Personnellement, je ne suis pas un inconditionnel des "Fauves". Je n'aurais pas eu l'idée d'acheter ce livre: en fait, je l'ai reçu en cadeau. Evidemment, dans cet ouvrage van Dongen se taille la part du lion Mais l'auteur donne toute leur importance à d'autres grands peintres comme Maurice de Vlaminck, André Derain, Albert Marquet et, naturellement, Henri Matisse. On trouve aussi mention d'artistes bien moins connus, qu'il est agréable de découvrir.
Le livre est assez court; l'iconographie est soignée. Ce livre a complété ma collection de livres d'art.
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Des peintures d'une grande force d'expression, des couleurs vives et parfois violentes...un style qui peut séduire ou déplaire mais qui ne laisse pas indifférent.
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A part Matisse, le plus heureux des fauves est Vlaminck, auquel Ambroise Vollard propose un contrat qui le met à l'abri de toute nécessité matérielle immédiate. Il n'en fallait pas davantage pour déchaîner un véritable feu d'artifice dans l'activité de cet artiste, dont la personnalité demeurera jusqu'à sa mort tempétueuse et irréfrénable.