnées par Margery, Alice et sa bande... Et en période de confinement, l'évasion fait du bien, croyez moi 😊.
J'ai savoure chaque page de ce livre. J'ai ressenti de l'admiration pour ces femmes, de la colère contre certains hommes.
Vous pouvez donc, si l'envie vous dit, vous procurer ce magnifique roman.
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Et hop, un livre de ma pal en moins : "le vent nous portera" de Jojo Moyes.

Le roman commence avec l'histoire d'Alice, une jeune anglaise née dans une bonne famille, peu affectueuse, qui s'empresse d'épouser un bel américain pour s'en éloigner. le problème est qu'une fois en Amérique, dans un petit village du Kentucky, Alice se rend compte que son mari est très distant et complètement dominé et contrôle par son père, un homme d'affaires propriétaire d'une mine. Alice se retrouve donc seule dans une grande maison, sans aucune occupation. Il faut dire que l'histoire se passe pendant la Grande Dépression et, à cette époque, les femmes de cette classe sociale n'avaient pas grand chose à faire si ce n'est tricoter et faire des bébés. Mais un jour, Alice entend parler de la création d'une bibliothèque itinérante menée par des femmes et décide de les rejoindre. C'est ainsi qu'elle parcourt les chemins de montagne à dos de cheval pour apporter des livres aux familles très éloignées de la ville et découvre ce qu'est la liberté et l'amitié ...

Je n'en dis pas plus. C'est un roman intéressant car il traite d'un sujet que je ne connaissais pas, les bibliothèques itinérantes qui ont aidé des dizaines de familles américaines à s'instruire et se cultiver. Au travers des vies des différentes bibliothécaires (une femme rebelle, une femme handicapée, une femme noire, etc.) on y découvre aussi l'émancipation de la femme dans cette Amérique reculée.

J'ai eu du mal à me plonger dans ce livre mais tout d'un coup les événements s'enchaînent et l'histoire devient très prenante. J'ai acheté ce livre par hasard durant l'opération All Stars et je ne le regrette pas