La vie est un roman

Je ne connaissais pas Guillaume Musso (honte à moi !), suis tombé sur ce livre par hasard, dans une librairie d'aéroport hors de France. La vie est un roman, c'est entendu, mais celui-ci, je ne l'ai pas trouvé bon… le sujet de la mise en abîme est travaillé jusqu'à la corde, les voies narratives s'emmêlent de façon artificielle, et on hésite entre le scénario de film hollywoodien à suspense et une réflexion narcissique sur la passion de l'écriture à la lecture de ce roman, qui se lit vite et s'oublie peut-être aussi rapidement.

lecture fluide et agréable. Par contre je n'ai pas du tout accroché à son intrigue et je l'ai senti dès les premières pages que ça ne plairait pas. Je ne suis pas spécialement déçue car j'estime que chaque auteur a ses moments de faiblesse surtout que j'ai adoré son livre précédent.

Grosse déception !!!! C'est la première fois que je revends un livre de Musso .
Un manque d'inspiration Monsieur MUSSO ? Je me suis ennuyée du début à la fin. Une histoire sans queue, ni tête…
Une intrigue qui donne faim et qui retombe comme un soufflet !

Guillaume Musso est sans aucun doute l'un de mes écrivains préférés.
Le dernier en date que j'ai lu : « La vie est un roman ».
Cependant, je ne trouve pas qu'il soit aussi prenant et transcendant que ses précédents romans …

J'ai tout de même lu ce roman sans interruption : j'avais l'envie et le besoin d'aller toujours plus loin dans ce mystérieux roman. 🌙

Une chose est certaine : Guillaume Musso sait tenir le lecteur en haleine !
Les énigmes sont nombreuses accompagnées de belles prises de tête.

Mais voilà, le charme n'a pas opéré avec moi.
J'ai eu du mal à comprendre tous les événements, à les corréler, à les assembler. Pourtant, aucune pause dans ma lecture n'a pu laisser le temps se charger de me faire oublier quelques éléments clefs dans cette enquête.
Je me suis sentie complètement déroutée et perturbée : c'est bien la première fois que je ne comprends pas le message d'un roman.

Je pense sérieusement à relire ce roman, pour passer au peigne fin les éléments qui ont manqué à cet épanouissement littéraire si habituellement séduisant chez cet auteur.

Je me suis lancée dans La vie est un roman avec le même état d'esprit que lorsque je m'attaque à n'importe quel roman de Musso. LA CLAQUE !
Remettons les pendules à l'heure et allons droit au but : la mauvaise claque. Pas la claque que l'on se prend lorsque l'on pense lire un simple roman pour passer le temps et que finalement il s'avère être une une histoire surprenante qui vous prend aux tripes. Non pas du tout. Ici c'est une bien grosse claque de déception. Je ne m'attendais pas du tout à lire cela. Pourtant, ça a bien commencé, je me suis tout de suite laissée prendre au jeu de la petite fille disparue. Je me voyais déjà mettre en place plusieurs scénarios possibles. Et bam! En fait rien à voir. On lit surtout un roman qui met en avant le lien entre l'auteur et ses personnages. Une sorte de réflexion sur le travail du romancier. Alors je ne dirai pas que c'est complètement inintéressant mais ce n'est pas ce que je voulais lire et ce n'est certainement pas ce que j'attendais de ce roman. Une grande grande déception. Pour tout avouer j'ai fini le roman en lisant de travers et avec une très grande hâte de le fermer..

Pour une fan de Musso, je suis un peu déconfite. Je retrouve bien son écriture, je retrouve bien l'ambiance des ses autres roman entre réel et fantanstique ou imaginaire...mais là, je suis un peu déçue.
Chaque partie concernant Flora ou Romain est intéressante, mais rien n'est fait pour nous accrocher. de plus, aucun indice n'est donné pour aider à penser qu'il pourrait y avoir un lien entre les 2 personnages.
Quand vers la fin, on obtient des réponses, les liens restent un distanst, et on ne comprend pas très bien l'objectif de l'histoire.
Donc on peut faire l'impasse sur ce roman et ce concentrer sur d'autres comme "Et après...", "Demain" ou encore "un appartement à Paris".

J'avais besoin de légèreté après avoir lu un témoignage sur la réalité de certaines vies et on m'a suggéré ce roman.
Je n'ai jamais été fan de Guillaume Musso mais n'avais pas lu ces romans depuis plus de 15 ans donc, pourquoi pas lui laisser une chance. Et... voilà, ça ne me plaît toujours pas. le récit manque de profondeur à mon goût. Je comprends que ça marche pas contre, c'est très facile à lire.

Je l'attendais depuis longtemps ce nouveau roman.
J'adore Musso et je m empressé d acheter ses livres dès leur sortie.
Cette fois ci je l'avoue je suis déçue...
Je n'ai pas su rentrer dans le livre..l'histoire ne m'a pas transportée..
Je suis allée jusqu'au bout mais par principe...
Déception pour ce roman..

Déçu par ce dernier roman . Fan de Musso, je trouve que ce livre manque d.inspiration, on n'apprends pas grand choses , pas de recherches, le livre se lit vite mais histoire assez invraisemblable . On se left entre la réalité et le reste . Ses premiers livres étaient il me semble plus travaillés. Pression de l.éditeur pour sortir un livre par an ?
Dommage

Sans être une fan inconditionnelle, ce roman de Guillaume MUSSO semblait le livre idéal pour les vacances et la plage. Comme à son habitude, l'auteur embarque le lecteur dans une succession de rebondissements et de fausses pistes.
Cette fois-ci, la thématique aborde le difficile exercice d'écriture pour un écrivain connu, obligé de produire régulièrement un best-seller et soumis aux attentes des éditeurs et au jugement des critiques.
Le texte bouscule les frontières entre la fiction et le réel, la vie et le roman, l'auteur et ses personnages au risque de perdre le lecteur. Loin de surprendre avec une histoire pleine de rebondissements, de faux suspenses et conclure avec l'habituel coup de théâtre, l'exercice finit par lasser. La lecture fut laborieuse et les personnages ne m'ont semblé guère attachants, même dans leurs épreuves de vie.
Malgré le début de l'intrigue haletant avec le mystère de la disparition d'une petite fille dans un appartement fermé de l'intérieur et la jubilation de reconnaître des citations de ses précédents romans, je n'ai pas suivi l'auteur dans certaines situations souvent tirées par les cheveux.
Je compatis néanmoins quand il évoque les difficultés liées à son métier et les angoisses (sans doute) de devoir se renouveler sans cesse pour satisfaire ses lecteurs exigeants.