Du sang sur la glace

J'ai gagné ce livre lors d'un super concours sur un blog littéraire. Ce que j'adore avec les concours c'est de pouvoir découvrir des livres que je n'aurais jamais lu autrement.J'ai ainsi pu m'initier à cet auteur Norvégien très connu (sauf par moi).
La première chose qui m'avait attiré dans ce livre est sa petite taille, entre deux missions pro je recherchais un roman court. le style de la narration étaient assez spéciaux, j'avais plus l'impression d'écouter le monologue d'un ami un peu perché plutôt que de lire un roman. ça change de d'habitude et ça se lisait plutôt bien dans le métro en étant fatigué, mais je n'aurais pas apprécié si les circonstances avaient été différentes ou si le livre avait été plus long; le style tape assez vite sur les nerfs et on fini par s'ennuyer.
Le personnage principal m'a fait penser à Leon, il est assez attachant malgré les circonstances et c'est un anti-héros très inhabituel, un tueur à gage dyslexique et fan des Misérables... il fallait le faire !
Le suspense était là mais ça ne m'a pas transcendé, bien qu'ayant plusieurs rebondissements le dénouement est assez classique. Ce livre sera surement très vite oublié.
Un petit polar atypique qui constitue une bonne introduction pour découvrir cet auteur Norvégien, sans être pour autant représentatif de
son talent (du moins j'imagine).

J ai té déçue pour ce roman
Heureusement que le roman est court ; l histoire aurait pu être intéressante mais j ai trouver l écriture de l auteur sur ce livre ennuyeuse
Ce thriller se lit mais sans plus pour moi

J'avais lu le synopsis de ce livre. Il me plaisait.
Un tueur à gages , Olav, est embauché pour tuer un client ( pas n'importe lequel, là il s'agit d'une femme, qui est l'épouse du commanditaire). Olav tombe amoureux de cette femme. Un peu d'humour noir était parsemé ici et là, de quoi pimenter l'histoire deux trafiquants de drogue interviennent aussi.
Tout ceci ne m'a pas séduite, j'ai fini le livre. Heureusement, il n'avait que 150 pages.
Les ingrédients étaient là, mais il manquait l'énergie, la lassitude s'installe vite.
Ce fut une lecture décevante.
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Olav est un homme de main d'un caid mafieux d'Oslo. un homme de main genre "nettoyeur". Un jour, son patron lui demande de tuer une femme. la routine, quoi... sauf que cette femme est l'épouse du patron en question, et c'est justement la femme dont notre sympathique tueur en série vient de tomber amoureux. Que faire ? réponse dans ce court roman bien mené. Pour ceux qui connaîtraient déjà cet auteur, rien de comparable aux enquêtes fleuves d'Harry Hole, mais une intrigue efficace et glacée (dans tous les sens du terme). Divertissant.

Autant j'ai beaucoup apprécié les autres romans, autant celui ci ne m'a absolument pas du tout plu...
Une histoire à laquelle je n'ai pas du tout accroché.

Voilà un drôle de tueur à gages, il a du mal à compter, n'est pas très débrouillard mais lit Victor Hugo, bien que dyslexique. Quand son patron lui demande de tuer quelqu'un, il accepte mais tombe sous le charme de la ravissante jeune femme qui n'est autre que la femme de son patron. Il commence par tuer l'amant, pensant bien faire, la suite lui dira que non… Et il essaie de plaire à la jeune femme…


L'intrigue n'est pas très originale, la nouveauté vient plutôt du ton plutôt ironique, des personnages marginaux et des situations décalées. Et n'oublions pas la présence importante d'une jeune sourde-muette-boiteuse… Malgré cela je n'ai pas été enthousiasmée par ce polar, peut-être la faute à une traduction qui ne met pas en valeur le style de Nesbo que j'avais pourtant bien apprécié dans la série avec Harry Hole. Ou alors je n'ai pas été assez sensible à son humour…

Le récit commençait bien : Olav , un tueur à gages au grand coeur mais la suite a été décevante et je n'ai pas réussi à entrer dans l'intrigue et à m'attacher aux personnages .
Olav a l'habitude de rendre service à son patron en éliminant ceux qui se trouvent en travers de son chemin . Aujourd'hui , un nouveau contrat se présente à lui : il faut éliminer un nouvel ennemi mais...il s'agit de la femme du patron , sublime créature dont il tombe amoureux . Il passe donc quelque temps à observer ses faits et gestes et surtout à espionner ses rencontres avec son amant . Plutôt supprimer l'amant que cette sublime femme...c'est là que les ennuis prennent forme

En lisant une critique sur ce roman, j'avais vu qu'un des commentateurs signalait que le livre lui était tombé des mains, et ce n'était pas un compliment.

Non, il ne m'est pas tombé des mains, mais j'ai baillé, somnolé durant ma lecture et failli le refermer avant d'arriver au bout. Il ne fait que 150 pages, c'est vous dire si j'ai passé un moment en enfer.

Pourtant, le pitch avait l'air génial : un tueur à gages, Olav, auquel son patron lui demande d'expédier (tuer) un client. Rien de neuf sauf que le client est la femme du boss. Et que ce dadais d'Olav va en tomber amoureux.

Il avait pourtant bien commencé, ce petit roman : un tueur à gage pour qui on sent qu'on va avoir de l'affection, le genre de mec qui n'a rien d'un Jason Statham survitaminé et qui nous raconte sa petite histoire, avec une touche d'humour noir parsemé un peu partout.

Ajoutons deux trafiquants de drogue dans la ville d'Oslo dont chacun crierait bien que l'un des deux est de trop dans la ville. Ou que la ville est trop petite pour eux deux. Bref, on sent que l'on s'asseoir sur un baril de poudre, mèche allumée.

L'utilisation d'Olav comme narrateur était bien trouvée, ça permet quelques surprises qui m'ont plus, même si une était téléphonée. Pour l'autre, j'ai été eue.

Où est le problème ? Où le bât a-t-il blessé dans tout cela ?

La manière de raconter est soporifique au possible ! J'ai juste arrêté de bailler durant quelques scènes, pendant quelques paragraphes et bien que ne faisant que 150 pages, j'ai sauté des lignes !

On est loin d'un Dashiell Hammett et de son célèbre « Moisson Rouge ». Loin des autres grands du polar Noir aussi.

Malgré les quelques surprises cachées dans le récit, il ne m'a pas emporté dans la ville d'Oslo, je me suis ennuyée la plupart du temps et je n'ai pas retrouvé l'âme des grands romans Noirs que j'aime.

Les ingrédient sont peut-être là, mais ça manque furieusement de sel.

Une déception pour moi qui apprécie cet auteur.

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